Titre : |
Intérêt des analyses biologiques dans le diagnostic et le suivi du myélome multiple |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Chaima Boucharef, Auteur ; Soundouss Rouini, Auteur ; Hadia Ziada-Bouchaar, Directeur de thèse |
Editeur : |
CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine |
Année de publication : |
2019 |
Importance : |
92 f. |
Format : |
30 cm. |
Note générale : |
Une copie electronique PDF disponible au BUC. |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Biologie:Biologie Animale
|
Tags : |
myélome multiple, maladie de kahler, Ig monoclinale, plasmocytes, hémopathie maligne Génétique. |
Index. décimale : |
750 Biologie Animale |
Résumé : |
Le myélome multiple (MM) ou maladie de Kahler est une hémopathie maligne caractérisée par une prolifération
clonale incontrôlée de plasmocytes tumoraux dans la moelle osseuse et une sécrétion d’une immunoglobuline (Ig)
monoclonale. L’accumulation des cellules malignes se traduit cliniquement par des manifestations osseuses, d’anémie
et/ou des atteintes rénales.
L’étude statistique est réalisée sur 60 patients du CAC Blida pour un objectif de définir l’intérêt de chaque
marqueur biologique dans le diagnostic, de décrire les aspects cytogénétiques impliqués dans la genèse de ce
cancer et d’analyser les aspects épidémiologiques et biologiques. L’âge moyen d’échantillon choisi est 63,65 ± 12.25
ans avec des extrêmes allant de 32 à 90 ans et un sexe ratio F/H de 1.22. Le signe révélateur majeur de la maladie est
les douleurs osseuses de 78.26% suivi par le syndrome anémique de 28.26%, et en dernier les atteintes rénales 2,17%.
Le diagnostic s’est fait par le myélogramme où il a objectivé une infiltration plasmocytaire chez 83, 33% des cas.
L’immunofixation des protéines sériques (IFS) a montré que l’IgG est la plus dominante chez 71.66 % avec
prédominance de l’IgG kappa chez 41.66%. L’électrophorèse (EPU) et l’immunofixation (IFU) des protéines urinaires
ont prouvé que le PBJ urinaire est positif chez 38.33% cas au début du diagnostic et avec le traitement, il a été diminué
chez 18.33 %, ceci nous a permet d’évaluer précisément le risque de l’atteinte rénale.
En conclusion, nos résultats concordent plus ou moins avec les données de la littérature, mais ils ne peuvent
pas être généralisés sur l’ensemble de la population. Donc, des études supplémentaires sur un échantillon plus large et
incluant d’autres paramètres sont nécessaires |
Diplome : |
Master 2 |
Permalink : |
https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=12356 |
Intérêt des analyses biologiques dans le diagnostic et le suivi du myélome multiple [texte imprimé] / Chaima Boucharef, Auteur ; Soundouss Rouini, Auteur ; Hadia Ziada-Bouchaar, Directeur de thèse . - CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine, 2019 . - 92 f. ; 30 cm. Une copie electronique PDF disponible au BUC. Langues : Français ( fre)
Catégories : |
Biologie:Biologie Animale
|
Tags : |
myélome multiple, maladie de kahler, Ig monoclinale, plasmocytes, hémopathie maligne Génétique. |
Index. décimale : |
750 Biologie Animale |
Résumé : |
Le myélome multiple (MM) ou maladie de Kahler est une hémopathie maligne caractérisée par une prolifération
clonale incontrôlée de plasmocytes tumoraux dans la moelle osseuse et une sécrétion d’une immunoglobuline (Ig)
monoclonale. L’accumulation des cellules malignes se traduit cliniquement par des manifestations osseuses, d’anémie
et/ou des atteintes rénales.
L’étude statistique est réalisée sur 60 patients du CAC Blida pour un objectif de définir l’intérêt de chaque
marqueur biologique dans le diagnostic, de décrire les aspects cytogénétiques impliqués dans la genèse de ce
cancer et d’analyser les aspects épidémiologiques et biologiques. L’âge moyen d’échantillon choisi est 63,65 ± 12.25
ans avec des extrêmes allant de 32 à 90 ans et un sexe ratio F/H de 1.22. Le signe révélateur majeur de la maladie est
les douleurs osseuses de 78.26% suivi par le syndrome anémique de 28.26%, et en dernier les atteintes rénales 2,17%.
Le diagnostic s’est fait par le myélogramme où il a objectivé une infiltration plasmocytaire chez 83, 33% des cas.
L’immunofixation des protéines sériques (IFS) a montré que l’IgG est la plus dominante chez 71.66 % avec
prédominance de l’IgG kappa chez 41.66%. L’électrophorèse (EPU) et l’immunofixation (IFU) des protéines urinaires
ont prouvé que le PBJ urinaire est positif chez 38.33% cas au début du diagnostic et avec le traitement, il a été diminué
chez 18.33 %, ceci nous a permet d’évaluer précisément le risque de l’atteinte rénale.
En conclusion, nos résultats concordent plus ou moins avec les données de la littérature, mais ils ne peuvent
pas être généralisés sur l’ensemble de la population. Donc, des études supplémentaires sur un échantillon plus large et
incluant d’autres paramètres sont nécessaires |
Diplome : |
Master 2 |
Permalink : |
https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=12356 |
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