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Affiner la rechercheLes facteurs prédictifs des échecs de l’injection intra cytoplasmique de spermatozoïde et les avortements en procréation médicalement assistée.. / Nadjoua Malika Bouherour
Titre : Les facteurs prédictifs des échecs de l’injection intra cytoplasmique de spermatozoïde et les avortements en procréation médicalement assistée.. Type de document : texte imprimé Auteurs : Nadjoua Malika Bouherour, Auteur ; Imene Ait Ameur, Auteur ; L Ounis, Directeur de thèse Editeur : CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine Année de publication : 2020 Importance : 100 f. Format : 30 cm. Note générale : Une copie electronique PDF disponible au BUC Langues : Français (fre) Catégories : Biologie:Biochimie et Biologie Cellulaire et Moléculaire Tags : Mots clés : Infertilité, ICSI, échecs, avortements, IMC,Physiologie Cellulaire et Physiopathologie. Index. décimale : 730 Biochimie et biologie cellulaire Résumé : Résumé :
Contexte et objectif : L’infertilité est une pathologie relativement fréquente en Algérie. Les causes sont
multiples et restent souvent indéterminées, en conséquence la majorité des couples se tournent vers la PMA, dont la
réussite n'est pas évidente. Le but de cette étude est de mettre en évidence les différents facteurs de risque qui
engendrent les échecs et/ou les avortements après une tentative d’ICSI.
Matériel et méthodes : Il s’agit d’une étude rétrospective descriptive, portant sur un échantillon de 90 patientes
qui ont fait une tentative d’ICSI. A l’aide d’un interrogatoire, les paramètres épidémiologiques, cliniques et
paracliniques ont été enregistrés pour chaque patiente.
Résultats et discussion : Nos résultats montrent 78% des femmes ont eu des échecs, 11% de fausses couches.
L'âge s'est montré comme facteur décisif dans la survenue des fausses couches (p<0,05) due au déséquilibre hormonal
et à la régression de la réserve ovarienne. De même que le stress est aussi corrélé positivement avec la survenue des
fausses couches spontanées (p<0,05). L’alimentation joue aussi un grand rôle dans la réussite d'ICSI, en particulier les
collations qui influent significativement sur la survenue d'une fausse couche (p<0,05).
La surcharge pondérale est un agent génétiquement transmis. L’étude a révélé un taux élevé d’échecs et
d’avortements chez les patientes en surpoids (83%) et obèses (77%) ; ceci est dû au dysfonctionnement utérin et
hormonal notamment les adipokines et les androgènes qui se répercutent sur le rendu ovarien et embryonnaire.
Notamment, le traitement de la stimulation ovarienne est beaucoup plus élevé chez les obèses par rapport à celle Ã
poids normal d’une différence significative (p<0,05). Les grossesses chez les femmes ayant un poids normal
dépassent significativement les autres catégories (p<0,05). Les mariages consanguins (9%) ont toujours présenté un
risque pour la descendance, par craintes de dominance de deux gènes récessifs présents chez le couple.
Le tabagisme sous ces deux formes actives ou passives, influe péjorativement sur la qualité spermatique
(p<0,05), ainsi que la tenue du fœtus (p≤0,05). Pareillement pour le spermatozoïde qui malgré sa sélection précise,
impacte les résultats d’ICSI par la survenue des échecs (p<0,05) et des avortements (p<0,05).
Conclusion : Les résultats trouvés sont un témoignage des échecs et des avortements résultants après ICSI.Diplome : Master 2 Permalink : https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=13190 Les facteurs prédictifs des échecs de l’injection intra cytoplasmique de spermatozoïde et les avortements en procréation médicalement assistée.. [texte imprimé] / Nadjoua Malika Bouherour, Auteur ; Imene Ait Ameur, Auteur ; L Ounis, Directeur de thèse . - CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine, 2020 . - 100 f. ; 30 cm.
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Catégories : Biologie:Biochimie et Biologie Cellulaire et Moléculaire Tags : Mots clés : Infertilité, ICSI, échecs, avortements, IMC,Physiologie Cellulaire et Physiopathologie. Index. décimale : 730 Biochimie et biologie cellulaire Résumé : Résumé :
Contexte et objectif : L’infertilité est une pathologie relativement fréquente en Algérie. Les causes sont
multiples et restent souvent indéterminées, en conséquence la majorité des couples se tournent vers la PMA, dont la
réussite n'est pas évidente. Le but de cette étude est de mettre en évidence les différents facteurs de risque qui
engendrent les échecs et/ou les avortements après une tentative d’ICSI.
