Catalogue des Mémoires de master
Détail de l'auteur
Auteur Sihem Reghioua |
Documents disponibles écrits par cet auteur (2)



Chlamydia trachomatis et les mycoplasmes dans les infections génitales et leur implication dans l'infertilité du couple.Étude rétrospective réalisée d'après des données prises du laboratoire Ibn-Sina de Constantine. / Nessma Lahmar
![]()
Titre : Chlamydia trachomatis et les mycoplasmes dans les infections génitales et leur implication dans l'infertilité du couple.Étude rétrospective réalisée d'après des données prises du laboratoire Ibn-Sina de Constantine. Type de document : texte imprimé Auteurs : Nessma Lahmar, Auteur ; Aya Boudeffa, Auteur ; Sihem Reghioua, Directeur de thèse Editeur : CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine Année de publication : 2021 Importance : 61 f. Format : 30 cm. Note générale : Une copie electronique PDF disponible au BUC Langues : Français (fre) Catégories : Biologie
Biologie:MicrobiologieTags : Infection sexuellement transmissible, infection génitale, infertilité, Chlamydia
trachomatis, Mycoplasma genitalium, Mycoplasma hominis et Ureaplasma spp,Microbiologie Générale et Biologie Moléculaire des Microorganismes.Index. décimale : 720 Microbiologie Résumé : Les infections sexuellement transmissibles (IST) représentent un problème majeur de santé
publique. Elles entraînent de nombreux problèmes notamment, l’infertilité. Dans ce contexte,
s’inscrit notre étude qui s’est portée sur les IST par Chlamydia trachomatis et les mycoplasmes
urogénitaux détectées chez les patients consultants dans le laboratoire médical Ibn-Sina Constantine
du janvier 2019 au janvier 2021.Parmi 697 prélèvements réalisés, 460 ont donné un résultat négatif,
soit un taux de 66%. Le sex-ratio homme/femme était de 1,78. Les femmes sont les plus
vulnérables à contracter une infection génitale avec un taux de 54,43 % %. En outre, la présence des
mycoplasmes dans les vois génitales hautes (dont l’espèce Ureaplasma urealyticum est
prédominante surtout chez le sexe féminin) indique formellement la présence d’une infection
génitale. Ces infections touchent toutes les tranches d’âge avec une prédominance chez les
femmes et les hommes de 30 à 40 ans. D’un autre point de vue, l’infertilité n’est pas toujours un
problème attaché au mauvais fonctionnement des appareils génitaux, il faut penser au côté
microbiologique et aux infections silencieuses qui menacent chaque minute notre vie à notre insu.Diplome : Master 2 Permalink : https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=15151 Chlamydia trachomatis et les mycoplasmes dans les infections génitales et leur implication dans l'infertilité du couple.Étude rétrospective réalisée d'après des données prises du laboratoire Ibn-Sina de Constantine. [texte imprimé] / Nessma Lahmar, Auteur ; Aya Boudeffa, Auteur ; Sihem Reghioua, Directeur de thèse . - CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine, 2021 . - 61 f. ; 30 cm.
Une copie electronique PDF disponible au BUC
Langues : Français (fre)
Catégories : Biologie
Biologie:MicrobiologieTags : Infection sexuellement transmissible, infection génitale, infertilité, Chlamydia
trachomatis, Mycoplasma genitalium, Mycoplasma hominis et Ureaplasma spp,Microbiologie Générale et Biologie Moléculaire des Microorganismes.Index. décimale : 720 Microbiologie Résumé : Les infections sexuellement transmissibles (IST) représentent un problème majeur de santé
publique. Elles entraînent de nombreux problèmes notamment, l’infertilité. Dans ce contexte,
s’inscrit notre étude qui s’est portée sur les IST par Chlamydia trachomatis et les mycoplasmes
urogénitaux détectées chez les patients consultants dans le laboratoire médical Ibn-Sina Constantine
du janvier 2019 au janvier 2021.Parmi 697 prélèvements réalisés, 460 ont donné un résultat négatif,
soit un taux de 66%. Le sex-ratio homme/femme était de 1,78. Les femmes sont les plus
vulnérables à contracter une infection génitale avec un taux de 54,43 % %. En outre, la présence des
mycoplasmes dans les vois génitales hautes (dont l’espèce Ureaplasma urealyticum est
prédominante surtout chez le sexe féminin) indique formellement la présence d’une infection
génitale. Ces infections touchent toutes les tranches d’âge avec une prédominance chez les
femmes et les hommes de 30 à 40 ans. D’un autre point de vue, l’infertilité n’est pas toujours un
problème attaché au mauvais fonctionnement des appareils génitaux, il faut penser au côté
microbiologique et aux infections silencieuses qui menacent chaque minute notre vie à notre insu.Diplome : Master 2 Permalink : https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=15151 Réservation
Réserver ce document
