Titre : |
Les bacteries responsables des infections urinaires |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Rania Nesrine Bezziche, Auteur ; Amira Bounemeur, Auteur ; Meriem Gaci, Directeur de thèse |
Editeur : |
CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine |
Année de publication : |
2018 |
Importance : |
79 f. |
Format : |
30 cm. |
Note générale : |
UNE COPIE ELECTRONIQUE PDF DISPONIBLE AU BUC |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Biologie:Microbiologie
|
Tags : |
Infection urinaire, Examen cytobactériologique des urines, Résistance aux antibiotiques,
Bactéries responsables de l’infection urinaire.: Biologie Moléculaire des Microorganismes. |
Index. décimale : |
720 Microbiologie |
Résumé : |
Depuis des années, l’infection urinaire (IU) est l’infection bactérienne la plus commune et la cause d’un
fardeau important pour les ressources du système de santé, car elle peut toucher plusieurs organes du
système urinaire (vessie, rein, urètre, prostate).
Ce travail a été réalisé au laboratoire de Bactériologie de L’Etablissement Hospitalo-Sanitaire (EHS)
DAKSI de Constantine, afin d’isoler et d’identifier les bactéries responsables des infections urinaires. La
méthode suivie repose sur les bandelettes urinaires, l’examen macroscopique ainsi que sur l’examen
cytobactériologique des urines (ECBU).
Parmi les 250 ECBU effectués, 129 sont négatifs, 116 ont répondu aux critères de positivité, et 5 cas
seulement sont contaminés. Les résultats épidémiologiques ont montré que les entérobactéries représentent
la grande majorité des bactéries responsables des IU (65.55%), dont l’Escherichia coli est l’espèce la plus
incriminée (44.01%), puis les staphylocoques et les Pseudomonas aeruginosa qui représentent (9.47%) et
(8.61%) respectivement.
L’antibiogramme des souches bactériennes a révélé une importante résistance aux ß-lactamines et plus
particulièrement à l’amoxicilline et l’ampicilline pour la plupart des entérobactéries et aussi le
Pseudomonas aeruginosa. Par contre les souches de Streptococcus spp sont totalement sensibles Ã
l’amoxicilline et présentent une résistance totale à la pénicilline.
L’IU n’est qu’une maladie dont il faut retrouver la cause afin de combattre le germe responsable par
l’antibiothérapie et corriger parfois chirurgicalement une éventuelle cause organique qui serait grave
d’ignorer. |
Diplome : |
Master 2 |
Permalink : |
https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=9671 |
Les bacteries responsables des infections urinaires [texte imprimé] / Rania Nesrine Bezziche, Auteur ; Amira Bounemeur, Auteur ; Meriem Gaci, Directeur de thèse . - CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine, 2018 . - 79 f. ; 30 cm. UNE COPIE ELECTRONIQUE PDF DISPONIBLE AU BUC Langues : Français ( fre)
Catégories : |
Biologie:Microbiologie
|
Tags : |
Infection urinaire, Examen cytobactériologique des urines, Résistance aux antibiotiques,
Bactéries responsables de l’infection urinaire.: Biologie Moléculaire des Microorganismes. |
Index. décimale : |
720 Microbiologie |
Résumé : |
Depuis des années, l’infection urinaire (IU) est l’infection bactérienne la plus commune et la cause d’un
fardeau important pour les ressources du système de santé, car elle peut toucher plusieurs organes du
système urinaire (vessie, rein, urètre, prostate).
Ce travail a été réalisé au laboratoire de Bactériologie de L’Etablissement Hospitalo-Sanitaire (EHS)
DAKSI de Constantine, afin d’isoler et d’identifier les bactéries responsables des infections urinaires. La
méthode suivie repose sur les bandelettes urinaires, l’examen macroscopique ainsi que sur l’examen
cytobactériologique des urines (ECBU).
Parmi les 250 ECBU effectués, 129 sont négatifs, 116 ont répondu aux critères de positivité, et 5 cas
seulement sont contaminés. Les résultats épidémiologiques ont montré que les entérobactéries représentent
la grande majorité des bactéries responsables des IU (65.55%), dont l’Escherichia coli est l’espèce la plus
incriminée (44.01%), puis les staphylocoques et les Pseudomonas aeruginosa qui représentent (9.47%) et
(8.61%) respectivement.
L’antibiogramme des souches bactériennes a révélé une importante résistance aux ß-lactamines et plus
particulièrement à l’amoxicilline et l’ampicilline pour la plupart des entérobactéries et aussi le
Pseudomonas aeruginosa. Par contre les souches de Streptococcus spp sont totalement sensibles Ã
l’amoxicilline et présentent une résistance totale à la pénicilline.
L’IU n’est qu’une maladie dont il faut retrouver la cause afin de combattre le germe responsable par
l’antibiothérapie et corriger parfois chirurgicalement une éventuelle cause organique qui serait grave
d’ignorer. |
Diplome : |
Master 2 |
Permalink : |
https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=9671 |
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