Titre : |
Etude de la fermentation in vitro des résidus de tomate et d’orange et de deux plantes fibreuses (carde et chrysanthème), par la flore ruminale bovine, dansdifférentes sources d’azote |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Batoul Sahli, Auteur ; Narimane Latrous, Auteur ; M.L Haddi, Directeur de thèse |
Editeur : |
CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine |
Année de publication : |
2015 |
Importance : |
45 f. |
Format : |
30 cm. |
Note générale : |
Une copie électronique PDF disponible en BUC. |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Biologie:Microbiologie
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Tags : |
Flore ruminale bovine source d’azote source d’énergie résidus de tomates résidus d’oranges cardes chrysanthèmes résidus agroalimentaires |
Index. décimale : |
720 Microbiologie |
Résumé : |
Notre but a consisté à comprendre dans quelle mesure la flore ruminale bovine peut utiliser certaines formes organiques et inorganiques de l’azote en présence de différentes sources d’énergie. Au cours de ce travail, on a procédé a l’étude de la cinétique de fermentation in vitro des résidus de tomates et d’oranges ainsi que deux plantes fibreuses, dans différentes sources d’azote et même sans apport d’azote. Ceci à travers l’incubation de ces derniers avec le LR dans des milieux qui contiennent différentes sources d’azote : milieu A(bicarbonate d’ammonium, azote minéral), milieu B (Na-glutamate, azote organique), milieu C (nitrate de potassium, azote minéral), milieu D (extrait de levure, azote organique) et le milieu E ( milieu sans source d’azote). Les résultats montrent que les blancs qui sont sans source d’énergie produisent une faible quantité de gaz qui diffère selon la source d’azote. La plus forte production est de 6 ml pour le nitrate de potassium, environ 4 ml pour le bicarbonate d’ammonium et le Na-glutamate, 3ml pour le milieu sans source d’azote et plus que le milieu avec l’extrait de levure qui est d’environ 2.5 ml. Donc la flore ruminale utilise les débris alimentaire et produit comme même de gaz. les résidus d’oranges produisent plus de gaz avec 70-80 ml/200 mg de MS, suivis des résidus de tomates avec 52 ml, puis les cardes avec 30-32 ml et en dernier les chrysanthèmes avec 25 ml, avec les sources d’azote organiques la production de gaz est plus forte qu’ avec les sources non organiques et pour le nitrate de potassium la production de gaz est inhibé. Dans les cinq milieux le pH mesuré avant fermentation a des valeurs proches de la neutralité, et augmente, après fermentation, dans les milieux qui contiennent les résidus de tomates pH= 7.78 et les plantes fibreuses pH= 7.94, sauf pour les résidus d’oranges pour lesquels il baisse pH= 6.68, à cause d’une plus grande production des AGV. L’analyse microbiologique de la flore ruminale bovine révèle une dominance des bactéries Gram – par rapport aux bactéries Gram + et une diminution de ces dernières après 120 h d’incubation dans les différents milieux. |
Diplome : |
Master 2 |
Permalink : |
https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=6472 |
Etude de la fermentation in vitro des résidus de tomate et d’orange et de deux plantes fibreuses (carde et chrysanthème), par la flore ruminale bovine, dansdifférentes sources d’azote [texte imprimé] / Batoul Sahli, Auteur ; Narimane Latrous, Auteur ; M.L Haddi, Directeur de thèse . - CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine, 2015 . - 45 f. ; 30 cm. Une copie électronique PDF disponible en BUC. Langues : Français ( fre)
Catégories : |
Biologie:Microbiologie
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Tags : |
Flore ruminale bovine source d’azote source d’énergie résidus de tomates résidus d’oranges cardes chrysanthèmes résidus agroalimentaires |
Index. décimale : |
720 Microbiologie |
Résumé : |
Notre but a consisté à comprendre dans quelle mesure la flore ruminale bovine peut utiliser certaines formes organiques et inorganiques de l’azote en présence de différentes sources d’énergie. Au cours de ce travail, on a procédé a l’étude de la cinétique de fermentation in vitro des résidus de tomates et d’oranges ainsi que deux plantes fibreuses, dans différentes sources d’azote et même sans apport d’azote. Ceci à travers l’incubation de ces derniers avec le LR dans des milieux qui contiennent différentes sources d’azote : milieu A(bicarbonate d’ammonium, azote minéral), milieu B (Na-glutamate, azote organique), milieu C (nitrate de potassium, azote minéral), milieu D (extrait de levure, azote organique) et le milieu E ( milieu sans source d’azote). Les résultats montrent que les blancs qui sont sans source d’énergie produisent une faible quantité de gaz qui diffère selon la source d’azote. La plus forte production est de 6 ml pour le nitrate de potassium, environ 4 ml pour le bicarbonate d’ammonium et le Na-glutamate, 3ml pour le milieu sans source d’azote et plus que le milieu avec l’extrait de levure qui est d’environ 2.5 ml. Donc la flore ruminale utilise les débris alimentaire et produit comme même de gaz. les résidus d’oranges produisent plus de gaz avec 70-80 ml/200 mg de MS, suivis des résidus de tomates avec 52 ml, puis les cardes avec 30-32 ml et en dernier les chrysanthèmes avec 25 ml, avec les sources d’azote organiques la production de gaz est plus forte qu’ avec les sources non organiques et pour le nitrate de potassium la production de gaz est inhibé. Dans les cinq milieux le pH mesuré avant fermentation a des valeurs proches de la neutralité, et augmente, après fermentation, dans les milieux qui contiennent les résidus de tomates pH= 7.78 et les plantes fibreuses pH= 7.94, sauf pour les résidus d’oranges pour lesquels il baisse pH= 6.68, à cause d’une plus grande production des AGV. L’analyse microbiologique de la flore ruminale bovine révèle une dominance des bactéries Gram – par rapport aux bactéries Gram + et une diminution de ces dernières après 120 h d’incubation dans les différents milieux. |
Diplome : |
Master 2 |
Permalink : |
https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=6472 |
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