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Auteur K KHELILI |
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Épidémiologie et résistance aux antibiotiques des entérobactéries isolées d'infections urinaires en milieu hospitalier (HMRUC). / Maria Benrabah
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Titre : Épidémiologie et résistance aux antibiotiques des entérobactéries isolées d'infections urinaires en milieu hospitalier (HMRUC). Type de document : texte imprimé Auteurs : Maria Benrabah, Auteur ; Sara Mechri, Auteur ; K KHELILI, Directeur de thèse Editeur : CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine Année de publication : 2020 Importance : 45 f. Format : 30 cm. Note générale : Une copie electronique PDF disponible au BUC Langues : Français (fre) Catégories : Biologie:Biologie Appliquée Tags : Mots-clés : infections urinaires, entérobactérie, E. coli, antibiorésistance, épidémiologie, facteurs de
risque, Microbiologie et Hygiène Hospitalière.Index. décimale : 710 Biologie Appliquée Résumé : Résumé
Les entérobactéries constituent les agents les plus fréquemment impliqués dans les infections
urinaires. Leur antibiorésistance limite le choix des antibiotiques et justifie une surveillance
épidémiologique.
L’objectif de notre travail est de réaliser une étude statistique et épidémiologique afin de calculer
l’incidence et d’évaluer les facteurs de risque liés aux infections urinaires à entérobactéries chez les
patients hospitalisés provenant des différents services de l’hôpital militaire régional universitaire
Abdelali Benbaatouche de Constantine (HMRUC). Il s’agit d’une étude rétrospective sur trois ans (du
01 janvier 2017 au 31 décembre 2019) et d’une étude prospective sur un mois (du 09 février au 15 mars
2020) dont l’identification des souches d’entérobactéries est basée sur l’examen cytobactériologique
urinaire.
D’après nos résultats, l’infection urinaire est plus fréquente chez les femmes que chez les hommes
(sex-ratio F/H = 1,8). Escherichia coli domine le profil épidémiologique (67%) suivi de Klebsiella sp.
(19,25%), Proteus sp. (7%), Enterobacter sp. (2,5%), Serratia sp. (2,5%) Morganella morganii (1,25%)
et Citrobacter freundii (0,5%). L’étude du profil de résistance des entérobactéries a montré qu’elles sont
dotées pour la plupart d’entre elles d’une haute résistance vis-à -vis les pénicillines (plus particulièrement
l’amoxicilline et l’ampicilline), les céphalosporines de première génération et les triméthoprimes.
Cependant les aminosides, la colistine, l’imipenème et le chloramphénicol conservent un bon profil
d’activité. L’enquête épidémiologique de cohorte révèle que le sexe féminin et l’utilisation abusive des
pénicillines présentent un facteur de risque pour l’infection urinaire à Escherichia coli.
Les résultats de cette étude témoignent une augmentation inquiétante de la résistance aux antibiotiques
chez les entérobactéries uropathogènes. Ceci impose une prescription rationnelle des antibiotiques, une
amélioration de l’hygiène hospitalière ainsi qu’une surveillance continue de l’évolution de la résistance
bactérienne.Diplome : Master 2 Permalink : https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=13300 Épidémiologie et résistance aux antibiotiques des entérobactéries isolées d'infections urinaires en milieu hospitalier (HMRUC). [texte imprimé] / Maria Benrabah, Auteur ; Sara Mechri, Auteur ; K KHELILI, Directeur de thèse . - CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine, 2020 . - 45 f. ; 30 cm.
Une copie electronique PDF disponible au BUC
Langues : Français (fre)
Catégories : Biologie:Biologie Appliquée Tags : Mots-clés : infections urinaires, entérobactérie, E. coli, antibiorésistance, épidémiologie, facteurs de
risque, Microbiologie et Hygiène Hospitalière.Index. décimale : 710 Biologie Appliquée Résumé : Résumé
Les entérobactéries constituent les agents les plus fréquemment impliqués dans les infections
urinaires. Leur antibiorésistance limite le choix des antibiotiques et justifie une surveillance
épidémiologique.
L’objectif de notre travail est de réaliser une étude statistique et épidémiologique afin de calculer
l’incidence et d’évaluer les facteurs de risque liés aux infections urinaires à entérobactéries chez les
patients hospitalisés provenant des différents services de l’hôpital militaire régional universitaire
Abdelali Benbaatouche de Constantine (HMRUC). Il s’agit d’une étude rétrospective sur trois ans (du
01 janvier 2017 au 31 décembre 2019) et d’une étude prospective sur un mois (du 09 février au 15 mars
2020) dont l’identification des souches d’entérobactéries est basée sur l’examen cytobactériologique
urinaire.
D’après nos résultats, l’infection urinaire est plus fréquente chez les femmes que chez les hommes
(sex-ratio F/H = 1,8). Escherichia coli domine le profil épidémiologique (67%) suivi de Klebsiella sp.
