Titre :	Contribution à l'étude des infections urinaire en fonction de l'âge et du sexe.
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Intissar Baouche, Auteur ; Chafia Chennouf, Auteur ; Yacine Benhizia, Directeur de thèse
Editeur :	CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine
Année de publication :	2020
Importance :	82 f.
Format :	30 cm.
Note générale :	Une copie electronique PDF disponible au BUC
Langues :	Français (fre)
Catégories :	Biologie:Microbiologie
Tags :	Mot clés : infections urinaires, ECBU, âge, sexe, antibiogramme,Ecologie Microbienne.
Index. décimale :	720 Microbiologie
Résumé :	Les infections urinaires constituent un véritable problème de santé publique, que ce soit sur le plan fréquence ou difficulté de traitement. Au cours de ce travail, nous nous sommes penchés sur l’examen cytobactériologique des urines(ECBU) avec la mise en évidence des bactéries en cause dans cette infection et l’étude de leur sensibilité aux antibiotiques. Cela pour mettre en clair le diagnostic des IU et leur contribution selon l’âge et sexe. Les résultats de l’étude réalisée sur 61 ECBU montre que la prévalence était plus importante chez le sexe féminin (58.33%), que (41.67%) pour le sexe masculin et une tranche d’âge plus sensibles des personnes âgées (58.33%). Ainsi nous n’avons identifié que deux germes responsables: Escherichia coli (67%) et Pseudononas aeruginosa (33%). En parallèle, une étude statistique été réalisée sur 512 ECBU positifs, où nous avons constaté que le sexe féminin toujours le plus vulnérable à l’infection urinaire dans toutes les tranches d’âge avec une prédominance de 31.94% dans le groupe des adultes. Par contre de faibles moyennes de sexe masculin mais avec une prédominance de (22.21%) dans le groupe des personnes âgées. On a aussi enregistré 46.67% pour les personnes âgées du nombre total. Nous avons également identifié d’autres germes en cause mais toujours avec une prédominance d’E. coli (73.56%). L’antibiogramme a indiqué un profil de sensibilité d’E. coli envers la majorité des antibiotiques testés. Par contre P. aeruginosa présentait une sensibilité pour l’amikacine et la cefalotine et une résistance importante pour la majorité des antibiotiques testés.
Diplome :	Master 2
Permalink :	https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=13472

Contribution à l'étude des infections urinaire en fonction de l'âge et du sexe. [texte imprimé] / Intissar Baouche, Auteur ; Chafia Chennouf, Auteur ; Yacine Benhizia, Directeur de thèse . - CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine, 2020 . - 82 f. ; 30 cm.
Une copie electronique PDF disponible au BUC
Langues : Français (fre)

Catégories :	Biologie:Microbiologie
Tags :	Mot clés : infections urinaires, ECBU, âge, sexe, antibiogramme,Ecologie Microbienne.
Index. décimale :	720 Microbiologie
Résumé :	Les infections urinaires constituent un véritable problème de santé publique, que ce soit sur le plan fréquence ou difficulté de traitement. Au cours de ce travail, nous nous sommes penchés sur l’examen cytobactériologique des urines(ECBU) avec la mise en évidence des bactéries en cause dans cette infection et l’étude de leur sensibilité aux antibiotiques. Cela pour mettre en clair le diagnostic des IU et leur contribution selon l’âge et sexe. Les résultats de l’étude réalisée sur 61 ECBU montre que la prévalence était plus importante chez le sexe féminin (58.33%), que (41.67%) pour le sexe masculin et une tranche d’âge plus sensibles des personnes âgées (58.33%). Ainsi nous n’avons identifié que deux germes responsables: Escherichia coli (67%) et Pseudononas aeruginosa (33%). En parallèle, une étude statistique été réalisée sur 512 ECBU positifs, où nous avons constaté que le sexe féminin toujours le plus vulnérable à l’infection urinaire dans toutes les tranches d’âge avec une prédominance de 31.94% dans le groupe des adultes. Par contre de faibles moyennes de sexe masculin mais avec une prédominance de (22.21%) dans le groupe des personnes âgées. On a aussi enregistré 46.67% pour les personnes âgées du nombre total. Nous avons également identifié d’autres germes en cause mais toujours avec une prédominance d’E. coli (73.56%). L’antibiogramme a indiqué un profil de sensibilité d’E. coli envers la majorité des antibiotiques testés. Par contre P. aeruginosa présentait une sensibilité pour l’amikacine et la cefalotine et une résistance importante pour la majorité des antibiotiques testés.
Diplome :	Master 2
Permalink :	https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=13472