Titre : |
Association des délétions GSTM1 et GSTT1 au cancer de l’ovaire |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Rokia Hafirassou, Auteur ; Nour el houda Khalfa, Auteur ; N. CHAOUI-KHEROUATOU, Directeur de thèse |
Editeur : |
CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine |
Année de publication : |
2019 |
Importance : |
78 f. |
Format : |
30 cm. |
Note générale : |
Une copie electronique PDF disponible au BUC. |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Biologie:Biologie Animale
|
Tags : |
GSTM1, GSTT1, PCR multiplexe, cancer de l’ovaire, facteurs de risque,Génétique |
Index. décimale : |
750 Biologie Animale |
Résumé : |
Le cancer de l'ovaire est une maladie relativement rare mais grave et mortelle en raison de son diagnostic le plus
souvent tardif.
objectifs
Deux études ont été entreprises l’une statistique et l’autre moléculaire sur des patientes atteintes de cancer ovarien de
différents stade et type. Nos objectifs ont été d’une part la recherche de l’implication de certains facteurs de risque
dans la survenue de ce type de cancer et d’autre part la recherche d’une éventuelle association entre le risque de ce
type de cancer et les délétions des gènes de détoxification GSTM1 et GSTT1
Méthodes
Une étude rétrospective et prospective a été réalisée sur un ensemble de 46 patientes. L’étude moléculaire a été de
type cas -témoins portant sur 12 patientes et 14 témoins. Les génotypes des gènes GSTM1 et GSTT1 sont déterminés
par PCR multiplexe.
Résultats
L’apparition du cancer ovarien, augmente proportionnellement avec l’âge. L’effectif maximal a été observé pour des
patientes plus de 40 ans, ce qui coïnciderait avec la pré- ménopause ou la ménopause. Ce risque serait plus accru pour
les femmes nullipares, paucipares, ou présentant une prédisposition familiale. Par ailleurs, la prise de pilule
contraceptive, ainsi que la multiparité semblent conférer une protection contre le développement du cancer ovarien.
Suite au diagnostic qui est généralement tardif, ~ 61 % des patientes ont présenté une forte agressivité tumorale.
L’étude moléculaire a montré que le génotype GSTM1 nul ne semble pas être impliqué dans la survenue du cancer
ovarien. Par contre l’association entre le génotype GSTT1 nul et ce type de cancer semble significative.
Conclusion
Nos résultats préliminaires ne peuvent pas être généralisés à l’ensemble de la population algérienne. Des études
supplémentaires sur un échantillon plus large sont nécessaires pour affirmer ou infirmer l’association des génotypes
GSTs étudiés au cancer des ovaires. |
Diplome : |
Master 2 |
Permalink : |
https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=11432 |
Association des délétions GSTM1 et GSTT1 au cancer de l’ovaire [texte imprimé] / Rokia Hafirassou, Auteur ; Nour el houda Khalfa, Auteur ; N. CHAOUI-KHEROUATOU, Directeur de thèse . - CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine, 2019 . - 78 f. ; 30 cm. Une copie electronique PDF disponible au BUC. Langues : Français ( fre)
Catégories : |
Biologie:Biologie Animale
|
Tags : |
GSTM1, GSTT1, PCR multiplexe, cancer de l’ovaire, facteurs de risque,Génétique |
Index. décimale : |
750 Biologie Animale |
Résumé : |
Le cancer de l'ovaire est une maladie relativement rare mais grave et mortelle en raison de son diagnostic le plus
souvent tardif.
objectifs
Deux études ont été entreprises l’une statistique et l’autre moléculaire sur des patientes atteintes de cancer ovarien de
différents stade et type. Nos objectifs ont été d’une part la recherche de l’implication de certains facteurs de risque
dans la survenue de ce type de cancer et d’autre part la recherche d’une éventuelle association entre le risque de ce
type de cancer et les délétions des gènes de détoxification GSTM1 et GSTT1
Méthodes
Une étude rétrospective et prospective a été réalisée sur un ensemble de 46 patientes. L’étude moléculaire a été de
type cas -témoins portant sur 12 patientes et 14 témoins. Les génotypes des gènes GSTM1 et GSTT1 sont déterminés
par PCR multiplexe.
Résultats
L’apparition du cancer ovarien, augmente proportionnellement avec l’âge. L’effectif maximal a été observé pour des
patientes plus de 40 ans, ce qui coïnciderait avec la pré- ménopause ou la ménopause. Ce risque serait plus accru pour
les femmes nullipares, paucipares, ou présentant une prédisposition familiale. Par ailleurs, la prise de pilule
contraceptive, ainsi que la multiparité semblent conférer une protection contre le développement du cancer ovarien.
Suite au diagnostic qui est généralement tardif, ~ 61 % des patientes ont présenté une forte agressivité tumorale.
L’étude moléculaire a montré que le génotype GSTM1 nul ne semble pas être impliqué dans la survenue du cancer
ovarien. Par contre l’association entre le génotype GSTT1 nul et ce type de cancer semble significative.
Conclusion
Nos résultats préliminaires ne peuvent pas être généralisés à l’ensemble de la population algérienne. Des études
supplémentaires sur un échantillon plus large sont nécessaires pour affirmer ou infirmer l’association des génotypes
GSTs étudiés au cancer des ovaires. |
Diplome : |
Master 2 |
Permalink : |
https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=11432 |
|