Titre : |
Etude statisyique et cartographie des pluies journalieres maximales modelisation des debits maximaux : Bassins versants des oueds cherf et mellah |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Meriem Saib, Auteur ; Amira Boumediene, Auteur ; Abdelaziz Louamri, Directeur de thèse |
Editeur : |
CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine |
Année de publication : |
2015 |
Importance : |
124 f. |
Format : |
30 cm. |
Note générale : |
Une copie electronique PDF disponible en BUC |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Sciences de terre et de l'univers:Aménagement du territoire
|
Tags : |
Oued Seybouse Oued Cherf, Oued Mellah bassin-versant sous bassin Pluie Pluie annuelle Analyse fréquentielle Débit Débit de pointe Crue cartographie Modélisation Bilan hydrique. |
Index. décimale : |
204 Eau et Aménagement Durable |
Résumé : |
Notre sujet vise une analyse détaillée des précipitations journalières maximales ainsi
que des débits maximaux dans les deux bassins-versants des oueds Cherf, bassin, il couvre
une superficie de 1710 km², soit plus de 26% de la superficie totale du bassin de la Seybouse,
et Mellah qui draine une superficie de 550 km², soit plus de 8% de la superficie totale du
bassin de la Seybouse.
L’étude des pluies journalières maximales et de leurs implications sur les crues selon
l’analyse statistique des séries d’observations collectées au niveau des postes
pluviométriques.
L’étude des crues permet de mettre en lumière la réaction du bassin pendant un pas de
temps réduit, à une averse ou séquence pluvieuse donnée.
L'analyse statistique des données des pluies journalières maximales et l’ajustement Ã
la loi de Gumbel permettent de cartographier les pluies fréquentielles. Les valeurs des
isohyètes diminuent du Nord vers le Sud : les isohyètes diminuent pour les postes du bassin
de l’oued Cherf par rapport à celles du bassin de l’oued Mellah.
Les débits maximaux des deux bassins-versant des oueds Cherf et Mellah ont une
distribution statistique qui s’adapte bien à la loi de Galton. Aussi, nous avons soumis nos
séries à une autre loi telle que la loi de Gumbel. Nous avons retenu enfin de compte que la loi
de Galton s’ajuste bien aux valeurs des débits maximaux. Les débits mesurés que fréquentiels
du bassin-versant de l’oued Mellah sont supérieurs à ceux du bassin-versant de l’oued Cherf.
Ce sont les pluies qui expliquent cette différence.
L’interprétation des hydrogrammes journaliers observés permet de déterminer les
crues de la saison humide telle que la crue du 28/03/1973 avec un débit moyen de 84.34 mᵌ/s
pour la station de Moulin Rochefort et la crue du 27/03/1973 avec un débit de 268.84 mᵌ/s
pour la station de Bouchegouf. Les crues de la saison chaude sont plus faibles que celle des
crues de saison humide telle que la crue du 06/08/1990 avec un débit de 48.14 mᵌ/s pour la
station de Moulin Rochefort et la crue du 11/04/1972 avec un débit de 112.57 mᵌ/s pour la
station de Bouchegouf.
Les formules de prédétermination des débits aux différentes fréquences (0.5, 0.8, 0.9,
0.95, .98) ont permis d’estimer les débits maximaux probables. La variabilité des débits
estimés et mesurés est similaire (R²= 0.926), mais les débits les débits modélisés sont trop
différents, l’écart est très important entre les débits estimés et mesurés, et pour le bassin de
l’oued Mellah les valeurs des débits de modélisés sont assez proche des débits observés. |
Diplome : |
Master 2 |
Permalink : |
https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=5891 |
Etude statisyique et cartographie des pluies journalieres maximales modelisation des debits maximaux : Bassins versants des oueds cherf et mellah [texte imprimé] / Meriem Saib, Auteur ; Amira Boumediene, Auteur ; Abdelaziz Louamri, Directeur de thèse . - CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine, 2015 . - 124 f. ; 30 cm. Une copie electronique PDF disponible en BUC Langues : Français ( fre)
Catégories : |
Sciences de terre et de l'univers:Aménagement du territoire
|
Tags : |
Oued Seybouse Oued Cherf, Oued Mellah bassin-versant sous bassin Pluie Pluie annuelle Analyse fréquentielle Débit Débit de pointe Crue cartographie Modélisation Bilan hydrique. |
Index. décimale : |
204 Eau et Aménagement Durable |
Résumé : |
Notre sujet vise une analyse détaillée des précipitations journalières maximales ainsi
que des débits maximaux dans les deux bassins-versants des oueds Cherf, bassin, il couvre
une superficie de 1710 km², soit plus de 26% de la superficie totale du bassin de la Seybouse,
et Mellah qui draine une superficie de 550 km², soit plus de 8% de la superficie totale du
bassin de la Seybouse.
L’étude des pluies journalières maximales et de leurs implications sur les crues selon
l’analyse statistique des séries d’observations collectées au niveau des postes
pluviométriques.
L’étude des crues permet de mettre en lumière la réaction du bassin pendant un pas de
temps réduit, à une averse ou séquence pluvieuse donnée.
L'analyse statistique des données des pluies journalières maximales et l’ajustement Ã
la loi de Gumbel permettent de cartographier les pluies fréquentielles. Les valeurs des
isohyètes diminuent du Nord vers le Sud : les isohyètes diminuent pour les postes du bassin
de l’oued Cherf par rapport à celles du bassin de l’oued Mellah.
Les débits maximaux des deux bassins-versant des oueds Cherf et Mellah ont une
distribution statistique qui s’adapte bien à la loi de Galton. Aussi, nous avons soumis nos
séries à une autre loi telle que la loi de Gumbel. Nous avons retenu enfin de compte que la loi
de Galton s’ajuste bien aux valeurs des débits maximaux. Les débits mesurés que fréquentiels
du bassin-versant de l’oued Mellah sont supérieurs à ceux du bassin-versant de l’oued Cherf.
Ce sont les pluies qui expliquent cette différence.
L’interprétation des hydrogrammes journaliers observés permet de déterminer les
crues de la saison humide telle que la crue du 28/03/1973 avec un débit moyen de 84.34 mᵌ/s
pour la station de Moulin Rochefort et la crue du 27/03/1973 avec un débit de 268.84 mᵌ/s
pour la station de Bouchegouf. Les crues de la saison chaude sont plus faibles que celle des
crues de saison humide telle que la crue du 06/08/1990 avec un débit de 48.14 mᵌ/s pour la
station de Moulin Rochefort et la crue du 11/04/1972 avec un débit de 112.57 mᵌ/s pour la
station de Bouchegouf.
Les formules de prédétermination des débits aux différentes fréquences (0.5, 0.8, 0.9,
0.95, .98) ont permis d’estimer les débits maximaux probables. La variabilité des débits
estimés et mesurés est similaire (R²= 0.926), mais les débits les débits modélisés sont trop
différents, l’écart est très important entre les débits estimés et mesurés, et pour le bassin de
l’oued Mellah les valeurs des débits de modélisés sont assez proche des débits observés. |
Diplome : |
Master 2 |
Permalink : |
https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=5891 |
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