Titre : |
Implication du polymorphisme I/D de l’enzyme de conversion de l’angiotensine dans la survenue du cancer du col de l’utérus |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Ryma Dridi, Auteur ; Mimouna Lemoui, Auteur ; Ouarda Semmame, Directeur de thèse |
Editeur : |
CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine |
Année de publication : |
2019 |
Importance : |
89 f. |
Format : |
30 cm. |
Note générale : |
Une copie electronique PDF disponible au BUC. |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Biologie:Biologie Animale
|
Tags : |
Cancer du col de l’utérus, facteurs de risque, ECA, polymorphisme I/D,Génétique. |
Index. décimale : |
750 Biologie Animale |
Résumé : |
Le cancer du col utérin est une pathologie d’origine infectieuse. Il se place au deuxième rang des cancers
féminins dans le monde, son incidence varie en fonction de plusieurs facteurs de risque. L’objectif de ce travail est
d’explorer les facteurs de risque les plus courants dans l’apparition de ce type de cancer et de démontrer une possible
association entre le polymorphisme insertion/délétion de l’enzyme de conversion de l’angiotensine et le cancer du col
de l’utérus.
Notre étude de type cas-témoin regroupe 12 sujets atteints du cancer du col de l’utérus et 15 sujets témoins.
Une extraction de l’ADN leucocytaire est réalisée pour la population d’étude. Le génotypage du polymorphisme de
l’ECA est déterminé par la méthode PCR directe. La comparaison des fréquences alléliques et génotypiques entre les
deux groupes a été établie par le calcul de l’Odds ratio avec un intervalle de confiance à 95 %.
Les résultats relevés montrent que l’apparition du cancer du col de l’utérus est majoritaire chez les personnes
âgées de 50 à 60 ans. 41,66 % de nos patientes ont commencé leur vie sexuelle entre 15 et 20 ans, 16,66 % ont eu leur
première grossesse à un âge très précoce (entre 15 et 20 ans). De plus, les patientes multipares, qui ont plus de 10
enfants, constituent 25 % de la population d’étude et 66,66 % des patientes ont utilisé des méthodes de contraception
orale. Toutes les femmes malades sont issues d’un niveau socio-économique bas. Par ailleurs, dans notre étude aucune
patiente n’est fumeuse et aussi aucune femme n’a eu plusieurs partenaires sexuelles. L’étude clinique montre que le
type histologique le plus répondu est le carcinome épidermoïde. Tandis que, le stade IIB est le plus représenté.
Enfin, les résultats de l’étude moléculaire indiquent que 0 % des patientes sont du génotype homozygote
DD, par rapport aux témoins (40 %). Mais, il existe une différence significative (p=0,0046) de l’allèle muté D par
rapport à l’allèle I, ce qui confirme le rôle supposé de l’allèle D du gène de l’ECA et la susceptibilité du cancer du
col de l’utérus dans notre population. Des études supplémentaires sont nécessaires pour confirmer cela. |
Diplome : |
Master 2 |
Permalink : |
https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=12151 |
Implication du polymorphisme I/D de l’enzyme de conversion de l’angiotensine dans la survenue du cancer du col de l’utérus [texte imprimé] / Ryma Dridi, Auteur ; Mimouna Lemoui, Auteur ; Ouarda Semmame, Directeur de thèse . - CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine, 2019 . - 89 f. ; 30 cm. Une copie electronique PDF disponible au BUC. Langues : Français ( fre)
Catégories : |
Biologie:Biologie Animale
|
Tags : |
Cancer du col de l’utérus, facteurs de risque, ECA, polymorphisme I/D,Génétique. |
Index. décimale : |
750 Biologie Animale |
Résumé : |
Le cancer du col utérin est une pathologie d’origine infectieuse. Il se place au deuxième rang des cancers
féminins dans le monde, son incidence varie en fonction de plusieurs facteurs de risque. L’objectif de ce travail est
d’explorer les facteurs de risque les plus courants dans l’apparition de ce type de cancer et de démontrer une possible
association entre le polymorphisme insertion/délétion de l’enzyme de conversion de l’angiotensine et le cancer du col
de l’utérus.
Notre étude de type cas-témoin regroupe 12 sujets atteints du cancer du col de l’utérus et 15 sujets témoins.
Une extraction de l’ADN leucocytaire est réalisée pour la population d’étude. Le génotypage du polymorphisme de
l’ECA est déterminé par la méthode PCR directe. La comparaison des fréquences alléliques et génotypiques entre les
deux groupes a été établie par le calcul de l’Odds ratio avec un intervalle de confiance à 95 %.
Les résultats relevés montrent que l’apparition du cancer du col de l’utérus est majoritaire chez les personnes
âgées de 50 à 60 ans. 41,66 % de nos patientes ont commencé leur vie sexuelle entre 15 et 20 ans, 16,66 % ont eu leur
première grossesse à un âge très précoce (entre 15 et 20 ans). De plus, les patientes multipares, qui ont plus de 10
enfants, constituent 25 % de la population d’étude et 66,66 % des patientes ont utilisé des méthodes de contraception
orale. Toutes les femmes malades sont issues d’un niveau socio-économique bas. Par ailleurs, dans notre étude aucune
patiente n’est fumeuse et aussi aucune femme n’a eu plusieurs partenaires sexuelles. L’étude clinique montre que le
type histologique le plus répondu est le carcinome épidermoïde. Tandis que, le stade IIB est le plus représenté.
Enfin, les résultats de l’étude moléculaire indiquent que 0 % des patientes sont du génotype homozygote
DD, par rapport aux témoins (40 %). Mais, il existe une différence significative (p=0,0046) de l’allèle muté D par
rapport à l’allèle I, ce qui confirme le rôle supposé de l’allèle D du gène de l’ECA et la susceptibilité du cancer du
col de l’utérus dans notre population. Des études supplémentaires sont nécessaires pour confirmer cela. |
Diplome : |
Master 2 |
Permalink : |
https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=12151 |
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