Diagnostic des mycoses superficielles / Amina Doukkari 

Public ISBD Titre : Diagnostic des mycoses superficielles Type de document : texte imprimé Auteurs : Amina Doukkari, Auteur ; Wissem Rekhoum, Auteur ; Malika Djaballah, Directeur de thèse Editeur : CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine Année de publication : 2018 Importance : 103 f. Format : 30 cm. Note générale : une copie electronique pdf disponible au buc. Langues : Français (fre) Catégories : Biologie:Microbiologie Tags : Mycose superficielle  Candidose  Dermatophytie  Mycologie médicale. mycologie et biotechnologie fongique Index. décimale : 720 Microbiologie Résumé : Les mycoses superficielles sont des maladies infectieuses très fréquentes de la peau, des phanères et des muqueuses dues à des champignons microscopiques : levures, dermatophytes et moisissures. Sur une période d’une année ; allant du mois d’Avril 2016 au 16 Avril 2018 ; deux cent (200) prélèvements pathologiques de nature différente sont analysés au laboratoire de mycologie, au Etablissement hôpital Didouche-Mourad à Constantine. L’objectif de cette étude est de connaitre les différentes techniques mises en Å“uvre dans le cadre du diagnostic des mycoses superficielles; notamment d’isoler et identifier les espèces qui en sont responsables chez des patients hospitalisés et des patients à consultation externe. Dans notre étude ; on a constaté que la démarche diagnostique au laboratoire comporte trois (03) étapes consécutives : un prélèvement (stérilement réalisé et bien adapté à la lésion) ; un examen direct (dont la négativité n’exclut pas la présence d’une mycose) ; une mise en culture (dont le but est d’isoler pour pouvoir ensuite identifier la souche fongique responsable). Notre étude a révélé que :  Les mycoses superficielles ont été confirmées dans 55 cas soit 27.5% par rapport à l’ensemble des prélèvements examinés. Le sex-ratio H/F est de 0.5, la moyenne d’âge est de 35.3ans. Les patients externes sont majoritaires 88.54%.  Ce travail confirme la prédominance des mycoses superficielles à levures 60% suivi des dermatophytes 40%.  Les dermatophytes isolés sont dominés par une seule espèce Trichophyton rubrum 45.5 %, les levures par Candida albicans 54.5%.  Les onychomycoses sont les mycoses les plus rencontrées puisqu’elles représentent 35.5% de l’ensemble des mycoses superficielles suivies d’épidermomycoses 25.5 % et de mycose vaginal 21.8 Diplome : Master 2 Permalink : https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=10618 Diagnostic des mycoses superficielles [texte imprimé] / Amina Doukkari, Auteur ; Wissem Rekhoum, Auteur ; Malika Djaballah, Directeur de thèse . - CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine, 2018 . - 103 f. ; 30 cm. une copie electronique pdf disponible au buc. Langues : Français (fre) Catégories : Biologie:Microbiologie Tags : Mycose superficielle  Candidose  Dermatophytie  Mycologie médicale. mycologie et biotechnologie fongique Index. décimale : 720 Microbiologie Résumé : Les mycoses superficielles sont des maladies infectieuses très fréquentes de la peau, des phanères et des muqueuses dues à des champignons microscopiques : levures, dermatophytes et moisissures. Sur une période d’une année ; allant du mois d’Avril 2016 au 16 Avril 2018 ; deux cent (200) prélèvements pathologiques de nature différente sont analysés au laboratoire de mycologie, au Etablissement hôpital Didouche-Mourad à Constantine. L’objectif de cette étude est de connaitre les différentes techniques mises en Å“uvre dans le cadre du diagnostic des mycoses superficielles; notamment d’isoler et identifier les espèces qui en sont responsables chez des patients hospitalisés et des patients à consultation externe. Dans notre étude ; on a constaté que la démarche diagnostique au laboratoire comporte trois (03) étapes consécutives : un prélèvement (stérilement réalisé et bien adapté à la lésion) ; un examen direct (dont la négativité n’exclut pas la présence d’une mycose) ; une mise en culture (dont le but est d’isoler pour pouvoir ensuite identifier la souche fongique responsable). Notre étude a révélé que :  Les mycoses superficielles ont été confirmées dans 55 cas soit 27.5% par rapport à l’ensemble des prélèvements examinés. Le sex-ratio H/F est de 0.5, la moyenne d’âge est de 35.3ans. Les patients externes sont majoritaires 88.54%.  Ce travail confirme la prédominance des mycoses superficielles à levures 60% suivi des dermatophytes 40%.  Les dermatophytes isolés sont dominés par une seule espèce Trichophyton rubrum 45.5 %, les levures par Candida albicans 54.5%.  Les onychomycoses sont les mycoses les plus rencontrées puisqu’elles représentent 35.5% de l’ensemble des mycoses superficielles suivies d’épidermomycoses 25.5 % et de mycose vaginal 21.8 Diplome : Master 2 Permalink : https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=10618

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