Matériel et méthodes : Il s’agit d’une étude rétrospective descriptive, portant sur un échantillon de 90 patientes
qui ont fait une tentative d’ICSI. A l’aide d’un interrogatoire, les paramètres épidémiologiques, cliniques et
paracliniques ont été enregistrés pour chaque patiente.
Résultats et discussion : Nos résultats montrent 78% des femmes ont eu des échecs, 11% de fausses couches.
L'âge s'est montré comme facteur décisif dans la survenue des fausses couches (p<0,05) due au déséquilibre hormonal
et à la régression de la réserve ovarienne. De même que le stress est aussi corrélé positivement avec la survenue des
fausses couches spontanées (p<0,05). L’alimentation joue aussi un grand rôle dans la réussite d'ICSI, en particulier les
collations qui influent significativement sur la survenue d'une fausse couche (p<0,05).
La surcharge pondérale est un agent génétiquement transmis. L’étude a révélé un taux élevé d’échecs et
d’avortements chez les patientes en surpoids (83%) et obèses (77%) ; ceci est dû au dysfonctionnement utérin et
hormonal notamment les adipokines et les androgènes qui se répercutent sur le rendu ovarien et embryonnaire.
Notamment, le traitement de la stimulation ovarienne est beaucoup plus élevé chez les obèses par rapport à celle Ã
poids normal d’une différence significative (p<0,05). Les grossesses chez les femmes ayant un poids normal
dépassent significativement les autres catégories (p<0,05). Les mariages consanguins (9%) ont toujours présenté un
risque pour la descendance, par craintes de dominance de deux gènes récessifs présents chez le couple.
Le tabagisme sous ces deux formes actives ou passives, influe péjorativement sur la qualité spermatique
(p<0,05), ainsi que la tenue du fœtus (p≤0,05). Pareillement pour le spermatozoïde qui malgré sa sélection précise,
impacte les résultats d’ICSI par la survenue des échecs (p<0,05) et des avortements (p<0,05).
Conclusion : Les résultats trouvés sont un témoignage des échecs et des avortements résultants après ICSI.Diplome : Master 2 Permalink : https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=13190 Réservation
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Titre : L’impact des anomalies morphologiques des flagelles chez l’homme infertile sur les résultats d’ICSI. Type de document : texte imprimé Auteurs : Salma Alloui, Auteur ; Soumia Boulemdais, Auteur ; L Ounis, Directeur de thèse Editeur : CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine Année de publication : 2021 Importance : 80 f. Format : 30 cm. Note générale : Une copie electronique PDF disponible au BUC Langues : Français (fre) Catégories : Biologie:Biochimie et Biologie Cellulaire et Moléculaire Tags : infertilité masculine, MMAF, ICSI, spermogramme, spermocytogramme,Physiologie Cellulaire et Physio-Pathologie (PCPP). Index. décimale : 730 Biochimie et biologie cellulaire Résumé : Contexte et objectifs : L’infertilité masculine est une pathologie relativement fréquente dans notre pays.
L’étude des anomalies morphologiques des spermatozoïdes est une importance primordiale pour un bon
pronostic, c’est dans ce but que nous avons comme objectif l’étude des anomalies morphologiques multiples
des flagelles et l’évaluation de l’impact de ces formes rares sur les résultats d’ICSI au sein d’une population
de l’Est Algérien.
Matériel et méthodes : Il s’agit d’une étude rétrospective descriptive portant sur 92 patients infertiles
répartis selon leurs pathologies en quatre groupes (asthénozoopermie, oligozoopermie, tératozoospermie et
les MMAF). Les données spermogrammes et spermocytogramme ont été enregistrés à partir des dossiers des
patients ainsi que les différents paramètres de la technique d’ICSI.
