Titre : |
Etude épidémiologique des infections urinaires et urinaires nosocomiales des enfants au niveau de pédiatrie EL MANSORAH, Constantine. |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Nour Elhouda Khoualdi, Auteur ; Bouchra Robai, Auteur ; A. BENHAMDI, Directeur de thèse |
Editeur : |
CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine |
Année de publication : |
2020 |
Importance : |
73 f. |
Format : |
30 cm. |
Note générale : |
Une copie electronique PDF disponible au BUC |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Biologie:Biologie Appliquée
|
Tags : |
Mots clés : Infection Urinaire, Infection Urinaire Nosocomiale, Enfant, Uropathogène,
Antibiorésistance.Microbiologie et Hygiène Hospitalière. |
Index. décimale : |
710 Biologie Appliquée |
Résumé : |
Résumé
Les infections urinaires font partie des infections bactériennes les plus fréquentes
en pédiatrie. L’objectif de l’étude est d’estimer la prévalence des infections urinaires chez les
enfants hospitalisés au niveau de l’hôpital de pédiatrie d’el Mansourah, Constantine, de détecter
les uropathogènes et leur profil de résistance aux ATB et d’apprécier le taux des infections
urinaires nosocomiales. L’enquête est rétrospective, portant sur l’étude des dossiers, d’une
période allant du 1er janvier 2019 au 15 Février 2020, des patients hospitalisés et prospective
pour le mois de stage (du 16 Février au 12 Mars 2020). Elle a été effectuée sur 43 enfants
hospitalisés. L’infection urinaire est plus élevée chez les filles (53%) que chez les garçons
(47%) et plus fréquente chez les nourrissons avec un taux de 53,50%, mais la répartition des
infections en fonction de l’âge et du sexe a montré une nette prédominance chez les garçons
nourrissons avec un pourcentage de 30,23%. L’examen direct révèle l’existence d'une
bactériurie pathologique, en général, accompagnée d’une augmentation de la leucocyturie. E.
coli est responsable de 32% des infections urinaires, cela est peut être du à sa migration le long
des voies urinaires en dépit du flux urinaire qui requiert l’attachement de structures spécifiques
bactériennes ou fimbriae sur des récepteurs à la surface des cellules épithéliales, Viennent
ensuite, par ordre de fréquence décroissante Klebsiella sp (19%), P. aeruginosa (16%), les
levures (12%), P. merabilis (9%), E. fecalis (7%), Enterobacter sp (3%) et Streptocoque GD
(2%). Les résultats de l’antibiogramme montrent une résistance marquante des uropathogènes
aux aminopénicillines et aux phénicoles et l’estimation de l’infection urinaire nosocomiale
révèle un taux de 30,43% avec une prédominance masculine et prédominance des levures 43%.
Cette fréquence élevée des IUN pourrait être expliquée principalement par la durée du séjour
hospitalier et l´administration préalable des antibiotiques. Ces résultats permettent de déduire
que la prévalence élevée des IN nécessite la surveillance épidémiologique et la mise en place
d'une stratégie de prévention adaptée |
Diplome : |
Master 2 |
Permalink : |
https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=13783 |
Etude épidémiologique des infections urinaires et urinaires nosocomiales des enfants au niveau de pédiatrie EL MANSORAH, Constantine. [texte imprimé] / Nour Elhouda Khoualdi, Auteur ; Bouchra Robai, Auteur ; A. BENHAMDI, Directeur de thèse . - CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine, 2020 . - 73 f. ; 30 cm. Une copie electronique PDF disponible au BUC Langues : Français ( fre)
Catégories : |
Biologie:Biologie Appliquée
|
Tags : |
Mots clés : Infection Urinaire, Infection Urinaire Nosocomiale, Enfant, Uropathogène,
Antibiorésistance.Microbiologie et Hygiène Hospitalière. |
Index. décimale : |
710 Biologie Appliquée |
Résumé : |
Résumé
Les infections urinaires font partie des infections bactériennes les plus fréquentes
en pédiatrie. L’objectif de l’étude est d’estimer la prévalence des infections urinaires chez les
enfants hospitalisés au niveau de l’hôpital de pédiatrie d’el Mansourah, Constantine, de détecter
les uropathogènes et leur profil de résistance aux ATB et d’apprécier le taux des infections
urinaires nosocomiales. L’enquête est rétrospective, portant sur l’étude des dossiers, d’une
période allant du 1er janvier 2019 au 15 Février 2020, des patients hospitalisés et prospective
pour le mois de stage (du 16 Février au 12 Mars 2020). Elle a été effectuée sur 43 enfants
hospitalisés. L’infection urinaire est plus élevée chez les filles (53%) que chez les garçons
(47%) et plus fréquente chez les nourrissons avec un taux de 53,50%, mais la répartition des
infections en fonction de l’âge et du sexe a montré une nette prédominance chez les garçons
nourrissons avec un pourcentage de 30,23%. L’examen direct révèle l’existence d'une
bactériurie pathologique, en général, accompagnée d’une augmentation de la leucocyturie. E.
coli est responsable de 32% des infections urinaires, cela est peut être du à sa migration le long
des voies urinaires en dépit du flux urinaire qui requiert l’attachement de structures spécifiques
bactériennes ou fimbriae sur des récepteurs à la surface des cellules épithéliales, Viennent
ensuite, par ordre de fréquence décroissante Klebsiella sp (19%), P. aeruginosa (16%), les
levures (12%), P. merabilis (9%), E. fecalis (7%), Enterobacter sp (3%) et Streptocoque GD
(2%). Les résultats de l’antibiogramme montrent une résistance marquante des uropathogènes
aux aminopénicillines et aux phénicoles et l’estimation de l’infection urinaire nosocomiale
révèle un taux de 30,43% avec une prédominance masculine et prédominance des levures 43%.
Cette fréquence élevée des IUN pourrait être expliquée principalement par la durée du séjour
hospitalier et l´administration préalable des antibiotiques. Ces résultats permettent de déduire
que la prévalence élevée des IN nécessite la surveillance épidémiologique et la mise en place
d'une stratégie de prévention adaptée |
Diplome : |
Master 2 |
Permalink : |
https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=13783 |
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