Titre :	Qualité physico-chimique des eaux de l’oued Rhumel : impact sur celle du barrage de Béni Haroun vis à vis de la production d’eau potable et de la vie aquatique.
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Sara Benfadel, Auteur ; Amira Fadloun, Auteur ; Fatima Zohra Afri-Mehennaoui, Directeur de thèse
Editeur :	CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine
Année de publication :	2020
Importance :	72 f.
Format :	30 cm.
Note générale :	Une copie electronique PDF disponible au BUC
Langues :	Français (fre)
Catégories :	Biologie:Biologie Végétal
Tags :	Mots clés : Oued Rhumel, barrage Béni-Haroun, physico-chimie des eaux de surface, normes de qualité des eaux,Ecologie fondamentale et appliquée.
Index. décimale :	740 Biologie végétale
Résumé :	Résumé Cette contribution porte sur l’évaluation et le suivi de la physico-chimie des eaux du barrage BéniHaroun et de l’oued Rhumel qui l’alimente et l’impact de la qualité vis-à-vis de la vie aquatique et de l’eau destinée à la production d’eau potable pour les agglomérations voisines. Trois stations de prélèvements ont été retenues ; deux situées sur l’oued Rhumel à Ain Smara en amont de Constantine, puis à Grarem en aval de la ville, et la troisième près de la digue du barrage de Béni Haroun. En vue de notre objectif, un suivi mensuel a été effectué en 2018 sur la physicochimie de l’eau via des méthodes classiques in situ et au laboratoire. Il a porté sur les paramètres : température, pH, CE, minéralisation, résidu sec, nitrates, chlorures, sulfates, bicarbonates, sodium, potassium, calcium et magnésium. Les résultats des analyses révèlent de façon générale que les eaux de l’oued Rhumel sont de moins bonne qualité que celles du barrage de Béni Haroun. En effet cet oued reste le réceptacle de rejets diffus urbains, industriels et agricoles provenant de Constantine et de sa banlieue malgré le traitement des eaux usées déjà en amont de la ville. Cependant il a été noté une diminution de la pollution en aval, sans doute grâce au rabattement de la charge polluante induit par la station d’épuration Ibn Ziad d’où l’amélioration de la qualité des eaux constatée pour Béni Haroun. Les paramètres analysés sont conformes aux normes algériennes relatives aux eaux destinées à la production d’eau de consommation humaine. La qualité physico-chimique des eaux a un impact direct sur la biodiversité floristique et faunistique de ces deux écosystèmes lotique et lentique. Comparativement à d’autres travaux, nous constatons que les teneurs de certains paramètres ont diminué, d’autres ont stagné, alors que d’autres ont augmenté. A l’avenir il serait intéressant, d’imposer l’installation de stations d’épuration à l’aval de chaque industrie polluante, d’intégrer des méthodes plus élaborées de dépollution et de traitement des eaux, de faire respecter la loi et de sensibiliser la population en ciblant surtout les jeunes à la préservation de l’environnement
Diplome :	Master 2
Permalink :	https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=13571

Qualité physico-chimique des eaux de l’oued Rhumel : impact sur celle du barrage de Béni Haroun vis à vis de la production d’eau potable et de la vie aquatique. [texte imprimé] / Sara Benfadel, Auteur ; Amira Fadloun, Auteur ; Fatima Zohra Afri-Mehennaoui, Directeur de thèse . - CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine, 2020 . - 72 f. ; 30 cm.
Une copie electronique PDF disponible au BUC
Langues : Français (fre)

Catégories :	Biologie:Biologie Végétal
Tags :	Mots clés : Oued Rhumel, barrage Béni-Haroun, physico-chimie des eaux de surface, normes de qualité des eaux,Ecologie fondamentale et appliquée.
Index. décimale :	740 Biologie végétale
Résumé :	Résumé Cette contribution porte sur l’évaluation et le suivi de la physico-chimie des eaux du barrage BéniHaroun et de l’oued Rhumel qui l’alimente et l’impact de la qualité vis-à-vis de la vie aquatique et de l’eau destinée à la production d’eau potable pour les agglomérations voisines. Trois stations de prélèvements ont été retenues ; deux situées sur l’oued Rhumel à Ain Smara en amont de Constantine, puis à Grarem en aval de la ville, et la troisième près de la digue du barrage de Béni Haroun. En vue de notre objectif, un suivi mensuel a été effectué en 2018 sur la physicochimie de l’eau via des méthodes classiques in situ et au laboratoire. Il a porté sur les paramètres : température, pH, CE, minéralisation, résidu sec, nitrates, chlorures, sulfates, bicarbonates, sodium, potassium, calcium et magnésium. Les résultats des analyses révèlent de façon générale que les eaux de l’oued Rhumel sont de moins bonne qualité que celles du barrage de Béni Haroun. En effet cet oued reste le réceptacle de rejets diffus urbains, industriels et agricoles provenant de Constantine et de sa banlieue malgré le traitement des eaux usées déjà en amont de la ville. Cependant il a été noté une diminution de la pollution en aval, sans doute grâce au rabattement de la charge polluante induit par la station d’épuration Ibn Ziad d’où l’amélioration de la qualité des eaux constatée pour Béni Haroun. Les paramètres analysés sont conformes aux normes algériennes relatives aux eaux destinées à la production d’eau de consommation humaine. La qualité physico-chimique des eaux a un impact direct sur la biodiversité floristique et faunistique de ces deux écosystèmes lotique et lentique. Comparativement à d’autres travaux, nous constatons que les teneurs de certains paramètres ont diminué, d’autres ont stagné, alors que d’autres ont augmenté. A l’avenir il serait intéressant, d’imposer l’installation de stations d’épuration à l’aval de chaque industrie polluante, d’intégrer des méthodes plus élaborées de dépollution et de traitement des eaux, de faire respecter la loi et de sensibiliser la population en ciblant surtout les jeunes à la préservation de l’environnement
Diplome :	Master 2
Permalink :	https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=13571