(19,25%), Proteus sp. (7%), Enterobacter sp. (2,5%), Serratia sp. (2,5%) Morganella morganii (1,25%)
et Citrobacter freundii (0,5%). L’étude du profil de résistance des entérobactéries a montré qu’elles sont
dotées pour la plupart d’entre elles d’une haute résistance vis-à -vis les pénicillines (plus particulièrement
l’amoxicilline et l’ampicilline), les céphalosporines de première génération et les triméthoprimes.
Cependant les aminosides, la colistine, l’imipenème et le chloramphénicol conservent un bon profil
d’activité. L’enquête épidémiologique de cohorte révèle que le sexe féminin et l’utilisation abusive des
pénicillines présentent un facteur de risque pour l’infection urinaire à Escherichia coli.
Les résultats de cette étude témoignent une augmentation inquiétante de la résistance aux antibiotiques
chez les entérobactéries uropathogènes. Ceci impose une prescription rationnelle des antibiotiques, une
amélioration de l’hygiène hospitalière ainsi qu’une surveillance continue de l’évolution de la résistance
bactérienne.Diplome : Master 2 Permalink : https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=13300 Réservation
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Titre : Les infections les plus fréquentes chez les femmes enceintes au CHUC Type de document : texte imprimé Auteurs : Yasmine Madaci, Auteur ; Sarra Saadi, Auteur ; K KHELILI, Directeur de thèse Editeur : CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine Année de publication : 2019 Importance : 85 f. Format : 30 cm. Note générale : Une copie electronique PDF disponible au BUC. Langues : Français (fre) Catégories : Biologie:Biologie Appliquée Tags : grossesse, infection, étude rétrospective, CHUC,Microbiologie et Hygiène
Hospitalière.Index. décimale : 710 Biologie Appliquée Résumé : Les femmes enceintes constituent classiquement un terrain fragile et à haut risque de complications
sévères au cours de processus infectieux.
Nous sommes intéressés à l’étude de la prévalence des pathologies infectieuses chez les femmes
enceintes venant consulter au niveau de la maternité de CHUC. Une étude rétrospective durant une période
allant du 10 février 2019 au 10 avril 2019 a été effectuée.
Parmi les 1122 cas étudiés, 28% ont été infectés dont la plupart de ces femmes, étaient : des multipares,
au premier trimestre de grossesse, avec des antécédents médicaux et /ou chirurgicaux.
D’après les résultats obtenus, nous avons constaté qu’il a une présence de tous les types d’infection chez
la population étudiée (bactériennes, virales, parasitaires et mycosiques), avec une prédominance des
infections bactériennes par rapport aux autres.
Nous notons que le type d’infection le plus dominant est l’infection bactérienne (82%), durant toute la
période de grossesse, chez les femmes de différents tranche d’âge quel que soit le nombre de grossesse
(parité), la présence ou l’absence des antécédents d’avortement, médicaux et/ ou chirurgicaux. Au
deuxième lieu on trouve les infections mycosiques (10%) suivies des infections parasitaires (5%) et virales
(4%) avec des taux très faible par rapport au deux premier.
Notre travail montre que les infections urinaires (43%) étaient les plus incriminées, par rapport aux
autres. L’infection vaginale (26%) était classée comme le deuxième type d'infection important développé
par les mères. L’infection pelvienne (20%) était à la troisième position, tandis que la listériose (5%), la
toxoplasmose (4%), l’hépatites (1%) et la rubéole (2%) étaient classées à l’avant dernière place avec de très
faibles pourcentages . Enfin, la présence du Sida est rare avec un seul cas.
L´infection chez la femme enceinte reste une préoccupation majeure, essentiellement en raison de la
gravité potentielle de l´atteinte maternelle et fœtale.Diplome : Master 2 Permalink : https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=11582 Les infections les plus fréquentes chez les femmes enceintes au CHUC [texte imprimé] / Yasmine Madaci, Auteur ; Sarra Saadi, Auteur ; K KHELILI, Directeur de thèse . - CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine, 2019 . - 85 f. ; 30 cm.
Une copie electronique PDF disponible au BUC.
Langues : Français (fre)
Catégories : Biologie:Biologie Appliquée Tags : grossesse, infection, étude rétrospective, CHUC,Microbiologie et Hygiène
Hospitalière.Index. décimale : 710 Biologie Appliquée Résumé : Les femmes enceintes constituent classiquement un terrain fragile et à haut risque de complications
sévères au cours de processus infectieux.
Nous sommes intéressés à l’étude de la prévalence des pathologies infectieuses chez les femmes
enceintes venant consulter au niveau de la maternité de CHUC. Une étude rétrospective durant une période
allant du 10 février 2019 au 10 avril 2019 a été effectuée.
Parmi les 1122 cas étudiés, 28% ont été infectés dont la plupart de ces femmes, étaient : des multipares,
au premier trimestre de grossesse, avec des antécédents médicaux et /ou chirurgicaux.
D’après les résultats obtenus, nous avons constaté qu’il a une présence de tous les types d’infection chez
la population étudiée (bactériennes, virales, parasitaires et mycosiques), avec une prédominance des
infections bactériennes par rapport aux autres.
