Titre :	La cytotoxicité induite par le mercure
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Rabab Laloui, Auteur ; Ouafia Brahimi, Auteur ; A Manad, Directeur de thèse
Editeur :	CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine
Année de publication :	2014
Importance :	61 f.
Format :	30 cm.
Note générale :	Une copie electronique PDF disponible au BUC
Langues :	Français (fre)
Catégories :	Biologie:Biochimie et Biologie Cellulaire et Moléculaire
Tags :	Mercure, Cytotoxicité, Pollution,DIPLOME DE MASTER EN TOXICOLOGIE ET SANTE.
Index. décimale :	730 Biochimie et biologie cellulaire
Résumé :	Récemment le souci s'est installé concernant les risques potentiels à la population humaine provenant des niveaux environnementaux actuels du mercure, d’où la protestation de plusieurs association st organisations tels l’OMS réclamant d'élimination ou la réduction de l'utilisation du mercure dans la mesure du possible. Cette étude vise à actualiser notre compréhension concernant la toxicité induite par le mercure et concevoir les mécanismes impliqués dans l’absorption, les liaisons intracellulaires et le mode d’action du mercure. Le mercure entrant dans les tissus se distribue dans tous organites intracellulaires, noyau, lysosomes, mitochondrie. Lors de fortes expositions au mercure élémentaire ou inorganique, différentes formes de toxicité on été observées. Les atteintes semblent survenir au-delà d’un certain seuil d’exposition. Généralement les manifestations cytototoxiques de l’exposition chronique au mercure inorganique sont discrètes. Ces effets seraient traduite par le stress oxydant, l’apoptose ou/et la nécrose. La majorité des recherches, bien que limités, suggère que les cibles potentielles de l'exposition environnementale à long terme au mercure soient semblables à ceux qui se produisent durant l'exposition professionnelle et qui comprennent les systèmes immunitaire, rénal, et cardio-vasculaires. Cependant, l'évidence suggère également que, en particulier dans le cas des composés organiques de mercure, l’organe le plus sensible à la toxicité est système nerveux central, particulièrement surtout durant la période utérine et enfantine dans l'utérus. Il s'avère également que les populations humaines qui ont consomment traditionnellement d’une manière excessive les produits de la mer ont plus de risque. Par contre l'ampleur du risque de la population globale pouvant résulter des taux d'exposition ambiante existants semble limitée. Cette constatation est basée sur un ensemble de données incomplètes, et donc le consensus général que l'exposition au mercure sous ses diverses formes devrait être réduite au minimum semble très justifié. Un certain nombre de domaines potentiels pour des recherches ultérieurs sont suggérés nécessaires pour le développement d'une évaluation des risques plus rigoureuse
Diplome :	Master 2
Permalink :	https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=12955

La cytotoxicité induite par le mercure [texte imprimé] / Rabab Laloui, Auteur ; Ouafia Brahimi, Auteur ; A Manad, Directeur de thèse . - CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine, 2014 . - 61 f. ; 30 cm.
Une copie electronique PDF disponible au BUC
Langues : Français (fre)

Catégories :	Biologie:Biochimie et Biologie Cellulaire et Moléculaire
Tags :	Mercure, Cytotoxicité, Pollution,DIPLOME DE MASTER EN TOXICOLOGIE ET SANTE.
Index. décimale :	730 Biochimie et biologie cellulaire
Résumé :	Récemment le souci s'est installé concernant les risques potentiels à la population humaine provenant des niveaux environnementaux actuels du mercure, d’où la protestation de plusieurs association st organisations tels l’OMS réclamant d'élimination ou la réduction de l'utilisation du mercure dans la mesure du possible. Cette étude vise à actualiser notre compréhension concernant la toxicité induite par le mercure et concevoir les mécanismes impliqués dans l’absorption, les liaisons intracellulaires et le mode d’action du mercure. Le mercure entrant dans les tissus se distribue dans tous organites intracellulaires, noyau, lysosomes, mitochondrie. Lors de fortes expositions au mercure élémentaire ou inorganique, différentes formes de toxicité on été observées. Les atteintes semblent survenir au-delà d’un certain seuil d’exposition. Généralement les manifestations cytototoxiques de l’exposition chronique au mercure inorganique sont discrètes. Ces effets seraient traduite par le stress oxydant, l’apoptose ou/et la nécrose. La majorité des recherches, bien que limités, suggère que les cibles potentielles de l'exposition environnementale à long terme au mercure soient semblables à ceux qui se produisent durant l'exposition professionnelle et qui comprennent les systèmes immunitaire, rénal, et cardio-vasculaires. Cependant, l'évidence suggère également que, en particulier dans le cas des composés organiques de mercure, l’organe le plus sensible à la toxicité est système nerveux central, particulièrement surtout durant la période utérine et enfantine dans l'utérus. Il s'avère également que les populations humaines qui ont consomment traditionnellement d’une manière excessive les produits de la mer ont plus de risque. Par contre l'ampleur du risque de la population globale pouvant résulter des taux d'exposition ambiante existants semble limitée. Cette constatation est basée sur un ensemble de données incomplètes, et donc le consensus général que l'exposition au mercure sous ses diverses formes devrait être réduite au minimum semble très justifié. Un certain nombre de domaines potentiels pour des recherches ultérieurs sont suggérés nécessaires pour le développement d'une évaluation des risques plus rigoureuse
Diplome :	Master 2
Permalink :	https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=12955