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Etude de l’association entre le polymorphisme Arg72Pro du gène de la p53 et le risque du cancer colorectal. / Inès Khebbab
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Titre : Etude de l’association entre le polymorphisme Arg72Pro du gène de la p53 et le risque du cancer colorectal. Type de document : texte imprimé Auteurs : Inès Khebbab, Auteur ; Asma Boufligha, Auteur ; Khadidja Sedrati-Zaaf, Directeur de thèse Editeur : CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine Année de publication : 2019 Importance : 79 f. Format : 30 cm. Note générale : Une copie electronique PDF disponible au BUC. Langues : Français (fre) Catégories : Biologie:Biologie Animale Tags : le cancer colorectal, p53, polymorphisme Arg72Pro, PCR-RFLP,Génétique. Index. décimale : 750 Biologie Animale Résumé : Le gène suppresseur de tumeur p53 est l’un des gènes muté dans 50% des cancers, il a été rapporté qu’un
changement d’une Arginine (Arg) en une Proline (Pro) au niveau du codon 72 de ce gène pourrait accroitre le
risque de la survenue du cancer colorectal.
Dans notre étude nous avons cherché une estimation de la fréquence du polymorphisme Arg72Pro dans
deux populations (patients et témoins) ainsi de tenter d’établir une éventuelle relation entre ce polymorphisme
et la survenu du cancer colorectal. Le génotypage a été réalisé par une méthode de PCR-RFLP.
Les résultats obtenus dans notre étude ont révélé une différence significative entre les deux groupes
malades et témoins pour le génotype hétérozygote CG (OR=0.10, P= 0.003), ce qui permet de conclure que le
génotype CG constitue un facteur de risque dans la survenue du cancer colorectal.
Par contre la comparaison de l’allèle sauvage C avec l’allèle muté G avec un (OR= 1.41, P=0.32) conclue
que l’allèle muté G n’est pas lié à un risque accru de cancer colorectal.
En conclusion, ces résultats ne peuvent pas être confirmatifs, une étude plus large avec un échantillon
plus important est nécessaire pour pouvoir confirmer nos résultats dans le futuDiplome : Master 2 Permalink : https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=12335 Etude de l’association entre le polymorphisme Arg72Pro du gène de la p53 et le risque du cancer colorectal. [texte imprimé] / Inès Khebbab, Auteur ; Asma Boufligha, Auteur ; Khadidja Sedrati-Zaaf, Directeur de thèse . - CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine, 2019 . - 79 f. ; 30 cm.
Une copie electronique PDF disponible au BUC.
Langues : Français (fre)
Catégories : Biologie:Biologie Animale Tags : le cancer colorectal, p53, polymorphisme Arg72Pro, PCR-RFLP,Génétique. Index. décimale : 750 Biologie Animale Résumé : Le gène suppresseur de tumeur p53 est l’un des gènes muté dans 50% des cancers, il a été rapporté qu’un
changement d’une Arginine (Arg) en une Proline (Pro) au niveau du codon 72 de ce gène pourrait accroitre le
risque de la survenue du cancer colorectal.
Dans notre étude nous avons cherché une estimation de la fréquence du polymorphisme Arg72Pro dans
deux populations (patients et témoins) ainsi de tenter d’établir une éventuelle relation entre ce polymorphisme
et la survenu du cancer colorectal. Le génotypage a été réalisé par une méthode de PCR-RFLP.
Les résultats obtenus dans notre étude ont révélé une différence significative entre les deux groupes
malades et témoins pour le génotype hétérozygote CG (OR=0.10, P= 0.003), ce qui permet de conclure que le
génotype CG constitue un facteur de risque dans la survenue du cancer colorectal.
Par contre la comparaison de l’allèle sauvage C avec l’allèle muté G avec un (OR= 1.41, P=0.32) conclue
que l’allèle muté G n’est pas lié à un risque accru de cancer colorectal.
En conclusion, ces résultats ne peuvent pas être confirmatifs, une étude plus large avec un échantillon
plus important est nécessaire pour pouvoir confirmer nos résultats dans le futuDiplome : Master 2 Permalink : https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=12335 Réservation
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texte intégreAdobe Acrobat PDFEtude rétrospective et moléculaire des facteurs de risque intervenant dans la survenue du cancer de rein. / Bouchra Kerbache
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Titre : Etude rétrospective et moléculaire des facteurs de risque intervenant dans la survenue du cancer de rein. Type de document : texte imprimé Auteurs : Bouchra Kerbache, Auteur ; Selma Mouffok, Auteur ; Khadidja Sedrati-Zaaf, Directeur de thèse Editeur : CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine Année de publication : 2020 Importance : 92 f. Format : 30 cm. Note générale : Une copie electronique PDF disponible au BUC Langues : Français (fre) Catégories : Biologie:Biologie Animale Tags : Mots-clés : Cancer de rein, anatomopathologie, facteur de risque, p53, Arg72pro, polymorphisme, Génétique Moléculaire. Index. décimale : 750 Biologie Animale Résumé : Le cancer du rein représente 3% des cancers de l’adulte et son incidence est en nette augmentation.
