Catalogue des Mémoires de master
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Auteur M Gaci |
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Titre : Les bactéries endophytes isolées à partir des légumineuses Type de document : texte imprimé Auteurs : Asma Ariba, Auteur ; Chaima Dina Benhamama, Auteur ; Yousra Bousba, Auteur ; M Gaci, Directeur de thèse Editeur : CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine Année de publication : 2021 Importance : 67 f. Format : 30 cm. Note générale : Une copie electronique PDF disponible au BUC Langues : Français (fre) Catégories : Biologie:Microbiologie Tags : Bactéries NRE, Légumineuses, Plante hôte, Communautés, Phytohormones, Ecologie Microbienne. Index. décimale : 720 Microbiologie Résumé : L'association des plantes et des bactéries endophytes comprend une grande diversité de taxons
bactériens et d'hôtes végétaux. Dans cette étude bibliographique nous présentons un aperçu
général sur la relation entre les légumineuses et les bactéries endophytes non rhizobiennes « Non
Rhizobial Endophytes » (NRE). Les légumineuses sont des plantes hôtes de communautés
complexes de bactéries endophytes qui colonisent l'intérieur des tissus souterrains et aériennes, il y
a plusieurs mécanismes impliqués dans l'invasion des endophytes et leurs effets sur les hôtes
(négatifs ou positifs). Les bactéries NRE peuvent être acquises horizontalement à partir de
l'environnement à chaque nouvelle génération (via le sol, l'atmosphère et les insectes…), ou
transmises verticalement de génération en génération (via les graines et le pollen…). La majorité
des bactéries NRE sont capables de favoriser la croissance des légumineuses par la production de
phytohormones, l'acquisition de nutriments et en conférant une tolérance aux stress abiotiques et
biotiques. La colonisation par les endophytes est essentielle pour apporter ces avantages à la plante
hôte, et les plantes en retour fournissent les nutriments pour leur croissance. L'utilisation de
bactéries endophytes présente un intérêt particulier pour le développement d'applications agricoles
permettant d'améliorer les performances des cultures dans des conditions de stress liées au froid, Ã
la sécheresse ou aux sols contaminés, ou de renforcer la résistance.Diplome : Master 2 Permalink : https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=16005 Les bactéries endophytes isolées à partir des légumineuses [texte imprimé] / Asma Ariba, Auteur ; Chaima Dina Benhamama, Auteur ; Yousra Bousba, Auteur ; M Gaci, Directeur de thèse . - CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine, 2021 . - 67 f. ; 30 cm.
Une copie electronique PDF disponible au BUC
Langues : Français (fre)
Catégories : Biologie:Microbiologie Tags : Bactéries NRE, Légumineuses, Plante hôte, Communautés, Phytohormones, Ecologie Microbienne. Index. décimale : 720 Microbiologie Résumé : L'association des plantes et des bactéries endophytes comprend une grande diversité de taxons
bactériens et d'hôtes végétaux. Dans cette étude bibliographique nous présentons un aperçu
général sur la relation entre les légumineuses et les bactéries endophytes non rhizobiennes « Non
Rhizobial Endophytes » (NRE). Les légumineuses sont des plantes hôtes de communautés
complexes de bactéries endophytes qui colonisent l'intérieur des tissus souterrains et aériennes, il y
a plusieurs mécanismes impliqués dans l'invasion des endophytes et leurs effets sur les hôtes
(négatifs ou positifs). Les bactéries NRE peuvent être acquises horizontalement à partir de
l'environnement à chaque nouvelle génération (via le sol, l'atmosphère et les insectes…), ou
transmises verticalement de génération en génération (via les graines et le pollen…). La majorité
des bactéries NRE sont capables de favoriser la croissance des légumineuses par la production de
phytohormones, l'acquisition de nutriments et en conférant une tolérance aux stress abiotiques et
biotiques. La colonisation par les endophytes est essentielle pour apporter ces avantages à la plante
hôte, et les plantes en retour fournissent les nutriments pour leur croissance. L'utilisation de
bactéries endophytes présente un intérêt particulier pour le développement d'applications agricoles
permettant d'améliorer les performances des cultures dans des conditions de stress liées au froid, Ã
la sécheresse ou aux sols contaminés, ou de renforcer la résistance.Diplome : Master 2 Permalink : https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=16005 Réservation
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texte intégreAdobe Acrobat PDFL’effet PGPR chez les rhizobiums nodulant les légumineuses ainsi que chez les non rhizobiums. / Nada Ahmari
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Titre : L’effet PGPR chez les rhizobiums nodulant les légumineuses ainsi que chez les non rhizobiums. Type de document : texte imprimé Auteurs : Nada Ahmari, Auteur ; Inès Mesrane, Auteur ; Oumnia Zaimi, Auteur ; M Gaci, Directeur de thèse Editeur : CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine Année de publication : 2021 Importance : 68 f. Format : 30 cm. Note générale : Une copie electronique PDF disponible au BUC Langues : Français (fre) Catégories : Biologie:Microbiologie Tags : Rhizosphère, Plantes, PGPR, Mécanismes directs, Mécanismes indirects,Ecologie Microbienne. Index. décimale : 720 Microbiologie Résumé : Résumé
La rhizosphère est une zone du sol pénétrée par les racines qui est riche en éléments nutritifs permettant la croissance des
microorganismes. Parmi ces microorganismes, « le rhizobium » qui forme une association symbiotique avec les légumineuses.