Résultats La technique d’ICSI c’est le bon pronostic pour obtenir un bébé, le succès de cette méthode est
relié avec (l’âge, type d’infertilité, problème de consanguinité et nombre d’embryons transférés). La tranche
d’âge de 26 à 30 ans représente plus de résultats positifs d’ICSI avec 7 cas soit 46,7 %, suivie par celle de 31
à 35 ans soit 20%.L’infertilité primaire prédomine dans le résultat d’ICSI positif avec un taux de 73,3%
contre 26,7% pour l’infertilité secondaire.
L’étude des 18 cas ayant des MMAF montre que la tranche d’âge (36-40) ans est la plus représentative dans
les résultats négatifs d’ICSI avec 6 cas soit 42,9%. On note une prédominance des résultats positifs d’ICSI
dans le groupe témoin soit 75%, tandis que les 18 cas pathologiques (MMAF) soit 25%, représentent le taux
le plus bas avec un taux de fécondation de 39,8%Les patients qui ont une infertilité primaire (14 cas) ont plus
des résultats négatifs d’ICSI, par rapport aux résultats positifs.Les patients qui n’ont pas des problèmes de
consanguinité ont plus de résultats positifs d’ICSI avec 3 cas soit 75 % par rapport aux autres patients qui
souffrent de problèmes de consanguinité. Une incidence familiale, suggérant une origine génétique, bien qu’Ã
ce jour très peu de gènes ont été formellement impliqués.Les patients qui ont un nombre d’embryons
transférés de 2 ou 3donnentplus des résultats positifs d’ICSI avec 50%. Les deux types enroulé et écourté
sont les plus représentatifs dans le résultat positif d’ICSI avec un pourcentage de 50% pour chaque type. Le
type angulé a plus de résultat négatif d’ICSI, c’est le type le plus sévère.
Conclusion : les anomalies morphologiques des flagelles multiples, c’est une asthénozoospermiesévère, rare
et immobile. La technique d’ICSI c’est le bon pronostic de cette pathologie.Diplome : Master 2 Permalink : https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=15519 L’impact des anomalies morphologiques des flagelles chez l’homme infertile sur les résultats d’ICSI. [texte imprimé] / Salma Alloui, Auteur ; Soumia Boulemdais, Auteur ; L Ounis, Directeur de thèse . - CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine, 2021 . - 80 f. ; 30 cm.
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Catégories : Biologie:Biochimie et Biologie Cellulaire et Moléculaire Tags : infertilité masculine, MMAF, ICSI, spermogramme, spermocytogramme,Physiologie Cellulaire et Physio-Pathologie (PCPP). Index. décimale : 730 Biochimie et biologie cellulaire Résumé : Contexte et objectifs : L’infertilité masculine est une pathologie relativement fréquente dans notre pays.
L’étude des anomalies morphologiques des spermatozoïdes est une importance primordiale pour un bon
pronostic, c’est dans ce but que nous avons comme objectif l’étude des anomalies morphologiques multiples
des flagelles et l’évaluation de l’impact de ces formes rares sur les résultats d’ICSI au sein d’une population
de l’Est Algérien.
Matériel et méthodes : Il s’agit d’une étude rétrospective descriptive portant sur 92 patients infertiles
répartis selon leurs pathologies en quatre groupes (asthénozoopermie, oligozoopermie, tératozoospermie et
les MMAF). Les données spermogrammes et spermocytogramme ont été enregistrés à partir des dossiers des
patients ainsi que les différents paramètres de la technique d’ICSI.
Résultats La technique d’ICSI c’est le bon pronostic pour obtenir un bébé, le succès de cette méthode est
relié avec (l’âge, type d’infertilité, problème de consanguinité et nombre d’embryons transférés). La tranche
d’âge de 26 à 30 ans représente plus de résultats positifs d’ICSI avec 7 cas soit 46,7 %, suivie par celle de 31
à 35 ans soit 20%.L’infertilité primaire prédomine dans le résultat d’ICSI positif avec un taux de 73,3%
contre 26,7% pour l’infertilité secondaire.