L’éthiopathogénie de CR et les facteurs de risque intervenant dans la survenue de ce cancer sont très
hétérogènes. Sur ce contexte, nous avons tenté de faire une étude rétrospective analytique qui a pour but
l’analyse des aspects épidémiologiques, anatomopathologiques, et pronostique de cette affection ainsi de
chercher le potentiel effet de polymorphisme Arg72Pro de gène p53 sur la survenue du CR.
L’étude rétrospective a été réalisée à partir des 33 dossiers de patients atteints de CR colligés au service
d’urologie de l’Hôpital Régional Militaire de Constantine durant une période de 9 ans entre 2012 et 2020. Un
prélèvement sanguin sur tube EDTA et une extraction d’ADN par la méthode au NaCl de 5 patients a été
effectué.
Notre travail montre qu’ils agissaient d’une prédominance du sexe féminin. La moyenne d’âge était de 58 ans.
Le diagnostic a été retenu sur des arguments cliniques, avec un bilan biologique, radiologiques,
anatomopathologiques. Le facteur de risque prédominant était l’HTA (48%). Aucuns patients n'étaient
métastatiques lors du diagnostic. L’étude anatomopathologique a retrouvé un adénocarcinome à cellules
claires dans 70% de notre échantillon. La classe histologique pT3a a été la plus fréquente (55 %)
Cependant, l’étude moléculaire n’a pas été réalisé suit à la pandémie de COVID-19.
Nos résultats obtenus ne peuvent pas être généralisés, des études supplémentaires sur un échantillon plus large
sont nécessaires, ainsi l’accomplissement du travail est fortement recommandé.Diplome : Master 2 Permalink : https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=13400 Etude rétrospective et moléculaire des facteurs de risque intervenant dans la survenue du cancer de rein. [texte imprimé] / Bouchra Kerbache, Auteur ; Selma Mouffok, Auteur ; Khadidja Sedrati-Zaaf, Directeur de thèse . - CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine, 2020 . - 92 f. ; 30 cm.
Une copie electronique PDF disponible au BUC
Langues : Français (fre)
Catégories : Biologie:Biologie Animale Tags : Mots-clés : Cancer de rein, anatomopathologie, facteur de risque, p53, Arg72pro, polymorphisme, Génétique Moléculaire. Index. décimale : 750 Biologie Animale Résumé : Le cancer du rein représente 3% des cancers de l’adulte et son incidence est en nette augmentation.
L’éthiopathogénie de CR et les facteurs de risque intervenant dans la survenue de ce cancer sont très
hétérogènes. Sur ce contexte, nous avons tenté de faire une étude rétrospective analytique qui a pour but
l’analyse des aspects épidémiologiques, anatomopathologiques, et pronostique de cette affection ainsi de
chercher le potentiel effet de polymorphisme Arg72Pro de gène p53 sur la survenue du CR.
L’étude rétrospective a été réalisée à partir des 33 dossiers de patients atteints de CR colligés au service
d’urologie de l’Hôpital Régional Militaire de Constantine durant une période de 9 ans entre 2012 et 2020. Un
prélèvement sanguin sur tube EDTA et une extraction d’ADN par la méthode au NaCl de 5 patients a été
effectué.
Notre travail montre qu’ils agissaient d’une prédominance du sexe féminin. La moyenne d’âge était de 58 ans.
Le diagnostic a été retenu sur des arguments cliniques, avec un bilan biologique, radiologiques,
anatomopathologiques. Le facteur de risque prédominant était l’HTA (48%). Aucuns patients n'étaient
métastatiques lors du diagnostic. L’étude anatomopathologique a retrouvé un adénocarcinome à cellules
claires dans 70% de notre échantillon. La classe histologique pT3a a été la plus fréquente (55 %)
Cependant, l’étude moléculaire n’a pas été réalisé suit à la pandémie de COVID-19.
Nos résultats obtenus ne peuvent pas être généralisés, des études supplémentaires sur un échantillon plus large
sont nécessaires, ainsi l’accomplissement du travail est fortement recommandé.Diplome : Master 2 Permalink : https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=13400 Réservation
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