Cette association conduit à la formation d'un petit organe spécialisé appelé « nodule » sur les racines ou parfois sur les tiges des
légumineuses. Au sein du nodule, les bactéries peuvent fixer l'azote atmosphérique grâce à leur activité nitrogénase, et le
transférer aux plantes sous une forme assimilable. Les rhizobactéries sont définies comme des bactéries présentes dans la
rhizosphère connues sous le terme de PGPR « Plant Growth Promoting Rhizobacteria ». Elles interviennent directement ou
indirectement dans la croissance des plantes selon plusieurs mécanismes. Ce mémoire est une revue bibliographique des
recherches menées sur l’effet PGPR chez les rhizobiums nodulant les légumineuses ainsi que chez les non rhizobiums. Les
mécanismes directs sont ceux qui se produisent à l'intérieur de la plante et affectent directement son métabolisme en améliorant
la biodisponibilité des éléments nutritifs (azote, phosphate, potassium) et synthétisant des phytohormones (auxine,
cytokinine…). De plus, ils permettent l’élongation racinaire grâce à l’activation de l’1-aminocyclopropane-1-carboxylate
(ACC). Tandis que les mécanismes indirects sont généralement ceux qui se produisent en dehors de la plante. Ils permettent
l’inhibition des pathogènes par l’antagonisme en produisant les antibiotiques et les enzymes lytiques, ils augmentent la résistance
des plantes contre les agents pathogènes par l’activation de la résistance systémique induite (RSI), Ainsi qu’ils contrôlent la
croissance des pathogènes par la compétition pour les éléments nutritifs (compétitions pour le fer...).Diplome : Master 2 Permalink : https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=15174 L’effet PGPR chez les rhizobiums nodulant les légumineuses ainsi que chez les non rhizobiums. [texte imprimé] / Nada Ahmari, Auteur ; Inès Mesrane, Auteur ; Oumnia Zaimi, Auteur ; M Gaci, Directeur de thèse . - CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine, 2021 . - 68 f. ; 30 cm.
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Catégories : Biologie:Microbiologie Tags : Rhizosphère, Plantes, PGPR, Mécanismes directs, Mécanismes indirects,Ecologie Microbienne. Index. décimale : 720 Microbiologie Résumé : Résumé
La rhizosphère est une zone du sol pénétrée par les racines qui est riche en éléments nutritifs permettant la croissance des
microorganismes. Parmi ces microorganismes, « le rhizobium » qui forme une association symbiotique avec les légumineuses.