Nous notons que le type d’infection le plus dominant est l’infection bactérienne (82%), durant toute la
période de grossesse, chez les femmes de différents tranche d’âge quel que soit le nombre de grossesse
(parité), la présence ou l’absence des antécédents d’avortement, médicaux et/ ou chirurgicaux. Au
deuxième lieu on trouve les infections mycosiques (10%) suivies des infections parasitaires (5%) et virales
(4%) avec des taux très faible par rapport au deux premier.
Notre travail montre que les infections urinaires (43%) étaient les plus incriminées, par rapport aux
autres. L’infection vaginale (26%) était classée comme le deuxième type d'infection important développé
par les mères. L’infection pelvienne (20%) était à la troisième position, tandis que la listériose (5%), la
toxoplasmose (4%), l’hépatites (1%) et la rubéole (2%) étaient classées à l’avant dernière place avec de très
faibles pourcentages . Enfin, la présence du Sida est rare avec un seul cas.
L´infection chez la femme enceinte reste une préoccupation majeure, essentiellement en raison de la
gravité potentielle de l´atteinte maternelle et fœtale.Diplome : Master 2 Permalink : https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=11582 Réservation
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Titre : Les infections à Pseudomonas aeruginosa au CHU de Constantine Type de document : texte imprimé Auteurs : Sara Memdouh, Auteur ; Norelhouda Reddaf, Auteur ; K KHELILI, Directeur de thèse Editeur : CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine Année de publication : 2018 Importance : 70 f. Format : 30 cm. Note générale : une copie electronique pdf disponible au buc. Langues : Français (fre) Catégories : Biologie:Microbiologie Tags : Pseudomonas aeruginosa , Infection, Résistance aux antibiotiques.Microbiologie et Hygiène
Hospitalière.Index. décimale : 720 Microbiologie Résumé : P. aeruginosa est une bactérie à Gram négatif, pathogène, opportuniste et responsable
d'infections graves. Elle pose des problèmes préoccupant dans nos hôpitaux en raison de se fréquence
et de sa résistance aux antibiotiques.
L’objectif de ce travail est l’identification des caractères bactériologiques des souches isolées de
divers prélèvements dans différents services du CHU de Constantine ainsi que leurs profils de
résistance aux antibiotiques.
Au cours de notre étude, 630 souches de P.aeruginosa ont été isolées dont 19.68 % proviennent
du centre des brûlés. Ces pathogènes ont été isolés essentiellement à partir des prélèvements de pus
(43.65%).
L’étude de la résistance a révélé que les taux de résistances sont : 21.74% à la ceftazidime, 20.83
% à l’imipénème, 23.07 % à la gentamicine et 23.07 % aux fluoroquinolones.
Ces résultats montrent que la fréquence de ces souches augmente de façon inquiétante et leur
réémergence représente un sérieux problème thérapeutique et épidémiologique, d’où la nécessité de la
mise en place d’un système de surveillance de l’environnement microbien de l’hôpital et l’application
stricte des mesures d’hygièneDiplome : Master 2 Permalink : https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=10372 Les infections à Pseudomonas aeruginosa au CHU de Constantine [texte imprimé] / Sara Memdouh, Auteur ; Norelhouda Reddaf, Auteur ; K KHELILI, Directeur de thèse . - CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine, 2018 . - 70 f. ; 30 cm.
une copie electronique pdf disponible au buc.
Langues : Français (fre)
Catégories : Biologie:Microbiologie Tags : Pseudomonas aeruginosa , Infection, Résistance aux antibiotiques.Microbiologie et Hygiène
Hospitalière.Index. décimale : 720 Microbiologie Résumé : P. aeruginosa est une bactérie à Gram négatif, pathogène, opportuniste et responsable
d'infections graves. Elle pose des problèmes préoccupant dans nos hôpitaux en raison de se fréquence
et de sa résistance aux antibiotiques.
L’objectif de ce travail est l’identification des caractères bactériologiques des souches isolées de
divers prélèvements dans différents services du CHU de Constantine ainsi que leurs profils de
résistance aux antibiotiques.
Au cours de notre étude, 630 souches de P.aeruginosa ont été isolées dont 19.68 % proviennent
du centre des brûlés. Ces pathogènes ont été isolés essentiellement à partir des prélèvements de pus
(43.65%).
L’étude de la résistance a révélé que les taux de résistances sont : 21.74% à la ceftazidime, 20.83
% à l’imipénème, 23.07 % à la gentamicine et 23.07 % aux fluoroquinolones.
Ces résultats montrent que la fréquence de ces souches augmente de façon inquiétante et leur
réémergence représente un sérieux problème thérapeutique et épidémiologique, d’où la nécessité de la
mise en place d’un système de surveillance de l’environnement microbien de l’hôpital et l’application
stricte des mesures d’hygièneDiplome : Master 2 Permalink : https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=10372 Réservation
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