Titre : |
Les infections urinaires à Ain M’lila |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Razika Gasmi, Auteur ; Sara Salhi, Auteur ; Meriem Gaci, Directeur de thèse |
Editeur : |
CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine |
Année de publication : |
2018 |
Importance : |
63 f. |
Format : |
30 cm. |
Note générale : |
UNE COPIE ELECTRONIQUE PDF DISPONIBLE AU BUC |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Biologie:Microbiologie
|
Tags : |
Infection urinaire, Examen cytobactériologique des urines, Enterobacteriacae, Antibiogramme |
Index. décimale : |
720 Microbiologie |
Résumé : |
Les infections urinaires (IU) constituent un véritable problème de santé publique. Elles représentent le
second site d’infections bactériennes après l’arbre respiratoire, et le premier site d’infections bactériennes
nosocomiales.
Notre étude ayant pour but d’isoler et d’identifier les germes responsables des IU et de tester leurs profils de
sensibilité aux antibiotiques, et aussi l’étude des caractéristiques épidémiologiques des infections urinaires
dans la région d’Ain M’Lila, Wilaya d’Oum El Bouaghi.
Le diagnostic des IU repose essentiellement sur l’ECBU qui doit être pratiqué avant toute antibiothérapie. Il
repose sur un examen microscopique minutieux et une interprétation rigoureuse de la culture bactérienne.
Dans notre étude, nous avons identifié 38 microorganismes. La plupart d’entre eux appartiennent à la
famille des Enterobacteriaceae dont l’Esherichia coli est de loin la bactérie la plus fréquemment isolée
(44.72%), suivie de Proteus mirabilis (13.15%), et de Klebsiella pneumoniae (10.52%). Nous avons trouvé
aussi d’autres microorganismes tels que : Enterobacter cloacae, Pseudomonas aerugenosa, Staphylocoque
à coagulase négatif, Serrratia marcescens, Citrobacter koseri, Klebsiella ornithiolytica, K. oxytoca,
Providencia stuartii et aussi des levures.
L’étude de la résistance des bactéries isolées aux différents antibiotiques a montré une variabilité selon les
souches.
Les résultats épidémiologiques montrent une prédominance féminine avec un pourcentage de 84% et que
39.47% des malades ont une infection urinaire nosocomiale. |
Diplome : |
Master 2 |
Permalink : |
https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=9611 |
Les infections urinaires à Ain M’lila [texte imprimé] / Razika Gasmi, Auteur ; Sara Salhi, Auteur ; Meriem Gaci, Directeur de thèse . - CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine, 2018 . - 63 f. ; 30 cm. UNE COPIE ELECTRONIQUE PDF DISPONIBLE AU BUC Langues : Français ( fre)
Catégories : |
Biologie:Microbiologie
|
Tags : |
Infection urinaire, Examen cytobactériologique des urines, Enterobacteriacae, Antibiogramme |
Index. décimale : |
720 Microbiologie |
Résumé : |
Les infections urinaires (IU) constituent un véritable problème de santé publique. Elles représentent le
second site d’infections bactériennes après l’arbre respiratoire, et le premier site d’infections bactériennes
nosocomiales.
Notre étude ayant pour but d’isoler et d’identifier les germes responsables des IU et de tester leurs profils de
sensibilité aux antibiotiques, et aussi l’étude des caractéristiques épidémiologiques des infections urinaires
dans la région d’Ain M’Lila, Wilaya d’Oum El Bouaghi.
Le diagnostic des IU repose essentiellement sur l’ECBU qui doit être pratiqué avant toute antibiothérapie. Il
repose sur un examen microscopique minutieux et une interprétation rigoureuse de la culture bactérienne.
Dans notre étude, nous avons identifié 38 microorganismes. La plupart d’entre eux appartiennent à la
famille des Enterobacteriaceae dont l’Esherichia coli est de loin la bactérie la plus fréquemment isolée
(44.72%), suivie de Proteus mirabilis (13.15%), et de Klebsiella pneumoniae (10.52%). Nous avons trouvé
aussi d’autres microorganismes tels que : Enterobacter cloacae, Pseudomonas aerugenosa, Staphylocoque
à coagulase négatif, Serrratia marcescens, Citrobacter koseri, Klebsiella ornithiolytica, K. oxytoca,
Providencia stuartii et aussi des levures.
L’étude de la résistance des bactéries isolées aux différents antibiotiques a montré une variabilité selon les
souches.
Les résultats épidémiologiques montrent une prédominance féminine avec un pourcentage de 84% et que
39.47% des malades ont une infection urinaire nosocomiale. |
Diplome : |
Master 2 |
Permalink : |
https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=9611 |
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