Cette association conduit à la formation d'un petit organe spécialisé appelé « nodule » sur les racines ou parfois sur les tiges des
légumineuses. Au sein du nodule, les bactéries peuvent fixer l'azote atmosphérique grâce à leur activité nitrogénase, et le
transférer aux plantes sous une forme assimilable. Les rhizobactéries sont définies comme des bactéries présentes dans la
rhizosphère connues sous le terme de PGPR « Plant Growth Promoting Rhizobacteria ». Elles interviennent directement ou
indirectement dans la croissance des plantes selon plusieurs mécanismes. Ce mémoire est une revue bibliographique des
recherches menées sur l’effet PGPR chez les rhizobiums nodulant les légumineuses ainsi que chez les non rhizobiums. Les
mécanismes directs sont ceux qui se produisent à l'intérieur de la plante et affectent directement son métabolisme en améliorant
la biodisponibilité des éléments nutritifs (azote, phosphate, potassium) et synthétisant des phytohormones (auxine,
cytokinine…). De plus, ils permettent l’élongation racinaire grâce à l’activation de l’1-aminocyclopropane-1-carboxylate
(ACC). Tandis que les mécanismes indirects sont généralement ceux qui se produisent en dehors de la plante. Ils permettent
l’inhibition des pathogènes par l’antagonisme en produisant les antibiotiques et les enzymes lytiques, ils augmentent la résistance
des plantes contre les agents pathogènes par l’activation de la résistance systémique induite (RSI), Ainsi qu’ils contrôlent la
croissance des pathogènes par la compétition pour les éléments nutritifs (compétitions pour le fer...).Diplome : Master 2 Permalink : https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=15174 Réservation
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Titre : Les infections du site opératoire. Type de document : texte imprimé Auteurs : Boutheina Touil, Auteur ; Fatima Zohra Zater, Auteur ; M Gaci, Directeur de thèse Editeur : CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine Année de publication : 2020 Importance : 115 f. Format : 30 cm. Note générale : Une copie electronique PDF disponible au BUC Langues : Français (fre) Catégories : Biologie:Microbiologie Tags : Mot clés : Infection du site opératoire, Bloc opératoire, Intervention chirurgicale, Staphylococcus aureus,
Identification, Ecologie Microbienne.Index. décimale : 720 Microbiologie Résumé : Résumé
Les infections du site opératoire (ISO) sont des infections nosocomiales (IN) survenant suite à une
intervention chirurgicale. Les principaux facteurs de risque impliqués sont l’environnement pré-
per- et postopératoires du malade ainsi que de l’équipe soignante, les défenses immunitaires de
l’hôte et surtout le niveau de propreté de l’acte chirurgical. Afin de diminuer l’incidence de cette
pathologie, il est nécessaire d’en améliorer la détection et la surveillance pour optimiser les
mesures et le protocole d’hygiène au bloc opératoire ou salle d’hospitalisation et d’adapter les
traitements prophylactiques au niveau du risque correspondant. Tout ceci nécessite une prise en
charge pluridisciplinaire, une information éclairée des patients sur ce risque, et une implication
consciente de l’ensemble des acteurs de soins. Ce mémoire se focalise sur la classification, la
pathogénicité, les facteurs de risque, la prévention, le traitement ainsi que les microorganismes
responsables des ISO. Dans toutes les interventions chirurgicales confondues, Staphylococcus
aureus est la bactérie la plus souvent isolée lors d'ISO (40 %), suivie par les staphylocoques Ã
coagulase négative tel que S. epidermidis (10 à 30 %), Escherichia coli (8-13 %), les entérocoques
(8-12 %), Pseudomonas aeruginosa (7-8 %), Enterobacter spp. (3-7 %), divers streptocoques (4-5
%), Bacteroides fragilis, Proteus mirabilis, Klebsiella pneumoniae (2-4 %) chacun. La fréquence
relative de ces différentes bactéries dépend du type de chirurgie. Chez les patients
immunosupprimés, on peut voir, au-delà des bactéries classiques, des infections à germes
atypiques (mycobactéries, Nocardia spp.) ou à champignons (Candida, Aspergillus, Mucor,
Fusarium, Cryptococcus). Les techniques d’analyses du contenu phénotypique et génomique sont
des méthodes nécessaires pour l’identification, la comparaison et le suivi de l’évolution des
souches pathogènes, et qui se révèle indispensable à meilleure caractérisation épidémiologique des
souches hospitalières pour déterminer l’origine clonale ou non d’une souche. Le chapitre trois de
ce présent mémoire traite toutes ces techniques employées.Diplome : Master 2 Permalink : https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=13441 Les infections du site opératoire. [texte imprimé] / Boutheina Touil, Auteur ; Fatima Zohra Zater, Auteur ; M Gaci, Directeur de thèse . - CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine, 2020 . - 115 f. ; 30 cm.
