Titre : |
Étude épidémiologique, anatomopathologique et immunohistochimique de l’adénocarcinome prostatique. |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Yousra Kabi, Auteur ; Sabrina Mihoub, Auteur ; CHahinez Mechati, Directeur de thèse |
Editeur : |
CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine |
Année de publication : |
2019 |
Importance : |
64 f. |
Format : |
30 cm. |
Note générale : |
Une copie electronique PDF disponible au BUC. |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Biologie:Biologie Animale
|
Tags : |
cancer de la prostate, adénocarcinome prostatique, biopsie prostatique, PSA, score de Gleason, Immunologie Moléculaire et Cellulaire. |
Index. décimale : |
750 Biologie Animale |
Résumé : |
Le cancer de la prostate est aujourd’hui le cancer le plus fréquent et la deuxième cause de
mortalité par cancer chez l'homme.
Notre étude rétrospective qui concerne l’adénocarcinome prostatique, portant sur 43 patients,
réalisée au niveau de l’Hôpital Militaire Régional de Constantine sur une période de deux mois. Notre
but est d’étudier le profil épidémiologique, anatomopathologique et immunohistochimique des patients
atteints de ce type de cancer.
Nous avons constaté une dominance dans la tranche d’âge 70-79 ans, soit 45,54% de notre
population ; la biopsie prostatique est la plus utilisée comme prélèvement (88%) ; et la plupart des
hommes atteints par un adénocarcinome prostatique ne présentent aucun antécédent personnel (presque
80% des cas). Aussi les résultats concernant le score de Gleason 7 et 8 présente un taux élevé avec un
pourcentage de 63,99%, alors que le score de Gleason 4 et 10 présente un taux faible avec 2,66%. Nous
avons aussi noté un pourcentage élevé des tumeurs classé en T3.
Dans notre série, les résultats du dosage du PSA sont tous supérieure à la valeur normale
(4ng/ml) ; les adénocarcinomes peu ou pas différencié sont majoritaires, ils représentent 57,33% ; et
pour le traitement on remarque que la majorité des cas (43%) ont bénéficié d’une hormonothérapie. Le
reste des patients ont bénéficié d’une association de traitements.
Malgré les diverses méthodes de traitements, le cancer de la prostate n’est pas définitivement guéri.
Certains traitements permettent seulement d'augmenter la durée de vie du patient. |
Diplome : |
Master 2 |
Permalink : |
https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=12287 |
Étude épidémiologique, anatomopathologique et immunohistochimique de l’adénocarcinome prostatique. [texte imprimé] / Yousra Kabi, Auteur ; Sabrina Mihoub, Auteur ; CHahinez Mechati, Directeur de thèse . - CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine, 2019 . - 64 f. ; 30 cm. Une copie electronique PDF disponible au BUC. Langues : Français ( fre)
Catégories : |
Biologie:Biologie Animale
|
Tags : |
cancer de la prostate, adénocarcinome prostatique, biopsie prostatique, PSA, score de Gleason, Immunologie Moléculaire et Cellulaire. |
Index. décimale : |
750 Biologie Animale |
Résumé : |
Le cancer de la prostate est aujourd’hui le cancer le plus fréquent et la deuxième cause de
mortalité par cancer chez l'homme.
Notre étude rétrospective qui concerne l’adénocarcinome prostatique, portant sur 43 patients,
réalisée au niveau de l’Hôpital Militaire Régional de Constantine sur une période de deux mois. Notre
but est d’étudier le profil épidémiologique, anatomopathologique et immunohistochimique des patients
atteints de ce type de cancer.
Nous avons constaté une dominance dans la tranche d’âge 70-79 ans, soit 45,54% de notre
population ; la biopsie prostatique est la plus utilisée comme prélèvement (88%) ; et la plupart des
hommes atteints par un adénocarcinome prostatique ne présentent aucun antécédent personnel (presque
80% des cas). Aussi les résultats concernant le score de Gleason 7 et 8 présente un taux élevé avec un
pourcentage de 63,99%, alors que le score de Gleason 4 et 10 présente un taux faible avec 2,66%. Nous
avons aussi noté un pourcentage élevé des tumeurs classé en T3.
Dans notre série, les résultats du dosage du PSA sont tous supérieure à la valeur normale
(4ng/ml) ; les adénocarcinomes peu ou pas différencié sont majoritaires, ils représentent 57,33% ; et
pour le traitement on remarque que la majorité des cas (43%) ont bénéficié d’une hormonothérapie. Le
reste des patients ont bénéficié d’une association de traitements.
Malgré les diverses méthodes de traitements, le cancer de la prostate n’est pas définitivement guéri.
Certains traitements permettent seulement d'augmenter la durée de vie du patient. |
Diplome : |
Master 2 |
Permalink : |
https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=12287 |
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