Titre : |
Les champignons phytopathogènes du blé et les moyens de lutte. |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Amira Rezine, Auteur ; Fatima Boukezioua, Auteur ; Hind Leghlimi, Directeur de thèse |
Editeur : |
CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine |
Année de publication : |
2021 |
Importance : |
78 f. |
Format : |
30 cm. |
Note générale : |
Une copie electronique PDF disponible au BUC |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Biologie:Microbiologie
|
Tags : |
Le blé, les champignons phytopathogènes, les maladies cryptogamiques, la lutte
biologique, Trichoderma harzianum, la lutte chimique,Mycologie et biotechnologie fongique. |
Index. décimale : |
720 Microbiologie |
Résumé : |
Le blé constitue la première ressource en alimentation humaine et la principale
source de protéine, il fournit également une ressource privilégiée pour l’alimentation
animale et de multiples applications industrielles. Au cours de sa croissance, le blé peut-être soumit à un
certain nombre d’agressions de nature diverses, entre autres les maladies cryptogamiques (causées par les
champignons) qui représentent 80% des maladies affectant les céréales. Les champignons phytopathogènes
du blé sont responsables des dégâts importants, en particulier, la diminution de la qualité technologique et
sanitaire, la réduction de la valeur nutritionnelle, des pertes de rendement qui provoquent des problèmes
économiques nationale et internationale. La prolifération de ces champignons macroscopiques exige un
certain nombre de facteurs nutritifs et environnementaux tels que l’aération, le pH et la température. Les
maladies cryptogamiques les plus fréquentes sont : la rouille brune (Puccinia recondita), la rouille jaune
(Puccinia striiformis), la tache septorienne (Septoria tritici), l’helminthosporiose (Pyrenophora triticirepentis), l’oïdium (Erysiphe graminis) et la fusariose (Fusarium graminearum). Ce travail vise les
méthodes d‘échantillonnage et d’isolement des champignons pathogènes du blé, la confirmation et
l’identification de ces derniers est basée sur l’analyse des critères macroscopiques et microscopiques.
L’essai de la lutte biologique est réalisé par l’utilisation de Trichoderma harzianum et Aspergillus niger
selon deux méthodes : confrontation directe (technique de double culture) et confrontation à distance (par
effet d‘inhibiteurs volatils). La lutte chimique est assurée par l’utilisation de fongicides chimiques. Les
résultats des études actuelles, prouvent que la lutte biologique contre les maladies cryptogamiques,
s’impose comme alternative de choix, surtout par l’utilisation du genre Trichoderma qui présente une
activité antifongique importante, et nécessite d’être exploiter. |
Diplome : |
Master 2 |
Permalink : |
https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=15838 |
Les champignons phytopathogènes du blé et les moyens de lutte. [texte imprimé] / Amira Rezine, Auteur ; Fatima Boukezioua, Auteur ; Hind Leghlimi, Directeur de thèse . - CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine, 2021 . - 78 f. ; 30 cm. Une copie electronique PDF disponible au BUC Langues : Français ( fre)
Catégories : |
Biologie:Microbiologie
|
Tags : |
Le blé, les champignons phytopathogènes, les maladies cryptogamiques, la lutte
biologique, Trichoderma harzianum, la lutte chimique,Mycologie et biotechnologie fongique. |
Index. décimale : |
720 Microbiologie |
Résumé : |
Le blé constitue la première ressource en alimentation humaine et la principale
source de protéine, il fournit également une ressource privilégiée pour l’alimentation
animale et de multiples applications industrielles. Au cours de sa croissance, le blé peut-être soumit à un
certain nombre d’agressions de nature diverses, entre autres les maladies cryptogamiques (causées par les
champignons) qui représentent 80% des maladies affectant les céréales. Les champignons phytopathogènes
du blé sont responsables des dégâts importants, en particulier, la diminution de la qualité technologique et
sanitaire, la réduction de la valeur nutritionnelle, des pertes de rendement qui provoquent des problèmes
économiques nationale et internationale. La prolifération de ces champignons macroscopiques exige un
certain nombre de facteurs nutritifs et environnementaux tels que l’aération, le pH et la température. Les
maladies cryptogamiques les plus fréquentes sont : la rouille brune (Puccinia recondita), la rouille jaune
(Puccinia striiformis), la tache septorienne (Septoria tritici), l’helminthosporiose (Pyrenophora triticirepentis), l’oïdium (Erysiphe graminis) et la fusariose (Fusarium graminearum). Ce travail vise les
méthodes d‘échantillonnage et d’isolement des champignons pathogènes du blé, la confirmation et
l’identification de ces derniers est basée sur l’analyse des critères macroscopiques et microscopiques.
L’essai de la lutte biologique est réalisé par l’utilisation de Trichoderma harzianum et Aspergillus niger
selon deux méthodes : confrontation directe (technique de double culture) et confrontation à distance (par
effet d‘inhibiteurs volatils). La lutte chimique est assurée par l’utilisation de fongicides chimiques. Les
résultats des études actuelles, prouvent que la lutte biologique contre les maladies cryptogamiques,
s’impose comme alternative de choix, surtout par l’utilisation du genre Trichoderma qui présente une
activité antifongique importante, et nécessite d’être exploiter. |
Diplome : |
Master 2 |
Permalink : |
https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=15838 |
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