L’étude des 18 cas ayant des MMAF montre que la tranche d’âge (36-40) ans est la plus représentative dans
les résultats négatifs d’ICSI avec 6 cas soit 42,9%. On note une prédominance des résultats positifs d’ICSI
dans le groupe témoin soit 75%, tandis que les 18 cas pathologiques (MMAF) soit 25%, représentent le taux
le plus bas avec un taux de fécondation de 39,8%Les patients qui ont une infertilité primaire (14 cas) ont plus
des résultats négatifs d’ICSI, par rapport aux résultats positifs.Les patients qui n’ont pas des problèmes de
consanguinité ont plus de résultats positifs d’ICSI avec 3 cas soit 75 % par rapport aux autres patients qui
souffrent de problèmes de consanguinité. Une incidence familiale, suggérant une origine génétique, bien qu’Ã
ce jour très peu de gènes ont été formellement impliqués.Les patients qui ont un nombre d’embryons
transférés de 2 ou 3donnentplus des résultats positifs d’ICSI avec 50%. Les deux types enroulé et écourté
sont les plus représentatifs dans le résultat positif d’ICSI avec un pourcentage de 50% pour chaque type. Le
type angulé a plus de résultat négatif d’ICSI, c’est le type le plus sévère.
Conclusion : les anomalies morphologiques des flagelles multiples, c’est une asthénozoospermiesévère, rare
et immobile. La technique d’ICSI c’est le bon pronostic de cette pathologie.Diplome : Master 2 Permalink : https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=15519 Réservation
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Titre : L’IMPACT DE L’OLIGOSPERMIE SEVERE ET DE LA CRYPTOZOOSPERMIE SUR LES RESULTATS D’ICSI Type de document : texte imprimé Auteurs : Racha Bendjeddou, Auteur ; Fairouz Bendjeddou, Auteur ; L Ounis, Directeur de thèse Editeur : CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine Année de publication : 2017 Importance : 47 f. Format : 30 cm. Note générale : Une copie electronique PDF disponible en BUC Langues : Français (fre) Catégories : Biologie:Biochimie et Biologie Cellulaire et Moléculaire Tags : ICSI oligospermie Cryptozoospermie numération mobilité congélation physiologie Cellulaire et Physiopathologie. Index. décimale : 730 Biochimie et biologie cellulaire Résumé : L’objectif principal de notre étude était d’explorer l’impact de la diminution de la
numération spermatique sur les résultats d’ICSI,
Secondairement, nous avons tenté aussi de clarifier l’impact de la mobilité du
spermatozoïde injecté et l’utilisation de sperme congelé sur les résultats.
Méthode :
Nous avons réalisé une étude rétrospective sur des dossiers de patients infertiles dont
l’étiologie est soit une oligospermie sévère soit une Cryptozoospermie consultants dans la
période de janvier 2015 - juillet 2016.
Nous avons retenu 163 patients ayant bénéficié d’une ICSI, que nous avons repartie en deux
groupes selon qu’ils présentent soit une oligospermie sévère soit une cryptozoospermie.la
comparaison ayant porté sur l’ensemble des paramètres d’ICSI
Résultats :
Les résultats obtenus ont montré que le groupe d’oligozoospermie a eu des meilleurs
résultats pour le taux de segmentation (97.64 % et 89.27 %), le taux d’embryons de bonne
qualité (93.11 % et 90.63 %) et de taux de réussite (26.2 % et 24.5 %),
L’utilisation de sperme frais a donné de meilleurs résultats par rapport au sperme
congelé avec un taux de fécondation (60.07 % vs 44.48%), un meilleur taux de segmentation
(97.95% vs 94.39%) et un meilleur taux de réussite (26.2 % vs 18.2%)
L’utilisation des spermatozoïdes mobiles a donné des résultats meilleurs que les
spermatozoïdes immobiles.
Conclusion :
Aucune influence significative de la numération spermatique, de la mobilité et la
congélation sur les paramètres de l’ICSI n’a été observéeDiplome : Master 2 Permalink : https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=4984 L’IMPACT DE L’OLIGOSPERMIE SEVERE ET DE LA CRYPTOZOOSPERMIE SUR LES RESULTATS D’ICSI [texte imprimé] / Racha Bendjeddou, Auteur ; Fairouz Bendjeddou, Auteur ; L Ounis, Directeur de thèse . - CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine, 2017 . - 47 f. ; 30 cm.
