Titre :	Diagnostic microbiologique des infections sexuellement trasnsmissibles. etud prospective de trois mois
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Ahlem Aouag, Auteur ; Madjda Gheraf, Auteur ; Lamia OulmI, Directeur de thèse
Editeur :	CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine
Année de publication :	2016
Importance :	26 f.
Format :	30 cm.
Note générale :	Une copie electronique PDF disponible en BUC
Langues :	Français (fre)
Catégories :	Biologie:Microbiologie
Tags :	IST  diagnostic microbiologique  Chlamydia trachomatis  mycoplasme  Trichomonas vaginalis  prélèvements vaginaux  sperme  Microbiologie Générale et Biologie Moléculaire des Microorganismes.
Index. décimale :	720 Microbiologie
Résumé :	Les infections sexuellement transmissibles représentent un problème de santé publique en raison de leur fréquence élevée dans le monde. L’objectif de notre étude est le diagnostic microbiologique des infections sexuellement transmissibles par des méthodes classiques de microbiologie qui passe par plusieurs étapes : examens directs, isolements et identification, afin d’analyser le profil microbiologique de ces infections Durant la période d’étude (1er février jusqu’au 30 avril de l’année 2016), nous avons reçu un total de 180 échantillons, au niveau de l’unité (MST) maladies sexuellement transmissibles, laboratoire de Bactériologie, CHU BenBadis Constantine. 40 germes ont été isolés de divers prélèvements (65 % prélèvements vaginaux, 35 % prélèvements sperme). Les germes isolés à partir des échantillons vaginaux sont : des levures avec un pourcentage de 50 %, suivi d’E. coli et Mycoplasma spp. avec 14,8 %, et de Streptococcus spp avec 8,8 %, puis klebsiella pneumonie avec 5,8 %, enfin Klebsiella oxytoca et Enterococcus spp avec un faible pourcentage de 2,9 %. Les germes isolés de sperme sont : Neisseria gonorrhoeae en première position avec un pourcentage de 50 %, suivi de Streptococcus spp à 33,3 %, et enfin Enterococcus spp à 16,7 %. En conclusion, la connaissance de la nature, la fréquence et la sensibilité des germes responsables de ces infections permet d’améliorer la prise en charge. La prévention demeure le meilleur moyen de lutte contre ces infections.
Diplome :	Master 2
Permalink :	https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=3861

Diagnostic microbiologique des infections sexuellement trasnsmissibles. etud prospective de trois mois [texte imprimé] / Ahlem Aouag, Auteur ; Madjda Gheraf, Auteur ; Lamia OulmI, Directeur de thèse . - CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine, 2016 . - 26 f. ; 30 cm.
Une copie electronique PDF disponible en BUC
Langues : Français (fre)

Catégories :	Biologie:Microbiologie
Tags :	IST  diagnostic microbiologique  Chlamydia trachomatis  mycoplasme  Trichomonas vaginalis  prélèvements vaginaux  sperme  Microbiologie Générale et Biologie Moléculaire des Microorganismes.
Index. décimale :	720 Microbiologie
Résumé :	Les infections sexuellement transmissibles représentent un problème de santé publique en raison de leur fréquence élevée dans le monde. L’objectif de notre étude est le diagnostic microbiologique des infections sexuellement transmissibles par des méthodes classiques de microbiologie qui passe par plusieurs étapes : examens directs, isolements et identification, afin d’analyser le profil microbiologique de ces infections Durant la période d’étude (1er février jusqu’au 30 avril de l’année 2016), nous avons reçu un total de 180 échantillons, au niveau de l’unité (MST) maladies sexuellement transmissibles, laboratoire de Bactériologie, CHU BenBadis Constantine. 40 germes ont été isolés de divers prélèvements (65 % prélèvements vaginaux, 35 % prélèvements sperme). Les germes isolés à partir des échantillons vaginaux sont : des levures avec un pourcentage de 50 %, suivi d’E. coli et Mycoplasma spp. avec 14,8 %, et de Streptococcus spp avec 8,8 %, puis klebsiella pneumonie avec 5,8 %, enfin Klebsiella oxytoca et Enterococcus spp avec un faible pourcentage de 2,9 %. Les germes isolés de sperme sont : Neisseria gonorrhoeae en première position avec un pourcentage de 50 %, suivi de Streptococcus spp à 33,3 %, et enfin Enterococcus spp à 16,7 %. En conclusion, la connaissance de la nature, la fréquence et la sensibilité des germes responsables de ces infections permet d’améliorer la prise en charge. La prévention demeure le meilleur moyen de lutte contre ces infections.
Diplome :	Master 2
Permalink :	https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=3861