Contribution à l’étude du pouvoir dégradant de Pseudomonas aeruginosa et Serratia marcescens vis-à-vis du pétrole brut et du gasoil / Rania Benkhalef 

Public ISBD Titre : Contribution à l’étude du pouvoir dégradant de Pseudomonas aeruginosa et Serratia marcescens vis-à-vis du pétrole brut et du gasoil Type de document : texte imprimé Auteurs : Rania Benkhalef, Auteur ; Sabrina Bouarioua, Auteur ; Ibtissem Guergouri, Directeur de thèse Editeur : CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine Année de publication : 2019 Importance : 85 f. Format : 30 cm. Note générale : Une copie electronique PDF disponible au BUC. Langues : Français (fre) Catégories : Biologie:Microbiologie Tags : Pétrole brut, gasoil, bioaugmentation, Pseudomonas aeruginosa, Serratia marcenscens,Biologie moléculaire des microorganismes. Index. décimale : 720 Microbiologie Résumé : Le présent travail a été mené en vue de mettre en Å“uvre la capacité de deux souches bactériennes à dégrader le pétrole brut et le gasoil et épurer un sol artificiellement pollué en conditions du laboratoire. Ces bactéries proviennent de sols contaminés par le pétrole brut. I2 et H9 sont deux Pseudomonas aeruginosa et M6 est une Serratia marcenscens. Elles ont fait l’objet d’étude morphologique macroscopique et microscopique pour s’assurer de leur pureté. Cinq bacs de traitement contenant chacun un mélange de sol et de sable contaminés de l’un des polluants sont utilisés. Deux servent pour la bioaugmentation par les bactéries hydrocarbonoclastes et deux pour l’atténuation naturelle grâce aux microorganismes indigènes, un dernier étant un témoin non contaminé. L’efficacité du traitement avec le consortium bactérien (I2+H9+M6) a été évaluée d’une part par la mesure de la biomasse microbienne et d’une autre part par un test de germination et le calcul de son indice, durant 45 jours d’expérimentation. D’après les résultats, l’épuration du sol contenant le pétrole brut par les bactéries indigènes ou le consortium inoculé a donné un meilleur rendement (74,05%) en peu de temps par comparaison à celle du gasoil (8,55%) avec une dominance de Serratia marcenscens pour le gasoil et Pseudomonas aeruginosa pour le pétrole brut. Diplome : Master 2 Permalink : https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=11858 Contribution à l’étude du pouvoir dégradant de Pseudomonas aeruginosa et Serratia marcescens vis-à-vis du pétrole brut et du gasoil [texte imprimé] / Rania Benkhalef, Auteur ; Sabrina Bouarioua, Auteur ; Ibtissem Guergouri, Directeur de thèse . - CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine, 2019 . - 85 f. ; 30 cm. Une copie electronique PDF disponible au BUC. Langues : Français (fre) Catégories : Biologie:Microbiologie Tags : Pétrole brut, gasoil, bioaugmentation, Pseudomonas aeruginosa, Serratia marcenscens,Biologie moléculaire des microorganismes. Index. décimale : 720 Microbiologie Résumé : Le présent travail a été mené en vue de mettre en Å“uvre la capacité de deux souches bactériennes à dégrader le pétrole brut et le gasoil et épurer un sol artificiellement pollué en conditions du laboratoire. Ces bactéries proviennent de sols contaminés par le pétrole brut. I2 et H9 sont deux Pseudomonas aeruginosa et M6 est une Serratia marcenscens. Elles ont fait l’objet d’étude morphologique macroscopique et microscopique pour s’assurer de leur pureté. Cinq bacs de traitement contenant chacun un mélange de sol et de sable contaminés de l’un des polluants sont utilisés. Deux servent pour la bioaugmentation par les bactéries hydrocarbonoclastes et deux pour l’atténuation naturelle grâce aux microorganismes indigènes, un dernier étant un témoin non contaminé. L’efficacité du traitement avec le consortium bactérien (I2+H9+M6) a été évaluée d’une part par la mesure de la biomasse microbienne et d’une autre part par un test de germination et le calcul de son indice, durant 45 jours d’expérimentation. D’après les résultats, l’épuration du sol contenant le pétrole brut par les bactéries indigènes ou le consortium inoculé a donné un meilleur rendement (74,05%) en peu de temps par comparaison à celle du gasoil (8,55%) avec une dominance de Serratia marcenscens pour le gasoil et Pseudomonas aeruginosa pour le pétrole brut. Diplome : Master 2 Permalink : https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=11858

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