Une copie electronique PDF disponible en BUC
Langues : Français (fre)
Catégories : Biologie:Biochimie et Biologie Cellulaire et Moléculaire Tags : ICSI oligospermie Cryptozoospermie numération mobilité congélation physiologie Cellulaire et Physiopathologie. Index. décimale : 730 Biochimie et biologie cellulaire Résumé : L’objectif principal de notre étude était d’explorer l’impact de la diminution de la
numération spermatique sur les résultats d’ICSI,
Secondairement, nous avons tenté aussi de clarifier l’impact de la mobilité du
spermatozoïde injecté et l’utilisation de sperme congelé sur les résultats.
Méthode :
Nous avons réalisé une étude rétrospective sur des dossiers de patients infertiles dont
l’étiologie est soit une oligospermie sévère soit une Cryptozoospermie consultants dans la
période de janvier 2015 - juillet 2016.
Nous avons retenu 163 patients ayant bénéficié d’une ICSI, que nous avons repartie en deux
groupes selon qu’ils présentent soit une oligospermie sévère soit une cryptozoospermie.la
comparaison ayant porté sur l’ensemble des paramètres d’ICSI
Résultats :
Les résultats obtenus ont montré que le groupe d’oligozoospermie a eu des meilleurs
résultats pour le taux de segmentation (97.64 % et 89.27 %), le taux d’embryons de bonne
qualité (93.11 % et 90.63 %) et de taux de réussite (26.2 % et 24.5 %),
L’utilisation de sperme frais a donné de meilleurs résultats par rapport au sperme
congelé avec un taux de fécondation (60.07 % vs 44.48%), un meilleur taux de segmentation
(97.95% vs 94.39%) et un meilleur taux de réussite (26.2 % vs 18.2%)
L’utilisation des spermatozoïdes mobiles a donné des résultats meilleurs que les
spermatozoïdes immobiles.
Conclusion :
Aucune influence significative de la numération spermatique, de la mobilité et la
congélation sur les paramètres de l’ICSI n’a été observéeDiplome : Master 2 Permalink : https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=4984 Réservation
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Titre : Mémoire présentée en vue de l’obtention du diplôme de Master Type de document : texte imprimé Auteurs : Sana Kadri, Auteur ; Hayet Bourebala, Auteur ; L Ounis, Directeur de thèse Editeur : CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine Année de publication : 2018 Importance : 51 f. Format : 30 cm. Note générale : Une copie electronique PDF disponible au BUC Langues : Français (fre) Catégories : Biologie:Biochimie et Biologie Cellulaire et Moléculaire Tags : L'ICSI, l'âge, les follicules, les ovocytes, les embryons transférés, infertilité.Physiologie Cellulaire et Physiopathologie (PCPP) Index. décimale : 730 Biochimie et biologie cellulaire Résumé : Contexte et l'objectif : La fertilité humaine a été déclinée partout dans le monde. L'âge avancé des
femmes est l'un des facteurs les plus importants pour déterminer le succès de la reproduction, il diminue
les chances de naissances vivantes des grossesses positives, surtout après 40 ans. Notre étude a pour but
d'étudier les chances de grossesses chez les femmes plus de 40 ans, et l'influence de l'âge sur le taux de
grossesses. Ainsi que évaluation des résultats de l'ICSI en ce qui concerne la grossesse, l'avortement et les
taux de naissances vivantes chez les femmes de 40 ans et plus.
Matériel et méthodes : Il s'agit d'une étude rétrospective observationnelle par ICSI impliquant 1303
femmes, âgées de 18 à 48 ans, soumis à un traitement par l'ICSI, dans la période de janvier 2013 Ã
décembre 2017. Les patients ont été divisés en cinq groupes en fonction d'âge : G≤35 (n =200), G40 (n
=350), G 41 (255), G 42 (n=231) et G≥43 (n = 267). Les éléments suivants ont été évalués : nombre
d'ovocytes obtenus, taux de fécondation, nombre d'embryons transférés, qualité de l'embryon et taux de
grossesse, le taux d'avortement par des tests de grossesses positives, le taux des naissances vivantes par
cycle à la clinique IBN ROUCHD.
