Titre :	Elaboration et Etude des Propriétés de Couches Minces de TiO2 Elaborées par le Procédé Sol-Gel
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Nassima Rail Barama, Auteur ; Salah Eddine Barama, Directeur de thèse
Editeur :	CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine
Année de publication :	2016
Importance :	74 f.
Format :	30 cm.
Note générale :	Une copie electronique PDF disponible en BUC
Langues :	Français (fre)
Catégories :	Sciences Exactes:Physique
Tags :	Sol-Gel  TiO2  Anatase  Gap, Indice de réfraction  Taille des cristallites  Porosité.
Index. décimale :	530 Physique
Résumé :	Dans ce travail, nous avons élaboré des couches minces de dioxyde de titane par le procédé sol-gel (mode : dip-coating) à partir d’un précurseur qui est le tétrabutyl–orthotitanate Ti(OC2H5)4. Nous avons étudié l’influence de la vitesse de tirage, du nombre de trempage ainsi que la température de recuit sur les propriétés des couches obtenues. La caractérisation des couches a nécessité l’utilisation de plusieurs techniques expérimentales comme la spectrométrie UV-Vis, la spectrométrie Raman, la microscopie a force atomique (AFM), la diffraction des rayons X ainsi que l’analyse calorimétrique différentielle. Les observations réalisées à l’aide de l’AFM révélaient un bon état de la surface des couches obtenues après recuit avec une rugosité moyenne inférieure à 19 nm et qui diminue aussi bien avec la température de recuit qu’avec la vitesse de tirage ou le nombre de trempages. Les analyses réalisées à l’aide de la diffraction des rayons X et de la spectroscopie Raman mettaient en évidence la formation d’une phase TiO2 anatase nanométrique dans les couches recuites au-dessus de 300°C. La proportion de la phase anatase ainsi que la taille des cristallites dans les couches augmentait en fonction de la température de recuit. A l’opposé, les calculs faits à partir des spectres obtenus montraient une diminution de la taille des cristallites en fonction de la vitesse de tirage et du nombre de trempages. Les spectres UV-Vis tracés à partir des différentes couches permettaient de définir deux domaines de transmittance des couches : une faible transmittance pour les longueurs d’onde inférieures à 400 nm et un domaine de grande transmittance pour les longueurs d’ondes plus grandes. Les calculs faits à partir de ces spectres montraient que l’épaisseur des couches, qui est de quelques centaines de nanomètres, augmentait toutefois avec la vitesse de tirage et le nombre de trempage. Elle évolue différemment avec la température de recuit puisqu’elle diminuait à 400°C en raison du frittage des couches pour augmenter à 500°C suite à la cristallisation de la phase anatase. Le calcul de l’indice de réfraction donnait des valeurs 1.5 inférieur à celle correspondant à la phase anatase massive en raison de l’épaisseur nanométrique des couches d’une part et surtout de l’existence d’une porosité résiduelle assez importante (51%). Le calcul du gap montrait un décalage d’absorption des couches vers le bleu (3.36  Eg  3.48 eV) en raison de la taille nanométrique des cristallites. L’effet simultané d’autres facteurs tels que la porosité, les lacunes d’oxygène rendait son évolution en fonction des conditions d’élaboration assez complexe.
Diplome :	Master 2
Permalink :	https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=4322

Elaboration et Etude des Propriétés de Couches Minces de TiO2 Elaborées par le Procédé Sol-Gel [texte imprimé] / Nassima Rail Barama, Auteur ; Salah Eddine Barama, Directeur de thèse . - CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine, 2016 . - 74 f. ; 30 cm.
Une copie electronique PDF disponible en BUC
Langues : Français (fre)

Catégories :	Sciences Exactes:Physique
Tags :	Sol-Gel  TiO2  Anatase  Gap, Indice de réfraction  Taille des cristallites  Porosité.
Index. décimale :	530 Physique
Résumé :	Dans ce travail, nous avons élaboré des couches minces de dioxyde de titane par le procédé sol-gel (mode : dip-coating) à partir d’un précurseur qui est le tétrabutyl–orthotitanate Ti(OC2H5)4. Nous avons étudié l’influence de la vitesse de tirage, du nombre de trempage ainsi que la température de recuit sur les propriétés des couches obtenues. La caractérisation des couches a nécessité l’utilisation de plusieurs techniques expérimentales comme la spectrométrie UV-Vis, la spectrométrie Raman, la microscopie a force atomique (AFM), la diffraction des rayons X ainsi que l’analyse calorimétrique différentielle. Les observations réalisées à l’aide de l’AFM révélaient un bon état de la surface des couches obtenues après recuit avec une rugosité moyenne inférieure à 19 nm et qui diminue aussi bien avec la température de recuit qu’avec la vitesse de tirage ou le nombre de trempages. Les analyses réalisées à l’aide de la diffraction des rayons X et de la spectroscopie Raman mettaient en évidence la formation d’une phase TiO2 anatase nanométrique dans les couches recuites au-dessus de 300°C. La proportion de la phase anatase ainsi que la taille des cristallites dans les couches augmentait en fonction de la température de recuit. A l’opposé, les calculs faits à partir des spectres obtenus montraient une diminution de la taille des cristallites en fonction de la vitesse de tirage et du nombre de trempages. Les spectres UV-Vis tracés à partir des différentes couches permettaient de définir deux domaines de transmittance des couches : une faible transmittance pour les longueurs d’onde inférieures à 400 nm et un domaine de grande transmittance pour les longueurs d’ondes plus grandes. Les calculs faits à partir de ces spectres montraient que l’épaisseur des couches, qui est de quelques centaines de nanomètres, augmentait toutefois avec la vitesse de tirage et le nombre de trempage. Elle évolue différemment avec la température de recuit puisqu’elle diminuait à 400°C en raison du frittage des couches pour augmenter à 500°C suite à la cristallisation de la phase anatase. Le calcul de l’indice de réfraction donnait des valeurs 1.5 inférieur à celle correspondant à la phase anatase massive en raison de l’épaisseur nanométrique des couches d’une part et surtout de l’existence d’une porosité résiduelle assez importante (51%). Le calcul du gap montrait un décalage d’absorption des couches vers le bleu (3.36  Eg  3.48 eV) en raison de la taille nanométrique des cristallites. L’effet simultané d’autres facteurs tels que la porosité, les lacunes d’oxygène rendait son évolution en fonction des conditions d’élaboration assez complexe.
Diplome :	Master 2
Permalink :	https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=4322