Titre : |
Etude des PGPR “Plant Growth Promoting Rhizobacteria”des plantes actinorhiziennes : cas de Casuarina equisetifolia et d’Elaeagnus angustifolia |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Maroua Aouane, Auteur ; Hanen Hamani, Auteur ; Faiza Meriem Benabdoun, Directeur de thèse |
Editeur : |
CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine |
Année de publication : |
2017 |
Importance : |
83 f. |
Format : |
30 cm. |
Note générale : |
Une copie electronique PDF disponible en BUC |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Biologie:Biologie Végétal
|
Tags : |
Plantes actinorhiziennes agro-écologie PGPR, phytostimulation biofertilisation biocontrôle Biologie et génomique végétale. |
Index. décimale : |
740 Biologie végétale |
Résumé : |
Dans la rhizosphère peuvent cohabiter différents microorganismes qui interfèrent avec la plante sur un
continuum allant du parasitisme au mutualisme. Dans le cas des plantes actinorhiziennes, la symbiose
mutualiste fixatrice d’azote avec la bactérie Frankia est parmi les plus étudiée en écologie des interactions.
Parmi ces plantes, on trouve le Filao (Casuarina equisetifolia) et l’Olivier de Bohême (Elaeagnus
angustifolia), deux arbres ayant un intérêt fondamental en agro-écologie. Les rhizobactéries peuvent
également avoir un effet bénéfique sur la plante. Ces symbioses associatives concernent les bactéries
« PGPR » (Plant Growth Promoting Rhizobacteria).
Dans le cadre de notre travail, nous avons analysé deux types de données. Le premier type de données
englobe les caractéristiques phénotypiques et biochimiques, obtenues à partir des rhizobactéries de
C. equisetifolia et d’E. angustifolia. Les résultats obtenus nous ont orientés vers le groupe taxonomique des
Pseudomonas fluorescents. Le deuxième type de données est basé sur l’évaluation du potentiel PGP des
bactéries (phytostimulation, biofertilisation et biocontrôle), et nous a servi à classer puis à sélectionner les
bactéries les plus performantes. Nous avons conclu que 100% des bactéries sont des PGPR pour au moins
l’un des caractères, mais seulement 31% des isolats ont montré des scores favorables pour les trois qualités
testées, représentant ainsi des candidats exploitables pour de profondes expertises.
Une étude prolongée dans le futur, nécessite une identification génotypique précise des isolats par le
séquençage du gène ARNr 16S, suivi par l’observation directe des effets PGPR sélectionnées, sur la
croissance des plantes. |
Diplome : |
Master 2 |
Permalink : |
https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=4616 |
Etude des PGPR “Plant Growth Promoting Rhizobacteria”des plantes actinorhiziennes : cas de Casuarina equisetifolia et d’Elaeagnus angustifolia [texte imprimé] / Maroua Aouane, Auteur ; Hanen Hamani, Auteur ; Faiza Meriem Benabdoun, Directeur de thèse . - CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine, 2017 . - 83 f. ; 30 cm. Une copie electronique PDF disponible en BUC Langues : Français ( fre)
Catégories : |
Biologie:Biologie Végétal
|
Tags : |
Plantes actinorhiziennes agro-écologie PGPR, phytostimulation biofertilisation biocontrôle Biologie et génomique végétale. |
Index. décimale : |
740 Biologie végétale |
Résumé : |
Dans la rhizosphère peuvent cohabiter différents microorganismes qui interfèrent avec la plante sur un
continuum allant du parasitisme au mutualisme. Dans le cas des plantes actinorhiziennes, la symbiose
mutualiste fixatrice d’azote avec la bactérie Frankia est parmi les plus étudiée en écologie des interactions.
Parmi ces plantes, on trouve le Filao (Casuarina equisetifolia) et l’Olivier de Bohême (Elaeagnus
angustifolia), deux arbres ayant un intérêt fondamental en agro-écologie. Les rhizobactéries peuvent
également avoir un effet bénéfique sur la plante. Ces symbioses associatives concernent les bactéries
« PGPR » (Plant Growth Promoting Rhizobacteria).
Dans le cadre de notre travail, nous avons analysé deux types de données. Le premier type de données
englobe les caractéristiques phénotypiques et biochimiques, obtenues à partir des rhizobactéries de
C. equisetifolia et d’E. angustifolia. Les résultats obtenus nous ont orientés vers le groupe taxonomique des
Pseudomonas fluorescents. Le deuxième type de données est basé sur l’évaluation du potentiel PGP des
bactéries (phytostimulation, biofertilisation et biocontrôle), et nous a servi à classer puis à sélectionner les
bactéries les plus performantes. Nous avons conclu que 100% des bactéries sont des PGPR pour au moins
l’un des caractères, mais seulement 31% des isolats ont montré des scores favorables pour les trois qualités
testées, représentant ainsi des candidats exploitables pour de profondes expertises.
Une étude prolongée dans le futur, nécessite une identification génotypique précise des isolats par le
séquençage du gène ARNr 16S, suivi par l’observation directe des effets PGPR sélectionnées, sur la
croissance des plantes. |
Diplome : |
Master 2 |
Permalink : |
https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=4616 |
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