RÉSULTATS : L'âge moyen des femmes était de 41,52 ± 1,45 ans, dans le groupe G≤35 ans, une
moyenne de 8,3 ovocytes par patient a été obtenue ; dans le groupe G40 et 41, la moyenne était de 4,8
ovocytes par patient ; dans le G42, la moyenne était de 4,2 ovocytes par patient et dans le groupe G≥43,
3,3 ovocytes par patient. La relation entre le nombre de follicule et l'âge est très hautement significative
avec (p <0,0001). Les taux de fécondation dans les cinq groupes étaient similaires : 95,87%, 93,56%,
93,13%, 94,73% et 91,51%, respectivement. Le nombre moyen d'embryons transférés dans chaque groupe
a été de 4,34 (G≤35), 2,26 (G40), 3,03(G41), 3,17 (G42) et 2,74 (G≥43). En ce qui concerne les taux de
grossesse les plus élevés sont le groupe ≤35 ans (65%) et groupe 40 ans (26%), 24%, et le taux le plus
faible le G≥43 (7%). Le taux des naissances vivantes dans les 5 groupes étaient : 14%, 7,14%, 6,27%,
3,03%, 0,74% respectivement.
Conclusion : La littérature valide de façon consensuelle le principal paramètre à prendre en compte qui est
l'âge de la femme. Sur la base de nos résultats, l'âge matemel élevé semble être le principal facteur d'échec
de fécondation en ICSI. Donc les femmes plus de 40 ans n'ont pas les mêmes chances de grossesses en
PMA. Le succès du traitement par ICSI est beaucoup plus faible chez les femmes plus de 42 ans que chez
celles de moins de 42 ans (7% vs 26%).Diplome : Master 2 Permalink : https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=11042 Mémoire présentée en vue de l’obtention du diplôme de Master [texte imprimé] / Sana Kadri, Auteur ; Hayet Bourebala, Auteur ; L Ounis, Directeur de thèse . - CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine, 2018 . - 51 f. ; 30 cm.
Une copie electronique PDF disponible au BUC
Langues : Français (fre)
Catégories : Biologie:Biochimie et Biologie Cellulaire et Moléculaire Tags : L'ICSI, l'âge, les follicules, les ovocytes, les embryons transférés, infertilité.Physiologie Cellulaire et Physiopathologie (PCPP) Index. décimale : 730 Biochimie et biologie cellulaire Résumé : Contexte et l'objectif : La fertilité humaine a été déclinée partout dans le monde. L'âge avancé des
femmes est l'un des facteurs les plus importants pour déterminer le succès de la reproduction, il diminue
les chances de naissances vivantes des grossesses positives, surtout après 40 ans. Notre étude a pour but
d'étudier les chances de grossesses chez les femmes plus de 40 ans, et l'influence de l'âge sur le taux de
grossesses. Ainsi que évaluation des résultats de l'ICSI en ce qui concerne la grossesse, l'avortement et les
taux de naissances vivantes chez les femmes de 40 ans et plus.
Matériel et méthodes : Il s'agit d'une étude rétrospective observationnelle par ICSI impliquant 1303
femmes, âgées de 18 à 48 ans, soumis à un traitement par l'ICSI, dans la période de janvier 2013 Ã
décembre 2017. Les patients ont été divisés en cinq groupes en fonction d'âge : G≤35 (n =200), G40 (n
=350), G 41 (255), G 42 (n=231) et G≥43 (n = 267). Les éléments suivants ont été évalués : nombre
d'ovocytes obtenus, taux de fécondation, nombre d'embryons transférés, qualité de l'embryon et taux de
grossesse, le taux d'avortement par des tests de grossesses positives, le taux des naissances vivantes par
cycle à la clinique IBN ROUCHD.
RÉSULTATS : L'âge moyen des femmes était de 41,52 ± 1,45 ans, dans le groupe G≤35 ans, une
moyenne de 8,3 ovocytes par patient a été obtenue ; dans le groupe G40 et 41, la moyenne était de 4,8
ovocytes par patient ; dans le G42, la moyenne était de 4,2 ovocytes par patient et dans le groupe G≥43,
3,3 ovocytes par patient. La relation entre le nombre de follicule et l'âge est très hautement significative
avec (p <0,0001). Les taux de fécondation dans les cinq groupes étaient similaires : 95,87%, 93,56%,
93,13%, 94,73% et 91,51%, respectivement. Le nombre moyen d'embryons transférés dans chaque groupe
a été de 4,34 (G≤35), 2,26 (G40), 3,03(G41), 3,17 (G42) et 2,74 (G≥43). En ce qui concerne les taux de
grossesse les plus élevés sont le groupe ≤35 ans (65%) et groupe 40 ans (26%), 24%, et le taux le plus
faible le G≥43 (7%). Le taux des naissances vivantes dans les 5 groupes étaient : 14%, 7,14%, 6,27%,
3,03%, 0,74% respectivement.
