| Titre : |
Etude de bioremédiation des sols pollués par l’utilisation de consortium microbien. |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Nesrine Djimli, Auteur ; Meriem Hamza, Auteur ; Férial Zermane, Directeur de thèse |
| Editeur : |
CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine |
| Année de publication : |
2020 |
| Importance : |
79 f. |
| Format : |
30 cm. |
| Note générale : |
Une copie electronique PDF disponible au BUC |
| Langues : |
Français (fre) |
| Catégories : |
Biologie:Microbiologie
|
| Tags : |
Mots clés : pollution, sol, bioremédiation, consortium,Ecologie microbienne. |
| Index. décimale : |
720 Microbiologie |
| Résumé : |
Résumé :
Les activités humaines sont à l’origine de nombreuses pollutions par les hydrocarbures aromatiques
polycycliques, les pesticides, les polychlorobiphényle, les composés organiques volatiles, et les phénols,
au niveau des écosystèmes, et plus particulièrement au niveau des sols. Afin de préserver la santé humaine
et environnementale, il est nécessaire d’éliminer les polluants présents. Dans ce but, les techniques de
bioremédiation apparaissent aujourd’hui comme de réelles alternatives aux techniques classiques, invasives
et onéreuses. La bioremédiation est un outil pour transformer ces composés en formes moins dangereuses
ou non dangereuses avec moins d’apport des produits chimiques, d’énergie et de temps par des agents
biologiques comme les microorganismes. Cependant, l’utilisation optimale de tels procédés nécessite une
meilleure connaissance des capacités métaboliques des communautés microbiennes impliquées dans la
biodégradation de ces polluants. Le processus de bioremédiation peut être amélioré en utilisant un
consortium microbien qui a des caractéristiques spécifiques pour dégrader les contaminants exogènes. De
plus, ces consortiums ont une plus grande dégradabilité que les souches libres. |
| Diplome : |
Master 2 |
| Permalink : |
https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=13782 |
Etude de bioremédiation des sols pollués par l’utilisation de consortium microbien. [texte imprimé] / Nesrine Djimli, Auteur ; Meriem Hamza, Auteur ; Férial Zermane, Directeur de thèse . - CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine, 2020 . - 79 f. ; 30 cm. Une copie electronique PDF disponible au BUC Langues : Français ( fre)
| Catégories : |
Biologie:Microbiologie
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| Tags : |
Mots clés : pollution, sol, bioremédiation, consortium,Ecologie microbienne. |
| Index. décimale : |
720 Microbiologie |
| Résumé : |
Résumé :
Les activités humaines sont à l’origine de nombreuses pollutions par les hydrocarbures aromatiques
polycycliques, les pesticides, les polychlorobiphényle, les composés organiques volatiles, et les phénols,
au niveau des écosystèmes, et plus particulièrement au niveau des sols. Afin de préserver la santé humaine
et environnementale, il est nécessaire d’éliminer les polluants présents. Dans ce but, les techniques de
bioremédiation apparaissent aujourd’hui comme de réelles alternatives aux techniques classiques, invasives
et onéreuses. La bioremédiation est un outil pour transformer ces composés en formes moins dangereuses
ou non dangereuses avec moins d’apport des produits chimiques, d’énergie et de temps par des agents
biologiques comme les microorganismes. Cependant, l’utilisation optimale de tels procédés nécessite une
meilleure connaissance des capacités métaboliques des communautés microbiennes impliquées dans la
biodégradation de ces polluants. Le processus de bioremédiation peut être amélioré en utilisant un
consortium microbien qui a des caractéristiques spécifiques pour dégrader les contaminants exogènes. De
plus, ces consortiums ont une plus grande dégradabilité que les souches libres. |
| Diplome : |
Master 2 |
| Permalink : |
https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=13782 |
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