Titre : |
L’effet PGPR chez les rhizobiums nodulant les légumineuses ainsi que chez les non rhizobiums. |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Nada Ahmari, Auteur ; Inès Mesrane, Auteur ; Oumnia Zaimi, Auteur ; M Gaci, Directeur de thèse |
Editeur : |
CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine |
Année de publication : |
2021 |
Importance : |
68 f. |
Format : |
30 cm. |
Note générale : |
Une copie electronique PDF disponible au BUC |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Biologie:Microbiologie
|
Tags : |
Rhizosphère, Plantes, PGPR, Mécanismes directs, Mécanismes indirects,Ecologie Microbienne. |
Index. décimale : |
720 Microbiologie |
Résumé : |
Résumé
La rhizosphère est une zone du sol pénétrée par les racines qui est riche en éléments nutritifs permettant la croissance des
microorganismes. Parmi ces microorganismes, « le rhizobium » qui forme une association symbiotique avec les légumineuses.
Cette association conduit à la formation d'un petit organe spécialisé appelé « nodule » sur les racines ou parfois sur les tiges des
légumineuses. Au sein du nodule, les bactéries peuvent fixer l'azote atmosphérique grâce à leur activité nitrogénase, et le
transférer aux plantes sous une forme assimilable. Les rhizobactéries sont définies comme des bactéries présentes dans la
rhizosphère connues sous le terme de PGPR « Plant Growth Promoting Rhizobacteria ». Elles interviennent directement ou
indirectement dans la croissance des plantes selon plusieurs mécanismes. Ce mémoire est une revue bibliographique des
recherches menées sur l’effet PGPR chez les rhizobiums nodulant les légumineuses ainsi que chez les non rhizobiums. Les
mécanismes directs sont ceux qui se produisent à l'intérieur de la plante et affectent directement son métabolisme en améliorant
la biodisponibilité des éléments nutritifs (azote, phosphate, potassium) et synthétisant des phytohormones (auxine,
cytokinine…). De plus, ils permettent l’élongation racinaire grâce à l’activation de l’1-aminocyclopropane-1-carboxylate
(ACC). Tandis que les mécanismes indirects sont généralement ceux qui se produisent en dehors de la plante. Ils permettent
l’inhibition des pathogènes par l’antagonisme en produisant les antibiotiques et les enzymes lytiques, ils augmentent la résistance
des plantes contre les agents pathogènes par l’activation de la résistance systémique induite (RSI), Ainsi qu’ils contrôlent la
croissance des pathogènes par la compétition pour les éléments nutritifs (compétitions pour le fer...). |
Diplome : |
Master 2 |
Permalink : |
https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=15174 |
L’effet PGPR chez les rhizobiums nodulant les légumineuses ainsi que chez les non rhizobiums. [texte imprimé] / Nada Ahmari, Auteur ; Inès Mesrane, Auteur ; Oumnia Zaimi, Auteur ; M Gaci, Directeur de thèse . - CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine, 2021 . - 68 f. ; 30 cm. Une copie electronique PDF disponible au BUC Langues : Français ( fre)
Catégories : |
Biologie:Microbiologie
|
Tags : |
Rhizosphère, Plantes, PGPR, Mécanismes directs, Mécanismes indirects,Ecologie Microbienne. |
Index. décimale : |
720 Microbiologie |
Résumé : |
Résumé
La rhizosphère est une zone du sol pénétrée par les racines qui est riche en éléments nutritifs permettant la croissance des
microorganismes. Parmi ces microorganismes, « le rhizobium » qui forme une association symbiotique avec les légumineuses.
Cette association conduit à la formation d'un petit organe spécialisé appelé « nodule » sur les racines ou parfois sur les tiges des
légumineuses. Au sein du nodule, les bactéries peuvent fixer l'azote atmosphérique grâce à leur activité nitrogénase, et le
transférer aux plantes sous une forme assimilable. Les rhizobactéries sont définies comme des bactéries présentes dans la
rhizosphère connues sous le terme de PGPR « Plant Growth Promoting Rhizobacteria ». Elles interviennent directement ou
indirectement dans la croissance des plantes selon plusieurs mécanismes. Ce mémoire est une revue bibliographique des
recherches menées sur l’effet PGPR chez les rhizobiums nodulant les légumineuses ainsi que chez les non rhizobiums. Les
mécanismes directs sont ceux qui se produisent à l'intérieur de la plante et affectent directement son métabolisme en améliorant
la biodisponibilité des éléments nutritifs (azote, phosphate, potassium) et synthétisant des phytohormones (auxine,
cytokinine…). De plus, ils permettent l’élongation racinaire grâce à l’activation de l’1-aminocyclopropane-1-carboxylate
(ACC). Tandis que les mécanismes indirects sont généralement ceux qui se produisent en dehors de la plante. Ils permettent
l’inhibition des pathogènes par l’antagonisme en produisant les antibiotiques et les enzymes lytiques, ils augmentent la résistance
des plantes contre les agents pathogènes par l’activation de la résistance systémique induite (RSI), Ainsi qu’ils contrôlent la
croissance des pathogènes par la compétition pour les éléments nutritifs (compétitions pour le fer...). |
Diplome : |
Master 2 |
Permalink : |
https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=15174 |
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