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Langues : Français (fre)
Catégories : Biologie:Microbiologie Tags : Mot clés : Infection du site opératoire, Bloc opératoire, Intervention chirurgicale, Staphylococcus aureus,
Identification, Ecologie Microbienne.Index. décimale : 720 Microbiologie Résumé : Résumé
Les infections du site opératoire (ISO) sont des infections nosocomiales (IN) survenant suite à une
intervention chirurgicale. Les principaux facteurs de risque impliqués sont l’environnement pré-
per- et postopératoires du malade ainsi que de l’équipe soignante, les défenses immunitaires de
l’hôte et surtout le niveau de propreté de l’acte chirurgical. Afin de diminuer l’incidence de cette
pathologie, il est nécessaire d’en améliorer la détection et la surveillance pour optimiser les
mesures et le protocole d’hygiène au bloc opératoire ou salle d’hospitalisation et d’adapter les
traitements prophylactiques au niveau du risque correspondant. Tout ceci nécessite une prise en
charge pluridisciplinaire, une information éclairée des patients sur ce risque, et une implication
consciente de l’ensemble des acteurs de soins. Ce mémoire se focalise sur la classification, la
pathogénicité, les facteurs de risque, la prévention, le traitement ainsi que les microorganismes
responsables des ISO. Dans toutes les interventions chirurgicales confondues, Staphylococcus
aureus est la bactérie la plus souvent isolée lors d'ISO (40 %), suivie par les staphylocoques Ã
coagulase négative tel que S. epidermidis (10 à 30 %), Escherichia coli (8-13 %), les entérocoques
(8-12 %), Pseudomonas aeruginosa (7-8 %), Enterobacter spp. (3-7 %), divers streptocoques (4-5
%), Bacteroides fragilis, Proteus mirabilis, Klebsiella pneumoniae (2-4 %) chacun. La fréquence
relative de ces différentes bactéries dépend du type de chirurgie. Chez les patients
immunosupprimés, on peut voir, au-delà des bactéries classiques, des infections à germes
atypiques (mycobactéries, Nocardia spp.) ou à champignons (Candida, Aspergillus, Mucor,
Fusarium, Cryptococcus). Les techniques d’analyses du contenu phénotypique et génomique sont
des méthodes nécessaires pour l’identification, la comparaison et le suivi de l’évolution des
souches pathogènes, et qui se révèle indispensable à meilleure caractérisation épidémiologique des
souches hospitalières pour déterminer l’origine clonale ou non d’une souche. Le chapitre trois de
ce présent mémoire traite toutes ces techniques employées.Diplome : Master 2 Permalink : https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=13441 Réservation
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Titre : Les infections urinaires. Type de document : texte imprimé Auteurs : Hadjer Bribeche, Auteur ; M Gaci, Directeur de thèse Editeur : CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine Année de publication : 2020 Importance : 90 f. Format : 30 cm. Note générale : Une copie electronique PDF disponible au BUC Langues : Français (fre) Catégories : Biologie:Microbiologie Tags : Mot clés : IU, ECBU, les microorganismes uropathogènes, antibiogramme, pouvoir pathogène,Ecologie Microbienne Index. décimale : 720 Microbiologie Résumé : Résumé : L’infection urinaire (IU) fait partie des maladies infectieuses les plus courantes, car elle
entraine des problèmes de santé au niveau des voies du système urinaire. Pour diagnostiquer cette
infection, il est demandé de donner un échantillon d’urine dans le but de mener une étude
bactériologique pour détecter les souches isolées à l’origine de cette IU. Ce mémoire est une revue
bibliographique des recherches menées sur les IU. Dans le 1er chapitre, nous avons découvert les
éléments qui constituent l’appareil urinaire et son rôle dans l’élimination des déchets du corps par
l’urine, les différents types d’IU, ainsi que leur classification par les critères de base selon la
gravité, le siège et le lieu d’attraction de l’infection ... Nous avons parlé également des
antibiotiques utilisés efficacement contre les infections causées par des bactéries. Dans le 2ème
chapitre, nous avons donné un aperçu sur les différents germes responsables d’IU et nous avons
trouvé que les bactéries sont l’agent le plus commun à l’origine de cette infection comme
Escherichia coli, Staphylococcus saprophyticus, Proteus mirabilis, Klebsilla pneumonia,
Enterobacter, Serratia, entérocoques et Pseudomonas aeruginosa... Nous avons également signalé
les caractères biochimiques, culturaux ainsi que le pouvoir pathogène et les facteurs de virulence
des microorganismes uropathogènes. Dans le 3ème chapitre, nous avons détaillé les différentes
techniques phénotypiques et génotypiques qui permettent l’identification des microorganismes
responsables des IU tels que : l’Examen Cytobactériologique des Urines (ECBU), la chimie des
urines, les différents types d’antibiogramme, la virurie, l’examen parasitologique des urines,
l’antigénurie, la détection moléculaire des entérobactéries productrices de carbapénèmases, la
technique d’amplification par la PCR et BDMAX TMMRSAXTDiplome : Master 2 Permalink : https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=13900 Les infections urinaires. [texte imprimé] / Hadjer Bribeche, Auteur ; M Gaci, Directeur de thèse . - CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine, 2020 . - 90 f. ; 30 cm.
