Titre : |
Association du polymorphisme Alu Ins/Del du gène TPA avec le syndrome des ovaires polykystiques |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Amel Boularak, Auteur ; Rima Matib, Auteur ; Djalila Chellat, Directeur de thèse |
Editeur : |
CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine |
Année de publication : |
2019 |
Importance : |
94 f. |
Format : |
30 cm. |
Note générale : |
Une copie electronique PDF disponible au BUC. |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Biologie:Biologie Animale
|
Tags : |
SOPK, hyperandrogénie, bilan hormonal, gène TPA, polymorphisme Alu I/D, PCR |
Index. décimale : |
750 Biologie Animale |
Résumé : |
Le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) est l’endocrinopathie la plus fréquente chez les femmes en
âge de procréer, avec une prévalence allant jusqu’à 10%. Ses symptômes incluent une hyperandrogénie, une
oligo-ovulation et une morphologie polykystique de l’ovaire. Le SOPK est associé à une infertilité, au RPL,
au diabète de type 2 et aux maladies cardiovasculaires. La pathogénie du SOPK reste largement inexpliquée.
Plusieurs études génétiques, approches et analyses à l'échelle du génome ont permis de découvrir de
nouvelles régions du génome humain qui peuvent augmenter le risque de contracter le SOPK. Cependant, les
gènes causatifs précis restent à déterminer.
Objectifs : Nos objectifs visent d’une part de décrire les caractéristiques cliniques, hormonales et
métaboliques chez des patientes présentant un SOPK (étude rétrospective) et d’autre part d’examiner la
relation entre le polymorphisme du gène TPA et le SOPK (étude moléculaire).
Méthodes : cent patientes atteintes de SOPK et 100 témoins ont été incluses dans l’étude rétrospective.
Après extraction de l’ADN par la méthode au NaCl des 46 patientes recrutées, le génotypage du
polymorphisme du gène TPA a été effectué par une PCR.
Résultats : la comparaison entre les différentes caractéristiques épidémiologiques, cliniques et biologiques
des patientes atteintes du SOPK et des témoins a révélé des différences significatives pour : l’âge, la FSH, la
LH et le rapport LH/FSH. Aucune différence statistiquement significative n’a été détectée en comparant la
distribution des fréquences génotypiques et alléliques du polymorphisme Alu I/D du gène TPA entre les
patients et les témoins.
Conclusion : selon les résultats obtenus, nous pouvons dire que le bilan hormonal est souvent perturbé chez
les femmes présentant le SOPK et que le polymorphisme Alu I/D du gène TPA ne peut être considéré
comme un facteur de risque pour cette pathologie dans cet échantillon représentatif de la population
algérienne. Mais, ces résultats restent préliminaires et doivent être vérifiés sur un échantillon plus large. |
Diplome : |
Master 2 |
Permalink : |
https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=12204 |
Association du polymorphisme Alu Ins/Del du gène TPA avec le syndrome des ovaires polykystiques [texte imprimé] / Amel Boularak, Auteur ; Rima Matib, Auteur ; Djalila Chellat, Directeur de thèse . - CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine, 2019 . - 94 f. ; 30 cm. Une copie electronique PDF disponible au BUC. Langues : Français ( fre)
Catégories : |
Biologie:Biologie Animale
|
Tags : |
SOPK, hyperandrogénie, bilan hormonal, gène TPA, polymorphisme Alu I/D, PCR |
Index. décimale : |
750 Biologie Animale |
Résumé : |
Le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) est l’endocrinopathie la plus fréquente chez les femmes en
âge de procréer, avec une prévalence allant jusqu’à 10%. Ses symptômes incluent une hyperandrogénie, une
oligo-ovulation et une morphologie polykystique de l’ovaire. Le SOPK est associé à une infertilité, au RPL,
au diabète de type 2 et aux maladies cardiovasculaires. La pathogénie du SOPK reste largement inexpliquée.
Plusieurs études génétiques, approches et analyses à l'échelle du génome ont permis de découvrir de
nouvelles régions du génome humain qui peuvent augmenter le risque de contracter le SOPK. Cependant, les
gènes causatifs précis restent à déterminer.
Objectifs : Nos objectifs visent d’une part de décrire les caractéristiques cliniques, hormonales et
métaboliques chez des patientes présentant un SOPK (étude rétrospective) et d’autre part d’examiner la
relation entre le polymorphisme du gène TPA et le SOPK (étude moléculaire).
Méthodes : cent patientes atteintes de SOPK et 100 témoins ont été incluses dans l’étude rétrospective.
Après extraction de l’ADN par la méthode au NaCl des 46 patientes recrutées, le génotypage du
polymorphisme du gène TPA a été effectué par une PCR.
Résultats : la comparaison entre les différentes caractéristiques épidémiologiques, cliniques et biologiques
des patientes atteintes du SOPK et des témoins a révélé des différences significatives pour : l’âge, la FSH, la
LH et le rapport LH/FSH. Aucune différence statistiquement significative n’a été détectée en comparant la
distribution des fréquences génotypiques et alléliques du polymorphisme Alu I/D du gène TPA entre les
patients et les témoins.
Conclusion : selon les résultats obtenus, nous pouvons dire que le bilan hormonal est souvent perturbé chez
les femmes présentant le SOPK et que le polymorphisme Alu I/D du gène TPA ne peut être considéré
comme un facteur de risque pour cette pathologie dans cet échantillon représentatif de la population
algérienne. Mais, ces résultats restent préliminaires et doivent être vérifiés sur un échantillon plus large. |
Diplome : |
Master 2 |
Permalink : |
https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=12204 |
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