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité MSBIO210083 MSBIO210083 Document électronique Bibliothèque principale Mémoires Disponible Documents numériques
![]()
texte intégreAdobe Acrobat PDFEtude rétrospective des infections urinaires chez la femme enceinte à l’établissement hospitalier spécialisé mère-enfant de Sidi-Mebrouk Constantine. Bilan réalisé entre juillet 2020 et juin 2021. / Feriel Bachtarzi
![]()
Titre : Etude rétrospective des infections urinaires chez la femme enceinte à l’établissement hospitalier spécialisé mère-enfant de Sidi-Mebrouk Constantine. Bilan réalisé entre juillet 2020 et juin 2021. Type de document : texte imprimé Auteurs : Feriel Bachtarzi, Auteur ; Roumeissa Naili, Auteur ; Hadil Leulmi, Auteur ; Sihem Reghioua, Directeur de thèse Editeur : CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine Année de publication : 2021 Importance : 69 f. Format : 30 cm. Note générale : Une copie electronique PDF disponible au BUC Langues : Français (fre) Catégories : Biologie:Microbiologie Tags : infection urinaire, femme enceinte, service de gynécologie, examen
cytobactériologique des urines, entérobactéries, l’antibiogramme, la résistance aux antibiotiques,Biologie Moléculaire des microorganismes.Résumé : Les infections urinaires chez les femmes enceintes des deux services : gynécologie et GHR ont fait
l’objet d’une étude rétrospective durant la période allant de juillet 2020 à juin 2021. 120 échantillons
ont fait l’objet de cette étude, dont 76 cas (soit 63%) se sont révélés positifs. Les femmes âgées entre
30-35ans hospitalisées au niveau du service gynécologie occupent la première place avec un taux de
53%. Les 76 cas positifs, les bactéries représentent l’agent causal principal des IU avec un taux de
88% (essentiellement les entérobactéries). Le genre E. coli vient en première position avec 47% des
cas, suivie par P. mirabilis (18%). Les entérobactéries présentent une résistance remarquable vis-à -vis
de l’amoxicilline et la céfazoline avec respectivement des pourcentages de 81% et 56.25%. Pour
C.albicans une résistance totale a été observée contre l’amphotéricine.
Au terme de ce travail le respect des mesures d’hygiène, la propreté individuelle et collective ainsi que
l’entretient de l’environnement hospitalier, demeurent les principaux règles à prendre en considération
pour permettre une nette diminution des infections urinaires chez les femmes enceintes.Diplome : Master 2 Permalink : https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=15172 Etude rétrospective des infections urinaires chez la femme enceinte à l’établissement hospitalier spécialisé mère-enfant de Sidi-Mebrouk Constantine. Bilan réalisé entre juillet 2020 et juin 2021. [texte imprimé] / Feriel Bachtarzi, Auteur ; Roumeissa Naili, Auteur ; Hadil Leulmi, Auteur ; Sihem Reghioua, Directeur de thèse . - CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine, 2021 . - 69 f. ; 30 cm.
Une copie electronique PDF disponible au BUC
Langues : Français (fre)
Catégories : Biologie:Microbiologie Tags : infection urinaire, femme enceinte, service de gynécologie, examen
cytobactériologique des urines, entérobactéries, l’antibiogramme, la résistance aux antibiotiques,Biologie Moléculaire des microorganismes.Résumé : Les infections urinaires chez les femmes enceintes des deux services : gynécologie et GHR ont fait
l’objet d’une étude rétrospective durant la période allant de juillet 2020 à juin 2021. 120 échantillons
ont fait l’objet de cette étude, dont 76 cas (soit 63%) se sont révélés positifs. Les femmes âgées entre
30-35ans hospitalisées au niveau du service gynécologie occupent la première place avec un taux de
53%. Les 76 cas positifs, les bactéries représentent l’agent causal principal des IU avec un taux de
88% (essentiellement les entérobactéries). Le genre E. coli vient en première position avec 47% des
cas, suivie par P. mirabilis (18%). Les entérobactéries présentent une résistance remarquable vis-à -vis
de l’amoxicilline et la céfazoline avec respectivement des pourcentages de 81% et 56.25%. Pour
C.albicans une résistance totale a été observée contre l’amphotéricine.
Au terme de ce travail le respect des mesures d’hygiène, la propreté individuelle et collective ainsi que
l’entretient de l’environnement hospitalier, demeurent les principaux règles à prendre en considération
pour permettre une nette diminution des infections urinaires chez les femmes enceintes.Diplome : Master 2 Permalink : https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=15172 Réservation
Réserver ce document
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité MSBIO210087 MSBIO210087 Document électronique Bibliothèque principale Mémoires Disponible Documents numériques
![]()
texte intégreAdobe Acrobat PDF