Une copie electronique PDF disponible au BUC
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Catégories : Biologie:Microbiologie Tags : Mot clés : IU, ECBU, les microorganismes uropathogènes, antibiogramme, pouvoir pathogène,Ecologie Microbienne Index. décimale : 720 Microbiologie Résumé : Résumé : L’infection urinaire (IU) fait partie des maladies infectieuses les plus courantes, car elle
entraine des problèmes de santé au niveau des voies du système urinaire. Pour diagnostiquer cette
infection, il est demandé de donner un échantillon d’urine dans le but de mener une étude
bactériologique pour détecter les souches isolées à l’origine de cette IU. Ce mémoire est une revue
bibliographique des recherches menées sur les IU. Dans le 1er chapitre, nous avons découvert les
éléments qui constituent l’appareil urinaire et son rôle dans l’élimination des déchets du corps par
l’urine, les différents types d’IU, ainsi que leur classification par les critères de base selon la
gravité, le siège et le lieu d’attraction de l’infection ... Nous avons parlé également des
antibiotiques utilisés efficacement contre les infections causées par des bactéries. Dans le 2ème
chapitre, nous avons donné un aperçu sur les différents germes responsables d’IU et nous avons
trouvé que les bactéries sont l’agent le plus commun à l’origine de cette infection comme
Escherichia coli, Staphylococcus saprophyticus, Proteus mirabilis, Klebsilla pneumonia,
Enterobacter, Serratia, entérocoques et Pseudomonas aeruginosa... Nous avons également signalé
les caractères biochimiques, culturaux ainsi que le pouvoir pathogène et les facteurs de virulence
des microorganismes uropathogènes. Dans le 3ème chapitre, nous avons détaillé les différentes
techniques phénotypiques et génotypiques qui permettent l’identification des microorganismes
responsables des IU tels que : l’Examen Cytobactériologique des Urines (ECBU), la chimie des
urines, les différents types d’antibiogramme, la virurie, l’examen parasitologique des urines,
l’antigénurie, la détection moléculaire des entérobactéries productrices de carbapénèmases, la
technique d’amplification par la PCR et BDMAX TMMRSAXTDiplome : Master 2 Permalink : https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=13900 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité MSBIO200303 MSBIO200303 Document électronique Bibliothèque principale Mémoires Disponible Documents numériques
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Titre : Les infections urinaires à bacilles Gram négatif (BGN) Type de document : texte imprimé Auteurs : Ouissem Mouhoub, Auteur ; Salima Bouchouit, Auteur ; M Gaci, Directeur de thèse Editeur : CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine Année de publication : 2019 Importance : 64 f. Format : 30 cm. Note générale : Une copie electronique PDF disponible au BUC. Langues : Français (fre) Catégories : Biologie:Microbiologie Tags : Infection urinaire, Examen cytobactériologique des urines, BGN, Antibiogramme,Écologie Microbienne. Index. décimale : 720 Microbiologie Résumé : Notre étude a été menée au sein du laboratoire central de bactériologie du Centre hospitalo- universitaire de
Constantine (CHU) pendant une période d’un mois (du 01 au 28 février 2019). Le but de cette étude a porté sur
l’identification des souches responsables d’infections urinaires isolées à partir de différents prélèvements
réceptionnées au laboratoire, par la méthode de l’ECBU, suivit de la mise en évidence du profil de résistance ou
de sensibilité des souches incriminées. Parmi un total de 760 prélèvements reçu, 141 se sont révélés positifs,
dont 116 ont été identifiés comme positifs pour les BGN (82.26%), comprenant les entérobactéries qui occupent
le premier rang avec toujours une prédominance chez le sexe féminin (60.99%). Les principaux germes
