Titre : |
Place d’Escherichia coli dans les infections nosocomiales |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Rokaya Redjem, Auteur ; Yasser Meghezzi, Auteur ; N Riah, Directeur de thèse |
Editeur : |
CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine |
Année de publication : |
2017 |
Importance : |
70 f. |
Format : |
30 cm. |
Note générale : |
Une copie electronique PDF disponible en BUC |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Biologie:Microbiologie
|
Tags : |
Infections nosocomiales Escherichia coli Infection urinaire résistance aux antibiotiques Ecologie microbienne. |
Index. décimale : |
720 Microbiologie |
Résumé : |
L'objectif principal de notre étude était d'isoler et d’identifier des souches d’E. coli associées aux infections nosocomiales par l’étude de divers prélèvement pathologiques (urine, pus, LCR,…) chez des patients hospitalisés au niveau de différents services de l’HMRU de Constantine (réanimation, médecine
interne, chirurgie générale,…), et la détermination de la place d’E. coli dans les infections nosocomiales ainsi que l’étude du comportement de l’ensemble des souches vis-à -vis des antibiotiques testés afin d’évaluer le profil de résistance de ce pathogène. L’étude des caractères biochimiques a révélé 299 échantillons positifs à E coli. Les résultats épidémiologiques montrent que les services les plus touchés par les infections nosocomiales sont la médecine interne (17,2%) suivi par le service de chirurgie orthopédique (16,7%) et le service de réanimation (14,5%). Ces germes sont principalement isolés à partir du pus du site opératoire (50,3%) et des urines (29,4%). Généralement, les entérobactéries occupent la première place dans tous les prélèvements
(33 ,3%), alors qu’E.coli est la plus fréquente en néphrologie (32,8%) et en pédiatrie (27,4%). Au cours de notre travail nous avons également constaté qu’E. coli prédomine dans les infections urinaires avec un taux de 63,2 % et occupe la première place (14%) dans le service de médecine interne, la deuxième place (11,7%) dans la chirurgie générale et la troisième place (11,4%) dans la pédiatrie. L’étude de la résistance des souches d’E. coli aux différents antibiotiques montre que le niveau de résistance était plus faible pour les aminosides (gentamicine et tobramycine) (17%), pour l’imipenème et la Colistine (0 %), par contre des taux élevés de résistance (90 %) ont été remarqué pour les -lactamines (l’ampicilline et la ticarcilline) et le triméthoprime/sulfaméthoxazole (95 %). L'étude de la résistance d’E. coli aux antibiotiques, montre une multirésistance, dont il faut tenir compte en mettant en place une stratégie de prévention active dans les hôpitaux. |
Diplome : |
Master 2 |
Permalink : |
https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=4460 |
Place d’Escherichia coli dans les infections nosocomiales [texte imprimé] / Rokaya Redjem, Auteur ; Yasser Meghezzi, Auteur ; N Riah, Directeur de thèse . - CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine, 2017 . - 70 f. ; 30 cm. Une copie electronique PDF disponible en BUC Langues : Français ( fre)
Catégories : |
Biologie:Microbiologie
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Tags : |
Infections nosocomiales Escherichia coli Infection urinaire résistance aux antibiotiques Ecologie microbienne. |
Index. décimale : |
720 Microbiologie |
Résumé : |
L'objectif principal de notre étude était d'isoler et d’identifier des souches d’E. coli associées aux infections nosocomiales par l’étude de divers prélèvement pathologiques (urine, pus, LCR,…) chez des patients hospitalisés au niveau de différents services de l’HMRU de Constantine (réanimation, médecine
interne, chirurgie générale,…), et la détermination de la place d’E. coli dans les infections nosocomiales ainsi que l’étude du comportement de l’ensemble des souches vis-à -vis des antibiotiques testés afin d’évaluer le profil de résistance de ce pathogène. L’étude des caractères biochimiques a révélé 299 échantillons positifs à E coli. Les résultats épidémiologiques montrent que les services les plus touchés par les infections nosocomiales sont la médecine interne (17,2%) suivi par le service de chirurgie orthopédique (16,7%) et le service de réanimation (14,5%). Ces germes sont principalement isolés à partir du pus du site opératoire (50,3%) et des urines (29,4%). Généralement, les entérobactéries occupent la première place dans tous les prélèvements
(33 ,3%), alors qu’E.coli est la plus fréquente en néphrologie (32,8%) et en pédiatrie (27,4%). Au cours de notre travail nous avons également constaté qu’E. coli prédomine dans les infections urinaires avec un taux de 63,2 % et occupe la première place (14%) dans le service de médecine interne, la deuxième place (11,7%) dans la chirurgie générale et la troisième place (11,4%) dans la pédiatrie. L’étude de la résistance des souches d’E. coli aux différents antibiotiques montre que le niveau de résistance était plus faible pour les aminosides (gentamicine et tobramycine) (17%), pour l’imipenème et la Colistine (0 %), par contre des taux élevés de résistance (90 %) ont été remarqué pour les -lactamines (l’ampicilline et la ticarcilline) et le triméthoprime/sulfaméthoxazole (95 %). L'étude de la résistance d’E. coli aux antibiotiques, montre une multirésistance, dont il faut tenir compte en mettant en place une stratégie de prévention active dans les hôpitaux. |
Diplome : |
Master 2 |
Permalink : |
https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=4460 |
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