Conclusion : La littérature valide de façon consensuelle le principal paramètre à prendre en compte qui est
l'âge de la femme. Sur la base de nos résultats, l'âge matemel élevé semble être le principal facteur d'échec
de fécondation en ICSI. Donc les femmes plus de 40 ans n'ont pas les mêmes chances de grossesses en
PMA. Le succès du traitement par ICSI est beaucoup plus faible chez les femmes plus de 42 ans que chez
celles de moins de 42 ans (7% vs 26%).Diplome : Master 2 Permalink : https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=11042 Réservation
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Titre : L’OBESITE ET INFERTILITE MASCULINE Type de document : texte imprimé Auteurs : Marwa Benmerzoug, Auteur ; Maroua Sebti, Auteur ; L Ounis, Directeur de thèse Editeur : CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine Année de publication : 2018 Importance : 105 f. Format : 30 cm. Note générale : une copie electronique pdf disponible au buc. Langues : Français (fre) Catégories : Biologie:Biochimie et Biologie Cellulaire et Moléculaire Tags : Obésité, IMC, WHR, Infertilité, Hypercholestérolémie, Hypertriglycéridémie,Sperme. Physiologie Cellulaire et Physiopathologie (PCPP). Index. décimale : 730 Biochimie et biologie cellulaire Résumé : L’obésité chez les hommes en âge de procréer est globalement en augmentation. Il y a des preuves
évidentes des études épidémiologiques que l'obésité a un impact négatif sur la fertilité masculine, ce qui nous
orientevers cette étude qui a pour but de caractériser lelienentre le régime alimentaire malsain, le mode de vie et
l’infertilité et de déterminer l’effet délétère del’augmentation d’IMC et WHR sur la fertilité spontanée et le
survenu des pathologies spermatiques aussi de voir l’impact de l’hypercholestérolémie et l’hypertriglycéridémie sur
la perturbation de paramètres spermatiques.
Matériel et méthodes : Dans ce cadre on a réalisées une étude prospective descriptive portant sur 101 patients infertiles
répartis selon leur IMC en trois groupes (normal : 18,5-25 ; en surpoids : 25-30 et obèses : ≥ 30). Cette étude a été
effectuée au service de PMA, IBN ROCHD, Constantine.
Nous avons réalisé une étude anthropométrique (mesure de poids, d’IMC et mesure de tour de taille/hanche) suivi par
des questions menées sur le mode de vie des patients et une analyse des spermogrammes. Des prélèvements sanguins
ont été réalisés pour doser les taux de cholestérol et de triglycérides.
Résultats : Les résultats de cette étude montrent une prédominance d’infertilité primaire chez 76 patients soit 75,24%,
dont 61 patients obèses ou en surcharges pondérales, contre 25 patients soit 24,75% d’infertilité secondaire dont 19
souffrent d’obésité ou en surpoids.Nos résultats montrent l’influence de l’augmentation en IMC sur les perturbations des
taux de cholestérol et de triglycérides (P=0,05, P= 0,017) respectivement.L’analyse de spermogramme accompagnée
aux mesures anthropométriques nous a permis de confirmer l’effet de l’accumulation de graisses abdominale sur la
fertilité masculine (P=0,02) et de l’augmentation en IMC sur le survenu des différentes pathologies spermatiques
(P=0,03).La fréquence des patients ayant un spermogramme pathologique était de 36,6 % avec une prédominance de
l’anomalie spermatique oligospermie 55% et asthénospermie 44,4% principalement chez le groupe des obèses dont
33, 3 %, pour oligospermie 29,6% pour ceux d’asthénospermies.Cette étude montre un effet modéré des facteurs de
risque environnementaux et comportements alimentaires sur les paramètres du sperme. Lessucreries et les boissons
gazeuses ont un impact sur la mobilité (P=0, 014, P=0.001) alors qu’on a trouvées que les caféines provenant de
thé/café ont une influence sur le volume de sperme (P = 0,014). Les longs assis, l’exposition à la chaleur et aux rayons
semble être les facteurs environnementaux les plus délétères pour la spermatogenèse.