retrouvés étaient Escherichia coli en tête de liste des uropathogenes avec un pourcentage de 47.51%, suivi par
Klebsiella pneumoniae (17.02%), Pseudomonas aeroginosa (9.21%) et Proteus mirabilis (5.67%). Les autres
germes sont avec des faibles pourcentages : Enterobacter (3.54%), autres bacilles non fermentents (BNF)
(2.83%), Staphylococcus spp (4.25%), Enterococcus spp, Streptococcus spp, Serratia spp, Morganella morganii
(1.41%) et les levures (4.25%). L’évaluation de la résistance des souches identifiées vis-à -vis des antibiotiques
testés a indiqué une importante croissance de résistance de la plus part des BGN, notamment les entérobactéries
qui présentent des taux de résistance élevés surtout à l’Amoxicilline (82.21%) et la Ticarcilline (75.66%). Nous
avons également constaté une résistance plus élevée des souches de K. pneumoniae (49.13%) par rapport Ã
celles d’E. coli (31.34%) vis-à -vis de la majorité des antibiotiques testés. Par contre les souches de
Pseudomonas aeruginosa présentent une sensibilité importante à l’ensemble des antibiotiques testés surtout à la
Ciprofloxacine, l’Imipenéme et l’AztreonamDiplome : Master 2 Permalink : https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=11560 Les infections urinaires à bacilles Gram négatif (BGN) [texte imprimé] / Ouissem Mouhoub, Auteur ; Salima Bouchouit, Auteur ; M Gaci, Directeur de thèse . - CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine, 2019 . - 64 f. ; 30 cm.
Une copie electronique PDF disponible au BUC.
Langues : Français (fre)
Catégories : Biologie:Microbiologie Tags : Infection urinaire, Examen cytobactériologique des urines, BGN, Antibiogramme,Écologie Microbienne. Index. décimale : 720 Microbiologie Résumé : Notre étude a été menée au sein du laboratoire central de bactériologie du Centre hospitalo- universitaire de
Constantine (CHU) pendant une période d’un mois (du 01 au 28 février 2019). Le but de cette étude a porté sur
l’identification des souches responsables d’infections urinaires isolées à partir de différents prélèvements
réceptionnées au laboratoire, par la méthode de l’ECBU, suivit de la mise en évidence du profil de résistance ou
de sensibilité des souches incriminées. Parmi un total de 760 prélèvements reçu, 141 se sont révélés positifs,
dont 116 ont été identifiés comme positifs pour les BGN (82.26%), comprenant les entérobactéries qui occupent
le premier rang avec toujours une prédominance chez le sexe féminin (60.99%). Les principaux germes
retrouvés étaient Escherichia coli en tête de liste des uropathogenes avec un pourcentage de 47.51%, suivi par
Klebsiella pneumoniae (17.02%), Pseudomonas aeroginosa (9.21%) et Proteus mirabilis (5.67%). Les autres
germes sont avec des faibles pourcentages : Enterobacter (3.54%), autres bacilles non fermentents (BNF)
(2.83%), Staphylococcus spp (4.25%), Enterococcus spp, Streptococcus spp, Serratia spp, Morganella morganii
(1.41%) et les levures (4.25%). L’évaluation de la résistance des souches identifiées vis-à -vis des antibiotiques
testés a indiqué une importante croissance de résistance de la plus part des BGN, notamment les entérobactéries
qui présentent des taux de résistance élevés surtout à l’Amoxicilline (82.21%) et la Ticarcilline (75.66%). Nous
avons également constaté une résistance plus élevée des souches de K. pneumoniae (49.13%) par rapport Ã
celles d’E. coli (31.34%) vis-à -vis de la majorité des antibiotiques testés. Par contre les souches de
Pseudomonas aeruginosa présentent une sensibilité importante à l’ensemble des antibiotiques testés surtout à la
Ciprofloxacine, l’Imipenéme et l’AztreonamDiplome : Master 2 Permalink : https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=11560 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité MSBIO190107 MSBIO190107 Document électronique Bibliothèque principale Mémoires Disponible Documents numériques
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