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Préférence alimentaire des adultes âgés de 18 à 28 ans et sensibilité à la saveur sucrée, salée et acide. / Sara Bouadjadja
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Titre : Préférence alimentaire des adultes âgés de 18 à 28 ans et sensibilité à la saveur sucrée, salée et acide. Type de document : texte imprimé Auteurs : Sara Bouadjadja, Auteur ; Dridi L, Directeur de thèse Editeur : CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine Année de publication : 2021 Importance : 60 f. Format : 30 cm. Note générale : Une copie electronique PDF disponible au BUC Langues : Français (fre) Catégories : Nutrition, Alimentation et Techniques Agro-alimentaires Tags : préférence alimentaires saveur sucré salé acide seuil de détection seuil
d’identification sensibilité,Nutrition Humaine.Index. décimale : 232 Nutrition Humaine Résumé : L’objectif de notre travail d’étudié les préférences alimentaires d’une population des
jeunes adultes et leur relations avec le seuil de détection et le seuil d’identification des trois
saveurs différents : sucré, salé et acide.
Notre étude a porté sur un échantillon de 66 étudiants universitaires âgés de 18 à 28 ans,
dont 57 sont de sexe féminin et 9 de sexe masculin, au niveau du laboratoire de pédagogie Ã
l’institut de la nutrition, de l’alimentation et des technologies agro-alimentaires (INATAA),
université des frères Mentouri Constantine 1.
Les principaux résultats obtenus :
La préférence alimentaires est différente significativement selon le sexe.
La différence entre la sensibilité au goût sucré, salé et acide selon le sexe n’est pas
significative.
Il y a une corrélation négative entre l’attirance envers les aliments du groupe VPO et le
seuil de détection de la saveur sucrée.
La relation négative entre le seuil d’identification de la saveur salée et l’attirance envers
les légumes, le lait et produits laitiers est significative.
Il existe une corrélation positive entre la préférence des fruits et le seuil de
reconnaissance de la saveur acide.
La différence entre l’attirance envers les aliments apporte le gout sucré, sucré-ameracide, amer, salé, salé-umami-acide-amer et salé-umami-gras et la sensibilité au saveurs
sucré, salé et acide n’est pas significative. La seule différence significative remarquée
est entre le seuil de détection du goût salé et les aliments salés.Diplome : Master 2 Permalink : https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=16149 Préférence alimentaire des adultes âgés de 18 à 28 ans et sensibilité à la saveur sucrée, salée et acide. [texte imprimé] / Sara Bouadjadja, Auteur ; Dridi L, Directeur de thèse . - CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine, 2021 . - 60 f. ; 30 cm.
Une copie electronique PDF disponible au BUC
Langues : Français (fre)
Catégories : Nutrition, Alimentation et Techniques Agro-alimentaires Tags : préférence alimentaires saveur sucré salé acide seuil de détection seuil
d’identification sensibilité,Nutrition Humaine.Index. décimale : 232 Nutrition Humaine Résumé : L’objectif de notre travail d’étudié les préférences alimentaires d’une population des
jeunes adultes et leur relations avec le seuil de détection et le seuil d’identification des trois
saveurs différents : sucré, salé et acide.
Notre étude a porté sur un échantillon de 66 étudiants universitaires âgés de 18 à 28 ans,
dont 57 sont de sexe féminin et 9 de sexe masculin, au niveau du laboratoire de pédagogie Ã
l’institut de la nutrition, de l’alimentation et des technologies agro-alimentaires (INATAA),
université des frères Mentouri Constantine 1.
Les principaux résultats obtenus :
La préférence alimentaires est différente significativement selon le sexe.
La différence entre la sensibilité au goût sucré, salé et acide selon le sexe n’est pas
significative.
Il y a une corrélation négative entre l’attirance envers les aliments du groupe VPO et le
seuil de détection de la saveur sucrée.
La relation négative entre le seuil d’identification de la saveur salée et l’attirance envers
les légumes, le lait et produits laitiers est significative.
Il existe une corrélation positive entre la préférence des fruits et le seuil de
reconnaissance de la saveur acide.
La différence entre l’attirance envers les aliments apporte le gout sucré, sucré-ameracide, amer, salé, salé-umami-acide-amer et salé-umami-gras et la sensibilité au saveurs
sucré, salé et acide n’est pas significative. La seule différence significative remarquée
est entre le seuil de détection du goût salé et les aliments salés.Diplome : Master 2 Permalink : https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=16149 Réservation
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texte intégreAdobe Acrobat PDFPréférence et sensibilité aux alimentsapportant le goût amer et état pondéral / Meriem Tfyeche
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Titre : Préférence et sensibilité aux alimentsapportant le goût amer et état pondéral Type de document : texte imprimé Auteurs : Meriem Tfyeche, Auteur ; H. Oulamara, Directeur de thèse Editeur : CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine Année de publication : 2017 Importance : 41 f. Format : 30 cm. Note générale : Une copie electronique PDF disponible en BUC. Langues : Français (fre) Catégories : Nutrition, Alimentation et Techniques Agro-alimentaires Tags : Goût Amer Salé Préférence Sensibilité Indice de masse corporelle Index. décimale : 232 Nutrition Humaine Résumé : Notre étude vise à déterminer le niveau de sensibilité gustative aux goûts amer Ã
travers les préférences alimentaires et d’étudier le possible lien avec l’état pondéral.