Conclusion : Nos résultats révèlent que l’obésité et les mauvaises habitudes de vie jouent un rôle important dans la
diminution de la fertilité masculine et par la suit dans la diminutiondes chances de conception, donc elles menacent la
progéniturDiplome : Master 2 Permalink : https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=10621 L’OBESITE ET INFERTILITE MASCULINE [texte imprimé] / Marwa Benmerzoug, Auteur ; Maroua Sebti, Auteur ; L Ounis, Directeur de thèse . - CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine, 2018 . - 105 f. ; 30 cm.
une copie electronique pdf disponible au buc.
Langues : Français (fre)
Catégories : Biologie:Biochimie et Biologie Cellulaire et Moléculaire Tags : Obésité, IMC, WHR, Infertilité, Hypercholestérolémie, Hypertriglycéridémie,Sperme. Physiologie Cellulaire et Physiopathologie (PCPP). Index. décimale : 730 Biochimie et biologie cellulaire Résumé : L’obésité chez les hommes en âge de procréer est globalement en augmentation. Il y a des preuves
évidentes des études épidémiologiques que l'obésité a un impact négatif sur la fertilité masculine, ce qui nous
orientevers cette étude qui a pour but de caractériser lelienentre le régime alimentaire malsain, le mode de vie et
l’infertilité et de déterminer l’effet délétère del’augmentation d’IMC et WHR sur la fertilité spontanée et le
survenu des pathologies spermatiques aussi de voir l’impact de l’hypercholestérolémie et l’hypertriglycéridémie sur
la perturbation de paramètres spermatiques.
Matériel et méthodes : Dans ce cadre on a réalisées une étude prospective descriptive portant sur 101 patients infertiles
répartis selon leur IMC en trois groupes (normal : 18,5-25 ; en surpoids : 25-30 et obèses : ≥ 30). Cette étude a été
effectuée au service de PMA, IBN ROCHD, Constantine.
Nous avons réalisé une étude anthropométrique (mesure de poids, d’IMC et mesure de tour de taille/hanche) suivi par
des questions menées sur le mode de vie des patients et une analyse des spermogrammes. Des prélèvements sanguins
ont été réalisés pour doser les taux de cholestérol et de triglycérides.
Résultats : Les résultats de cette étude montrent une prédominance d’infertilité primaire chez 76 patients soit 75,24%,
dont 61 patients obèses ou en surcharges pondérales, contre 25 patients soit 24,75% d’infertilité secondaire dont 19
souffrent d’obésité ou en surpoids.Nos résultats montrent l’influence de l’augmentation en IMC sur les perturbations des
taux de cholestérol et de triglycérides (P=0,05, P= 0,017) respectivement.L’analyse de spermogramme accompagnée
aux mesures anthropométriques nous a permis de confirmer l’effet de l’accumulation de graisses abdominale sur la
fertilité masculine (P=0,02) et de l’augmentation en IMC sur le survenu des différentes pathologies spermatiques
(P=0,03).La fréquence des patients ayant un spermogramme pathologique était de 36,6 % avec une prédominance de
l’anomalie spermatique oligospermie 55% et asthénospermie 44,4% principalement chez le groupe des obèses dont
33, 3 %, pour oligospermie 29,6% pour ceux d’asthénospermies.Cette étude montre un effet modéré des facteurs de
risque environnementaux et comportements alimentaires sur les paramètres du sperme. Lessucreries et les boissons
gazeuses ont un impact sur la mobilité (P=0, 014, P=0.001) alors qu’on a trouvées que les caféines provenant de
thé/café ont une influence sur le volume de sperme (P = 0,014). Les longs assis, l’exposition à la chaleur et aux rayons
semble être les facteurs environnementaux les plus délétères pour la spermatogenèse.
Conclusion : Nos résultats révèlent que l’obésité et les mauvaises habitudes de vie jouent un rôle important dans la
diminution de la fertilité masculine et par la suit dans la diminutiondes chances de conception, donc elles menacent la
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