Cette étude a été réalisée sur 210 sujets sains (53 hommes ; 157 femmes) âgés entre 18
à 30 ans. Pour répondre a nos objectifs, nous avons conçus un questionnaire qui comporte
deux parties, la première permet d’étudier le degré d’attirance et de préférence envers les
aliments apportant les goûts amer et salé. Nous avons classé l’ensemble des individus en
hyper-sensibles et hypo-sensibles suivant leur degré de préférence envers les aliments
apportant le goût amer. La deuxième partie du questionnaire vise à évaluer les préférences
alimentaires en relations avec les goûts amers et salé. Des mesures anthropométriques
(taille, poids) des sujets ont été effectuées.
Notre population compte 45.7 p. cent de surpoids dont 20 p. cent d’obésité. Le
pourcentage du surpoids chez les femmes est plus élevé que celui des hommes (49.68 p.
cent vs 33.96 p. cent ; p = 0.04). L’indice de masse corporelle (IMC) moyen est de 25,6 ±
5,7 kg/m2. Nous n’avons trouvé aucune différence significative entre la sensibilité et la
préférence aux aliments apportant le goût amer et la corpulence des adultes (p = 0,19). Une
association entre la sensibilité au goût amer et sa préférence a été confirmé, les sujets
hypo-sensibles sont plus nombreux à déclarer préférés des légumes (p = 0,01) et de la
laitue (p = 0,0002). D’autre part, les sujets normo-pondéraux hypo-sensibles sont plus
nombreux à déclarer préférer des légumes (p = 0,005) et la laitue (p < 0,0001). Ainsi, une
faible sensibilité au goût amer pourrait être un facteur lié à la sous-pondérationDiplome : Master 2 Permalink : https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=7575 Préférence et sensibilité aux alimentsapportant le goût amer et état pondéral [texte imprimé] / Meriem Tfyeche, Auteur ; H. Oulamara, Directeur de thèse . - CONSTANTINE [ALGERIE] : Université Frères Mentouri Constantine, 2017 . - 41 f. ; 30 cm.
Une copie electronique PDF disponible en BUC.
Langues : Français (fre)
Catégories : Nutrition, Alimentation et Techniques Agro-alimentaires Tags : Goût Amer Salé Préférence Sensibilité Indice de masse corporelle Index. décimale : 232 Nutrition Humaine Résumé : Notre étude vise à déterminer le niveau de sensibilité gustative aux goûts amer Ã
travers les préférences alimentaires et d’étudier le possible lien avec l’état pondéral.
Cette étude a été réalisée sur 210 sujets sains (53 hommes ; 157 femmes) âgés entre 18
à 30 ans. Pour répondre a nos objectifs, nous avons conçus un questionnaire qui comporte
deux parties, la première permet d’étudier le degré d’attirance et de préférence envers les
aliments apportant les goûts amer et salé. Nous avons classé l’ensemble des individus en
hyper-sensibles et hypo-sensibles suivant leur degré de préférence envers les aliments
apportant le goût amer. La deuxième partie du questionnaire vise à évaluer les préférences
alimentaires en relations avec les goûts amers et salé. Des mesures anthropométriques
(taille, poids) des sujets ont été effectuées.
Notre population compte 45.7 p. cent de surpoids dont 20 p. cent d’obésité. Le
pourcentage du surpoids chez les femmes est plus élevé que celui des hommes (49.68 p.
cent vs 33.96 p. cent ; p = 0.04). L’indice de masse corporelle (IMC) moyen est de 25,6 ±
5,7 kg/m2. Nous n’avons trouvé aucune différence significative entre la sensibilité et la
préférence aux aliments apportant le goût amer et la corpulence des adultes (p = 0,19). Une
association entre la sensibilité au goût amer et sa préférence a été confirmé, les sujets
hypo-sensibles sont plus nombreux à déclarer préférés des légumes (p = 0,01) et de la
laitue (p = 0,0002). D’autre part, les sujets normo-pondéraux hypo-sensibles sont plus
nombreux à déclarer préférer des légumes (p = 0,005) et la laitue (p < 0,0001). Ainsi, une
faible sensibilité au goût amer pourrait être un facteur lié à la sous-pondérationDiplome : Master 2 Permalink : https://bu.umc.edu.dz/master/index.php?lvl=notice_display&id=7575 Réservation
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